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LE LICITE ET L'ILLICITE
Une alimentation saine pour un corps sain !

  
Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

Partie II

    Le devenir de l’homme dans une société biblique de nos jours. Déchéance d’une communauté religieuse biblique, voir d’un peuple tout entier. Point de vue.

    Qu’on en juge :

    "Il est devenu presque banal de dire que l’homme européen moderne vit dans l’angoisse et se trouve dans un état proche de l’agonie. Il lui fut difficile de supporter deux guerres mondiales. Les fondements de son existence sont ébranlés, il se sent perdu dans un monde chaotique. Il a perdu son équilibre intérieur. La structure psychique et même la structure physique de l’homme se trouvent en désaccord avec la civilisation technique moderne.

Cette structure s’est formée à une époque où l’homme vivait encore aux rythmes de la nature, où l’ordre cosmique comptait encore pour lui et se reflétait dans l’ordre social. L’homme avait ses liens avec la terre, il y était solidement enraciné. Mais l’époque tellurique de l’histoire humaine touche à sa fin. L’irruption de la machine, l’essor vertigineux de la technique ont accompli la plus grande révolution de l’histoire, dont on ne saurait encore mesurer toutes les conséquences. Les guerres, les révolutions, les dictatures et les régimes totalitaires, de nos jours, sont liés à l’emprise de la technique sur la personne humaine, à la puissance extraordinaire qu’elle procure. L’homme se trouve dans une nouvelle posture devant les forces cosmiques, et cela entraîne de graves conséquences sociales. On pourrait définir la révolution qui s’accomplit comme la fin du cosmos au sens antique de ce terme. Le cosmos tel que l’ont contemplé les Grecs, le cosmos de saint Thomas d’Aquin et de Dante, n’existe plus.

La modification de l’ancienne conception du cosmos commença à l’époque de Copernic, lorsque la terre cessa d’être son centre. Pascal fut effrayé par les espaces infinis qui se sont ouverts devant lui. La révélation de l’infiniment petit, du microscopique, est peut-être plus effrayante encore. La science physique et chimique moderne pénètre dans la structure du cosmos, dans l’infiniment petit, et le détruit de cette façon. L’homme est écrasé entre deux infinis, l’infiniment grand et l’infiniment petit. La révolution dans la physique et dans la chimie aboutit à la négation de la loi de la conservation de la matière. On constate que la désagrégation de la matière libère une énergie formidable. Les travaux sur la désagrégation de l’atome s’y rapportent. De là, également, l’invention de la bombe atomique qui menace la civilisation moderne d’auto-destruction. L’attitude envers la nature est déterminée uniquement par la Praxis. Tout est placé sous le signe du rendement. La technique modifie radicalement l’attitude de l’homme envers l’espace et le temps. La maîtrise de l’espace constitue sa plus grande conquête. […]

On peut constater la situation suivante : la puissance inouïe de la connaissance et de la technique aboutit à l’affaiblissement et à l’esclavage de l’homme. L’homme se trouve placé devant une nouvelle réalité à laquelle il est mal préparé spirituellement. La machine, la technique, constituent une nouvelle réalité qui ne ressemble pas à la réalité du monde organique et inorganique, à la nature que l’homme considérait comme une création de Dieu. C’est une réalité organisée, un monde à part, engendré par la civilisation, par la connaissance et les découvertes de l’homme. La technique a un sens cosmogonique. […]

