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                 Histoire

L'Empire Ottoman
ou l'Ancien Empire islamique

L'Empire démembré
(Rôle du monde occulte et des gens de la Thora en terre d'Islam)


La Franc Maçonnerie en Turquie par FLAVIEN BRENIER (3 pages).

Les commerçants anglais qui fréquentaient les ports du Levant[1] furent les premiers introducteurs de la Franc-Maçonnerie en Turquie. On les trouve à l'œuvre dès 1730, c'est-à-dire à l'époque où d'autres émissaires maçonniques travaillaient la France, l'Espagne, l'Allemagne et les Pays-Bas. En 1738, ils avaient déjà obtenu des résultats positifs ; en effet, on remarque, cette année-là, l'existence à Smyrne et à Alep de deux loges relevant de la Grande Loge d'Angleterre[2].

   C'était l'année même où le Pape Clément XII venait de lancer contre la Franc-Maçonnerie une encyclique qui eut un retentissement considérable dans les pays catholiques (28 avril 1738). Certains gouvernements protestants n'avaient pas attendu cette encyclique pour porter contre la secte[3] une condamnation semblable : en 1735, les Etats généraux de Hollande avaient interdit les assemblées maçonniques, et la ville libre de Hambourg, le roi de Suède et la république de Berne firent de même en 1738. Le principal grief que ces puissances, de religion si opposée, avaient contre la Franc-Maçonnerie était son indifférentisme religieux, masque transparent de l'athéisme[4]. C'est ce même grief qui décida la Porte Ottomane à entrer dans la voie des prohibitions. Un firman du sultan Mahmoud I" prononça, en 1740, l'interdiction de tenir des réunions maçonniques dans toute l'étendue de l'empire ottoman ; les Loges d'Alep et de Smyrne, et celles que l'on travaillait à constituer à Constantinople et à Alexandrie d'Egypte, durent fermer leurs portes.

 

   Ce sommeil dura huit années, au bout desquelles un certain nombre d'Anglais résidant à Constantinople organisèrent à petit bruit une Loge et tinrent des « tenues » régulières, dans lesquelles quelques notables turcs et grecs furent initiés. Le grand vizir eut vent de ces assemblées secrètes et fit cerner les FF.-.[5] dans leur local, un soir où ils étaient réunis. Des mesures sévères les menaçaient, quand se produisit l'intervention de l'ambassadeur d'Angleterre[6] : ce dernier parvint, non seulement à faire remettre en liberté ses compatriotes, mais encore à obtenir la même mesure en faveur des FF.-. de nationalité ottomane. Cet incident démontrait qu'on pouvait impunément braver le firman d'interdiction : aussi, dès le lendemain, la Loge de Constantinople se reformait, et d'autres Loges surgirent, les années suivantes, dans la plupart des grands ports de Turquie et d'Egypte[7].

   Si les premières Loges turques avaient été de fondation exclusivement anglaise, il ne tarda pas à en apparaître d'autres dont l'origine était différente. A partir de 1770, on remarque en Turquie l'existence de Loges allemandes et surtout françaises. Ces dernières allaient, en matière d'irréligion, bien au-delà des timides audaces qui avaient fait prohiber par Mahmoud Ier les loges de 1740. Elles répandaient, parmi les Grecs et Musulmans initiés, des doctrines ouvertement athées et mêlées d'aspirations à la destruction de tous les trônes[8]. Ainsi se créait peu à peu un parti révolutionnaire semblable à ceux d'Occident dans cette Turquie qui n'avait été divisée jusque-là que par des rivalités ethniques ou confessionnelles[9]. La Porte[10] n'était pas sans se rendre compte des tendances de la Franc-Maçonnerie française, allemande et même anglaise. Désarmée à l'égard de cette dernière par la protection que lui accordait le gouvernement britannique, le sultan cherchait du moins à entraver la formation des Loges d'autres nationalités. Il avait demandé aux religieux français ayant la garde des Lieux Saints[11] de refusera tout étranger suspect de maçonnerie l'autorisation de les visiter, et une convention passée avec le roi Louis XVI permettait aux autorités ottomanes d'expulser les consuls français qui seraient convaincus de s'être affiliés à une Loge maçonnique. (Barruel, Mémoires, V.)