Les découvertes scientifiques accordent à l’homme une puissance si formidable, une telle puissance de destruction, que les États veulent contrôler cette puissance, se l’approprier. On assiste à une nationalisation des découvertes scientifiques. C’est nécessaire avant tout en prévision d’une guerre. Nous vivons à l’époque d’un formidable essor de l’étatisme. L’État est enclin à penser que l’homme lui appartient en entier. C’est une conséquence fatale des deux guerres mondiales. Pendant la guerre, le pouvoir de l’État s’accroît démesurément et cet état des choses survit après la guerre. Les habitudes et les instincts de la guerre continuent à s’affirmer, de même que la tendance à la violence et le mépris de la vie humaine. Mais l’État cherche surtout à mettre la main sur la puissance que confère la technique. L’étatisme n’est pas seulement une particularité du régime communiste : c’est un phénomène mondial. La puissance toujours croissante de la technique y joue un rôle important. L’évolution spirituelle et morale de l’homme ne correspond pas à la rapidité presque miraculeuse de l’essor technique ; elle reste en retard. Ce n’est pas l’esprit, ce n’est pas la force morale de l’homme qui prennent possession de la technique, mais l’État, qui ne se considère comme soumis à aucun principe spirituel et moral et agit d’une façon autonome, selon sa propre loi, souverainement. L’homme, tourné vers l’extérieur, s’affaiblit intérieurement. Cette situation menace le monde d’une troisième guerre mondial que personne ne désire (ni les individus, ni les peuples) mais qui peut être engendrée par les forces autonomes, les forces du capital du pouvoir et de la technique. Le caractère technique de la civilisation exige de l’homme une incroyable accélération du temps. L’homme devient fonction de 1a production destinée à apporter le plus grand profit. En présence d’une telle vitesse, d’une telle course au rendement maximum du travail, en présence du taylorisme, par exemple, aucun instant n’a plus de valeur autonome ; il n’est qu’un moyen menant vers l’instant suivant qui doit arriver le plus vite possible. On exige de l’homme une activité infatigable. Mais cette activité signifie au fond, passivité spirituelle, abandon de soi-même à un processus inhumain. Lorsque l’homme devient un instrument passif, il n’est plus actif intérieurement. Ce processus de l’accélération du temps et de la transformation de l’homme en instrument de la production économique, s’exprime de la façon la plus nette en Amérique. [ …] Le pouvoir que la technique exerce sur la vie transforme l’aspect moral de l’homme. On a déjà souvent souligné que l’industrie mécanisée et rationalisée mène à la suppression de l’individuel - et de l’individualité. Tout est produit en série. C’est le règne de l’impersonnel et de l’anonyme. Tout devient collectif - je souligne: collectif, et non communautaire. La communauté est une fraternité réelle des hommes, elle suppose la transformation et la transfiguration des hommes, elle est organique, elle implique la liberté; la collectivité, en revanche, signifie une agrégation forcée et mécanique des hommes, leur subordination à une pseudo-réalité se trouvant en dehors d’eux et au-dessus d’eux. Les hommes peuvent y demeurer l’un à l’autre et solitaires.

[…] L’industrie technique crée une morale très éloignée de la fraternité des hommes, bien qu’elle possède des traits collectivistes. Il est caractéristique pour ce type de civilisation que la lutte et la compétition sportive y jouent un rôle énorme et deviennent une des sources d’appréciations morales. Le culte de la force et du pouvoir se développe de plus en plus. Nous vivons à une époque où l’on adore la force et non la justice et la vérité. On peut même dire que l’on n’a jamais observé une telle indifférence à l’égard de la vérité. D’où l’effrayante baisse du prix de la vie humaine (que l’on n’évalue que selon sa productivité), la facilité de la violence exercée sur l’homme et de l’assassinat. La guerre nous a habitués à cela. On assiste à une rupture avec la morale évangélique, supplantée par une morale de la production. Cette morale technique de la production est impitoyable envers les faibles, elle développe l’envie, l’orgueil, elle remplace l’amour évangélique envers le prochain par l’exaltation de soi-même.

[…] À cette époque de transition, les hommes se trouvent enchaînés extérieurement et solitaires intérieurement.

[…]

Mais l’homme devait passer par l’expérience de la liberté ; il devait éprouver toutes ses possibilités. L’homme a voulu expérimenter la liberté dans toutes les sphères de la vie individuelle et sociale. Étant sorti du monde médiéval, il s’est engagé dans la voie de l’autonomie de toutes les sphères de la vie créatrice. On connut alors l’autonomie de la vie sociale et de la culture, l’autonomie de la connaissance, de la science, l’autonomie de la politique, de l’économie, de la technique, de la vie des nationalités, etc. Toutes ces sphères séparées commencèrent à évoluer, n’obéissant qu’à leur propre loi. L’autonomie signifie précisément que la loi agit à l’intérieur de chaque sphère particulière., sans être subordonnée à aucun centre spirituel unificateur. La religion chrétienne elle-même est devenue une sphère particulière de la culture ; elle a cessé d’être une force déterminante, elle a été refoulée dans les recoins de l’âme. Le christianisme s’adapta difficilement à ce processus qui fut nécessaire pour que l’homme puisse s’épanouir en tant qu’être libre. Mais on aurait tort d’identifier l’autonomie de ces sphères séparées à la liberté de l’homme en tant qu’être intégral. Ce sont les sciences, la politique, l’économie, la technique qui sont devenues libres, mais non l’homme qui est tombé sous le pouvoir des sphères séparées, libres et n’obéissant qu’à leur propres lois. C’est sur ce terrain que surgirent en fin de compte: le scientisme (non identique à la science) et le rationalisme, dans la connaissance ; le machiavélisme, dans la politique; le capitalisme, dans l’économie; le nationalisme, dans la vie des peuples, toutes ces sphères refusant à se soumettre à un principe supérieur spirituel ou moral quelconque. C’est ce terrain également qui donna naissance à la puissance de la technique - cette technique qui se développa démesurément et qui vit selon sa loi inhumaine.

[…] L’homme, de plus en plus écrasé, est tombé dans l’esclavage ; il est devenu esclave des sphères autonomes. Il en est résulté un déséquilibre, un état disharmonieux de l’homme. La mécanisation ne veut se soumettre à aucun principe spirituel et la spiritualité s’est affaiblie chez l’homme. L’homme a provoqué l’aliénation de sa nature, il a consenti à devenir l’homme technique. Pour que l’homme puisse se libérer effectivement, la puissance que confère la technique devrait supposer une intensification de la vie spirituelle de l’homme, le relèvement de son niveau, mais cela n’a pas lieu. […]"

Sources : Myrio biblos
Posté par Adriana Evangelizt

    Les ‘Forces du Mal’ nous offrent un spectacle peu réjouissant de l’avenir de l’homme, le Fils d’Adam, sur la planète Terre ! Aussi pour sortir de l’esclavage de l’homme par l’homme, rien de plus simple et de meilleur que ‘revenir’ au Seigneur des cieux et de la terre. Se ‘soumettre’ à Lui et surtout Lui obéir !

    Droit du corps.

    Manger une nourriture saine semble poser de plus en plus de problèmes à l’homme de l’Islam traditionnel, au sein de certaines communautés bibliques dont évangéliques en terres d’Europe et d’ailleurs.
   L’hindou[5] pratiquant, vous dira : je ne mange pas de viande, je suis végétarien[6] !
   L’homme toranique pratiquant, vous dira, pour manger bien, une bonne alimentation saine, il faut nécessairement manger casher.
   L’homme évangélique pratiquant, se fiant aveuglément à Paul, le pharisien[7], vous dira ; il n’existe aucune restriction alimentaire pour nous. On peut ainsi manger du singe, de la grenouille, des vers, comme du porc sauvage ou domestique, l’animal phare du monde évangélique, du monde de la croix. Il semble être sur le même pied d’égalité que l’homme chinois[8].
   L’homme de Roumanie, le gitan, considérant le cheval comme animal sacré, refusera, lui, d’en manger.
   Enfin, l’homme croyant soumis, pratiquant de son culte, se réfèrera, lui, à la Loi divine de son Livre sain : Le Coran et à sa Tradition prophétique.

   Les communautés.

   Parmi toutes les communautés citées, l’une en ligne de mire, en terres bibliques d’Europe, semble être la Communauté mohammadienne. Sa présence, en terres d’Europe, ne gêne pas dès l’instant que cette dernière se comporte comme la majorité de la population[9]. Si celle-ci décline les avances faites, les rappels à l’ordre, les mises en garde, les menaces, etc. ; alors elle est montrée du doigt, mise au banc des accusées, mise à l’index, et n’ira-t-on pas jusqu’à lui faire un procès d’intention ? Elle sera caricaturée, rejetée, banalisée. Tout cela parce qu’elle ne veut pas vivre comme vit l’ensemble des gens de son époque[10].

    Le temps, l’époque.