   Malgré ces précautions, l'action maçonnique fut assez intense en Turquie, vers la fin du XVIIIe siècle, pour que la révolution française fût assurée d'y trouver, quand elle éclata, des admirateurs et des complices[12]. Un de ces derniers fut le chevalier de Mouradgéa d'Hohson. Grec d'origine, mais familiarisé de bonne heure avec l'Occident par de nombreux voyages, il était en relations suivies avec les maçons Martinistes de France et les maçons Illuminés d'Allemagne. Il dut à leur influence autant qu'à ses belles facultés une rapide carrière dans la diplomatie, couronnée par l'ambassade de Suède à Constantinople. Couvert dès lors par l'immunité diplomatique, il forma avec deux Français (M. Ruffin, attachée l'ambassade de France, et M de Lesseps) un triumvirat destiné à révolutionner l'empire turc. Les Loges existant en Turquie fournirent en abondance aux trois conspirateurs les agents nécessaires pour agiter le peuple de là capitale et travailler les provinces sous des prétextes habilement choisis. Un moment, l'on put croire qu'une révolution républicaine et athée ferait pendant, sur les rives du Bosphore, à celle qui ensanglantait Paris. Mais la Turquie n'était pas la France, et les difficultés qu'un milieu aussi spécial présentait à l'action firent finalement échouer les projets de Mouradgéa d'Hohson et de ses complices. Le dépit que cet échec causa aux puissances maçonniques du continent fut pour beaucoup dans l'extraordinaire décision prise par le gouvernement français de lancer Bonaparte[13] et son armée sur l'Egypte et la Syrie, alors que la Turquie était en paix avec la France.

   Les Loges maçonniques turques ne montrèrent guère de vitalité pendant la première moitié du XIXe siècle. La raison en était que l'activité de la secte se portait plutôt alors vers le triomphe des nationalités grecque, bulgare et serbe[14]. Non que la cause de ces peuples chrétiens intéressât en quoi que ce soit la Franc-Maçonnerie ; mais celle-ci nourrissait l'espoir d'affaiblir l'empire turc par la proclamation de l'indépendance des peuples soumis, et de fédérer ensuite les Etats balkaniques en une vaste république, qui eût été plus facile à dominer maçonniquement que l'empire autocratique des sultans. C'est pour cette raison que la Franc-Maçonnerie favorisa des 1814, la création de l'Hétaïria (société secrète à cinq degrés, qui avait pour but la résurrection de la Grèce), et, à partir de 1820, de l'Omladina, association de tous points semblables à la précédente, mais réservée aux populations slaves (Voir notamment a ce sujet : Histoire de la Révolution de Grèce, par Poucqueville, Paris, 1824, Firmin Didot, t. II, p. 309 et 310.. Et The secret Societies of the european Revolution, London, 1876, t. II, p. 47 et suiv.). Nous n'entendons point élever ici un blâme contre ces associations, qui comptaient dans leurs rangs une grande majorité de patriotes dignes d'éloges et dont les efforts contribuèrent à préparer l'affranchissement des chrétiens d'Orient. Nous constatons seulement un fait : à savoir que la Franc-Maçonnerie accorda momentanément son concours à ces associations, dans le but de les dominer et d'aboutir par leur moyen à la création d'une République des Balkans. Si cette tentative n'atteignit pas complètement son but et si les nationalités ressuscitées se donnèrent des constitutions monarchiques, il faut en faire remonter la cause à l'action diplomatique des puissances européennes, et surtout de la Russie, qui contraria les vues de la secte.

   Il est impossible de relever une action politique sérieuse de la part des Loges maçonniques turques sous le règne de Mahmoud II (1808-1839) et sous celui de son successeur Abd-ul-Medjid Ier. Cependant, à partir de 1850, elles commencèrent à se peupler de hauts fonctionnaires mécontents, en même temps que de jeunes gens ardents, familiarisés avec la littérature la plus avancée des pays occidentaux et désireux d'en importer les conceptions en Turquie[15]. En septembre 1859, un complot tramé contre la vie du sultan fut découvert ; plusieurs francs-maçons y avaient participé. Abd-ul-Medjid commua en un ordre d'exil la peine capitale prononcée contre les conjurés. Il devait mourir vingt mois plus tard, à 38 ans, d'une manière obscure.

   Son frère Abd-ul-Aziz, qui lui succéda, sincèrement désireux de régénérer son empire par l'imitation des institutions européennes, s'entoura de ministres et de hauts fonctionnaires appartenant à la Franc-Maçonnerie, sans se douter que ceux-ci ébranleraient jusque dans ses fondements son autorité civile et religieuse[16]. Le type de ces hommes d'Etat maçonnisés fut Midhat pacha, qu'il fit gouverneur de la Bulgarie, puis ministre, et enfin grand vizir, et qui devait un jour souiller ses mains du sang de son souverain.