   En terres d’Europe bibliques, la religion a été réduite à un mouchoir de poche[11]. Aussi considère-t-on que face au progrès existant, il est nécessaire de mettre sa propre religion de côté, c’est-à-dire de vivre avec son temps, et de mettre tout interdit ‘religieux’ au placard ! Les mots : le ‘temps’, ‘l’époque’, sont des mots usités, très à la mode, dans ce genre de sociétés dites ‘civilisées’ ‘modernes’, ceci dans le langage quotidien. On en vient même à maudire les anciens, à les ridiculiser… ! A se ridiculiser…

   Les "amoureux" de la Planète terre.

   Pour ceux et celles qui sont ‘amoureux’ de ce bas monde[12], qui renient, haut et fort, leur divin Créateur et Législateur, l’existence d’une vie éternelle réelle après la Mort, la Résurrection, le Jour du Jugement dernier, enfin la Rencontre réelle avec leur divin Créateur ; il est bien évident que tout interdit dit religieux, rattaché à une religion quelconque, n’a pas lieu d’être, sa raison d’être ! Il est au contraire un rempart, une contrainte, un acte irresponsable, dangereux, pour vivre harmonieusement en société, au sein d’une société moderne, en pleine évolution ! D’où l’appel de pied lancé par les gens de la Mécréance, de l’Athéisme, certaines gens du monde biblique (croyants & incroyants) et autres pour abandonner définitivement ces ‘contraintes’, ces lois dites ridicules et d’un autre âge !  

   Le péché, sa notion.

   En terres bibliques européennes, le mot ‘péché’, sa notion, a complètement disparu du langage courant. Pécher, commettre un péché, est devenu banal[13]. La loi des pays a été faites de telle façon que l’évolution[14] et la liberté ont permises de mettre fin au régime autoritaire des Dignitaires religieux. On les sollicitera éventuellement lors d’un mariage, d’une naissance, d’une mort. Entre temps, ils sont invités à vivre en moines, en retrait de la société. La loi des hommes a mis fin à ce qui est (était) estimé à une hégémonie, à un pouvoir inacceptable et insupportable... Aussi, verra-t-on de nombreux tabous disparaître, la dépénalisation de tout ce qui se rapporte au sexe (copulation, adultère, mariage légal religieux, licence, etc.). Le slogan des gens de l’Athéisme et de la Mécréance ne sera-t-il pas : il est interdit d’interdire ! Ou : responsable mais pas coupable[15] !

Ne pas jouer avec l’interdit divin.

   Selon le messager divin : « Dieu est jaloux et la jalousie de Dieu ne tolère pas que l’homme transgresse Ses interdits ». (Transmis par Bokhari et Mouslim).
   Selon Abou Horeirah le messager de Dieu (sur lui Prière et Paix !) a dit :

   « Quiconque m’obéit, obéit en fait à Dieu et qui obéit à « celui à qui j’ai confié un commandement » obéit en fait à moi. Qui me désobéit, désobéit en fait à Dieu et qui obéit à « celui à qui j’ai confié un commandement » désobéit en fait à moi ». (Coran IV 59).
   En quoi consiste exactement l’obéissance au Messager de Dieu ? Selon l’avis émis par certains Savants religieux, en fait par ces termes Dieu ordonne de se conformer à la Norme (la sounnah) de Son messager.

   D’après `Ata, obéir au messager c’est se conformer à sa « Norme ». Et selon une autre version : « Obéir au messager c’est suivre le Livre (Le Coran) et la Norme ». Telle est notre règle.

    Dieu (exalté soit-Il !) a créé l’homme dans le sein de sa mère. Une fois sur terre, mis au monde, il découvre le monde qui l’entoure. Aussi, suivant l’enseignement qu’il reçoit de ses parents, de son entourage, de son environnement ; il deviendra dès sa naissance un individu se réclamant d’une religion précise. En tout premier lieu, ce sont ses parents, ses proches, qui feront de lui un homme biblique, un hindou, un athée, un mécréant, etc.
   La plus dure des choses dans la vie d’un individu sera sans doute de découvrir que celui qui donne véritablement à manger à l’humain, c’est uniquement le Seigneur des mondes, le divin Créateur. En aucun cas son travail, lequel n’est qu’une cause.
   L’athée, le mécréant, l’orgueilleux rejettent pareille croyance. Pour eux, l’existence même d’un divin Créateur reste à prouver ! A partir de là, on comprend que cette sorte de gens refuse catégoriquement Son adoration, Le remercier et suivre Sa loi.

   Droit du corps. La santé un thème primordial.

    Nous avons vu que Celui qui crée l’enfant dans le sein de sa mère, c’est le divin Créateur. En aucun cas la mère par elle-même. Elle ne sera qu’une cause à effet. Elle devra suivre la loi instaurée par le divin Créateur Lui-même. Ensuite, pour qu’un corps vive, reste sain ; il lui faut suivre une règle instaurée par le divin Législateur. Car Celui qui donne la nourriture à l’ensemble des cieux et de la terre, n’est-ce pas le divin Créateur ? Il est, pour parler un langage biblique, le Père nourricier[16] par excellence, dans le sens que c’est toujours Lui le véritable Pourvoyeur des cieux et de la terre. Que cela plaise ou non à l’homme orgueilleux, détracteur, ergoteur !

   La Planète terre lieu des épreuves et des examens pour tout fils d’Adam.

   L’Athée comme son frère le Mécréant ne comprend pas le sens des interdits divins. Ils jouent plutôt avec... Dans toute chose pourtant il y a ses limites. Sur terre l’homme propose mais le divin Créateur dispose. Et le véritable lieu de séjour de la créature humaine sera en final le Paradis ou le Feu infernal. Tout cela ne sera-t-il pas décidé lors de la Résurrection et le Jugement divin ? Là, il saura alors s’il est un élu ou un damné. Ce sera un jour de regret pour ceux et celles qui transgressaient, s’amusaient, changeaient, abolissaient, raillaient les interdits divins et la Loi divine.

   Chez les gens de la Bible, les exégètes n’ont-ils pas enseigné à leurs adeptes que le Feu infernal fera disparaître à tout jamais[17] celui qui est projeté en lui[18] ? Mais la réalité veut, à travers le sceau des Ecritures : le Coran, qu’il en soit tout autrement : il sera donné au contraire au supplicié, au brûlé ; un autre corps[19] pour qu’il goûte, à juste titre, son juste châtiment. Et ceci sera alors un châtiment éternel pendant que l’élu goûtera, lui, les délices du Paradis. Et voyant cela au damné d’interpeller l’élu…  (à suivre)

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !
 

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Ou le bouddhiste.
[6] Les basses classes de l’Hindouisme (Intouchables) ont le droit d’élever le porc, voir de manger sa chair.
[7] Le fondateur de la secte dénommée : le Christianisme. Son symbole : la croix. Le plat préféré offert à ses adeptes, à l’instar des gens du Sabéisme d’Europe ; le porc sauvage ou domestique !!! De quoi ravir Obélix ! Paul dénaturera, sur ordre du Rabbinat de l’époque, la religion prêchée et enseignée par le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !). Son but : projeter ses suivants dans le Feu infernal et les éloigner de la Vérité !
[8] Qui se réclame de religions comme le Bouddhisme, de Confucius, ou de l’Athéisme (à l’instar de ceux qui suivent une idéologie athée, matérialiste, d’obédience toranique le maxisme-léniniste), etc.
[9] Comprendre ceux et celles qui sont venus de l’ensemble de l’Afrique et autres continents depuis les années 1960. Ne sont pas compris les gens d’origines d’Europe : Bosnie, Albanie.
[10] Comprendre : les gens de la Bible (croyants & incroyants).
[11] A un tel point que prononcer le nom de ‘Dieu’ est devenu tabou au sein de nombreuses sociétés bibliques européennes dont la France, en particulier.
[12] A l’instar des gens de la Synagogue et de la Torah. Le prophète a dit : « Le monde est beau et verdoyant. Le Seigneur vous y a mis comme Ses représentants. Faites attention à ce que vous faites. Lorsque le monde fut offert au peuple d’Israël, il s’est perdu dans l’amour des bijoux, des femmes, du parfum et des beaux vêtements ». 
   Selon Hassan : « Par Dieu, le peuple d’Israël a adoré les idoles après avoir adoré le Miséricordieux à cause de son amour du monde ».  Ichoua (Jésus) a dit : « Ne prenez pas le monde pour une divinité, il vous prendra alors pour esclaves ».
   Le Seigneur a révélé à Moché (Moïse) : «  Moché, ne t’adonne pas à l’amour du monde. Ne viens pas Me voir avec une faute aussi grande ».  Ichoua (Jésus) a dit : « L’amour du monde et de l’au-delà ne peuvent coexister en un croyant comme l’eau et le feu ne peuvent coexister dans le même ustensile. »
   Dans le livre Keli Yakar, il est écrit : Le peuple juif porte trois noms : Israël, Jacob et Yechouroun. Le Saint, béni soit-Il, dit : « Si Je prends les trois dernières lettres de ces trois noms, cela forme le mot lavan (blanc) », ce qui signifie : grâce aux mérites de Jacob, les péchés d’Israël seront blanchis et pardonnés. Si le peuple juif persiste à pécher, alors les lettres du mot lavan s’inverseront pour composer le mot naval qui veut dire « avili » et « impie ». Le verset dit d’ailleurs ; Car ils sont une génération de perversions (Deut. 32:20). Israël est un peuple qui a transformé lavan en naval. (Op. cit. p. 932).  
[13] Un péché comme la fornication, l’adultère, ne deviendra-t-il pas un péché véniel ? Tuer un enfant, pour une personne féminine, avec un contraceptif ne deviendra-t-il pas un péché véniel ? On veut bien accomplir l’acte, répondre à une impulsion, une passion sordide, mais on ne pas assurer ce que l’on fait d’acte répréhensible au regard de la Loi divine ! On se cherche des causes et de multiples excuses pour se justifier. Le Jour des Comptes, le pourra-t-on ?
[14] Terme à la mode dans les sociétés bibliques.
[15] En terres bibliques d’Europe, dont en terre des Gaules, slogans chers pour les gens du Partissisme des gauches. Dont la mécréance et l’athéisme a fait place à la foi. On a qu’une vie : celle d’ici bas !
[16] Le Seigneur, avec un s majuscule, en français. Le mot rabb, en arabe, exprime cette idée. Dans d’autres langues, syriaque, araméen, hébreu, le mot Père deviendra un nom divin. Père = Seigneur.
[17] Pour les gens de l’Évangile, comparer : Lieu du feu éternel où, après le Jugement dernier, seront jetés le diable (appelé également Satan, c’est-à-dire « l'Adversaire ») et ses anges (Matthieu, chapitre 25, verset 41). Le livre de l'Apocalypse (chapitre, 20 versets 10 à 15) explique :
« Et le diable […] fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont et la bête et le faux prophète ; et ils seront tourmentés, jour et nuit, aux siècles des siècles. Et je vis un grand trône blanc […]. Et je vis les morts, les grands et les petits, se tenant devant le trône ; et des livres furent ouverts ; et un autre livre fut ouvert qui est celui de la vie. Et les morts furent jugés d’après les choses qui étaient écrites dans les livres, selon leurs œuvres. Et la mer rendit les morts qui étaient en elle ; et la mort et l'hadès rendirent les morts qui étaient en eux, et ils furent jugés chacun selon leurs œuvres. Et la mort et le hadès furent jetés dans l’étang de feu : c’est ici la seconde mort, l’étang de feu. Et si quelqu’un n’était pas trouvé écrit dans le livre de vie, il était jeté dans l’étang de feu. »  Lire aussi…
   On voit combien ces croyances sont loin de la vérité. On y trouve là une trace certaine de l’influence du Sabéisme (par extension du Paganisme européen, et de la mythologie égypto-greco-romaine, etc.), laquelle a déteint sur le Christianisme actuel, la religion enseignée par Paul. Ces enseignements erronés ne permettent-ils, en sociétés bibliques, à l’Athée ou au Mécréant à prendre position, à se positionner ? Dès l’instant qu’il sera jeté dans l’étang de Feu et disparaîtra à tout jamais, pourquoi pour lui ne pas profiter de cette vie ici-bas et s’en donner à cœur joie ? Ce qu’il ignore, c’est qu’après la Résurrection, il n’y pas pour le fils d’Adam de seconde mort. Pour le damné, à lui sera réservé un châtiment éternel et pas d’issue à sa situation…
[18] Selon Jacques Kohn : Il n’existe pas dans la Tora de référence explicite à l’enfer.
Cependant, la littérature talmudique et midrachique est riche d’indications sur ce que nos Sages appellent le « gueihinnom », terme hébraïque le plus souvent employé pour désigner l’enfer.
C’est ainsi que, s’il n’est pas dit du deuxième jour de la création qu’il était bon, c’est parce qu’il a été celui où a été créé le feu du « gueihinnom » (Pessa‘him 54a).
De même, Hachem a montré au prophète Jonas, depuis le « poisson » qui l’avait avalé, le « gueihinnom », comme il est écrit : « Du sein du cheol , j’ai crié ; Tu as entendu ma voix » (Jonas 2, 3).
Notre tradition nous apprend qui les âmes des morts attendent la résurrection dans le Jardin d’Eden, et qu’il existe également un endroit pour le « nettoyage » des âmes, le « gueihinnom » qui, dans un certain sens, est aussi une récompense venue de Hachem . Car celui qui a atteint le « gueihinnom » est assuré d’y être préparé pour le monde à venir.
Il est évidemment préférable d’échapper dans la mesure du possible à cette « récompense ». Néanmoins, les âmes qui ont traversé le « gueihinnom » se joignent à celles qui sont allées directement au Jardin d’Eden, et elles attendent toutes là-bas le « grand et terrible jour du jugement » dont parlent les prophètes (voir notamment Malachie 3, 23).
Le judaïsme considère que les impies seront punis par un séjour dans le « gueihinnom » d’une durée de douze mois, après quoi ils ne souffriront plus et leurs âmes rejoindront la « plante des pieds des “tsaddiqim” » (au sens de Malachie 3, 21).
Il n’en est autrement que pour ceux qui ont manifesté, leur vie durant, une totale impiété et une totale dépravation. Ceux-là subiront des tourments éternels (Roch hachana 17a). (L’enfer du judaïsme)
   Autre : (…) les sages savent que chaque mitsva est porteuse d’une valeur supérieure à sa récompense. « Accomplir la volonté du Tout-Puissant », dit le rabbin Weinberg, « est une fin en soi. Nous autres Juifs n’aspirons pas à aller au paradis, mais plutôt à faire de cette terre un paradis. Chaque mort est considérée comme une échec. »…
   «Mieux vaut une heure de techouva et de bonnes actions dans ce monde-ci qu’une vie entière dans le monde à venir ». Les Juifs croient au paradis. Mais notre tâche consiste à faire de ce monde-ci un paradis. Et ce paradis, qui est la somme de tous les choix que nous faisons à chaque minute, de notre lutte de chaque heure, de nos efforts quotidiens, est infiniment précieux. Et l’anéantissement de ces jours, de ces heures, de ces minutes, lorsque la vie s’arrête est infiniment tragique (Coran LXII 8). Lire…
   A en lire et écouter les gens de la Synagogue et de la Torah, les gens du judaïsme n’enseignent-ils pas à leurs adeptes que le Feu infernal c’est pour les autres dont les gens de l’Évangile en particulier ? Pour le fils de Marie et sa mère ? Tout ennemi du judaïsme ? Et que même si quelques adeptes entrent dans le Feu infernal, ce sera pour un temps limité (Coran III 23-4). En aucun cas pour l’Éternité de l’Éternité ! Aussi, et grâce au sceau des Écritures, nous découvrons qu’il en sera tout autrement (Coran III 25). Le Coran ne met-il pas en lumière ce que bon nombre de gens de la Synagogue ont su cacher à leurs adeptes ? Idem pour leurs frères de l’Évangile ? 
[19] Voir Coran : IV 56.



Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !

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Cette page a été mise à jour le 27/06/13 . . / Fait le 05/05/2010

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