   Le règne d'Abd-ul-Aziz mit pratiquement la Turquie aux mains des Loges turques, c'est-à-dire de moins de trois cents personnes, car l'effectif des maçons de l'empire ottoman n'atteignait alors pas ce chiffre. Mais il n'en fallait pas tant pour occuper tous les postes importants. Tout ne fut pas à blâmer dans les réformes qui résultèrent de cette influence : la réduction de la liste civile du sultan de 70 millions de piastres à 12 millions, le licenciement du harem impérial (Abd-ul-Aziz ayant proclamé son intention d'être monogame), la visite du sultan à l'exposition universelle de Paris, son voyage à Londres et son acceptation du titre de bourgeois de la cité ; tout cela pouvait choquer le sentiment traditionnel chez les Ottomans sans mettre en péril leur édifice politique et religieux. On n'en saurait dire autant des réformes faites dans l'enseignement, qu'on s'efforça de faire à confessionnel, comme au lycée impérial de Galata-Séraï, dont presque tous les professeurs furent francs-maçons.

   Une politique patiente, mais inflexible, visa à restreindre les libertés de toutes les religions, y compris la religion musulmane. Cette dernière possède en Turquie des biens considérables, dits biens Vakoufs, créés par les donations accumulées des fidèles[17]; ces biens, qui servaient en majeure partie à secourir les indigents, furent frappés, en mai 1867, de lourdes charges[18]. En juillet 1869, un Code civil, inspiré de celui que la Révolution a donné à la France, fut promulgué. En même temps, des persécutions incessantes contre les chrétiens amenaient, en Crète et en Bulgarie, des soulèvements qui furent noyés dans le sang. Aux protestations de l'Europe, le gouvernement maçonnique d'Abd-ul-Aziz répondait que jamais les hautes fonctions de l'empire n'avaient été plus largement ouvertes aux chrétiens, ce qui était vrai : mais les chrétiens en question étaient tous affiliés à la secte maçonnique et aussi détachés de toute croyance religieuse que leurs collègues francs-maçons d'origine musulmane. Cependant, les rêves d'une partie de la Maçonnerie turque allaient bien au-delà de la politique antireligieuse qu'il était possible d'imposer à Abd-ul-Aziz : ils ne visaient rien moins que l'établissement d'une république athée[19], qui eût fait peser sur toutes les races et toutes les religions de l'empire le joug de quelques centaines de tyrans occultes. Le comité maçonnique secret qui reflétait cette tendance était en correspondance avec la fraction la plus avancée du Carbonarisme européen, la Jeune-Europe, fondée par Mazzini[20]; il devint bientôt, sous le nom de Jeune-Turquie, une section de l'organisation mazzinienne.

   L'homme le plus actif de ce comité était un Roumain du nom de Ganesco. C'est lui qui eut l'idée d'assurer l'avenir du parti en lui conquérant une recrue de choix, le prince Mustapha Fazyl pacha, dont l'immense fortune devait permettre à la Jeune-Turquie de ne pas compter avec l'argent. Petit-fils de Méhémet-Ali (fondateur de la dynastie égyptienne), et fils d'Ibrahim pacha (le vainqueur de la Turquie), Mustapha Fazyl avait un frère aîné, Ismaïl qui devint souverain de l'Egypte, en 1863. Selon l'ordre de succession en vigueur dans les pays musulmans, l'héritier présomptif est toujours le frère puîné (en l'espèce Mustapha Fazyl), et non le fils du souverain. Mais Ismaïl, désireux d'assurer la couronne à son fils Tewfick, imagina de demander au sultan, suzerain de l'Egypte, de changer l'ordre d'avènement au trône dans ce pays, et de rendre le pouvoir transmissible de père en fils. Abd-ul-Aziz était trop porté à braver les traditions musulmanes pour ne pas y consentir. C'est ainsi que Mustapha  Fazyl pacha se trouva frustré de l'espoir d'être un jour souverain de l'Egypte. Il en conçut un vif ressentiment contre le sultan et chercha l'occasion de lui rendre quelque mauvais office. Celle-ci ne se fit pas attendre. Le F.-. Ganesco sut, en effet, s'insinuer dans la confiance du prince et le décider à mettre ses immenses ressources au service[21] de la Jeune-Turquie naissante.
   On possède le document constitutif de cette association, qui devait jouer un si grand rôle dans l'histoire de Turquie, pendant ces quarante-cinq dernières années. Nous le reproduisons d'après les Tablettes d'un spectateur, du F
\
Ganesco, qui fut le grand artisan de toute l'intrigue et qui s'en est fait l'historien. Nous nous bornons à y rétablir en toutes lettres les noms dont il n'a donné que les initiales : 

CONSTITUTION DE LA CHANCELLERIE DE LA JEUNE-TURQUIE.
(Fondée à Constantinople, à Paris et à Londres en 1867.) 

   ART. Ier. — Le parti de la Jeune-Turquie est fondé dans le but : 1° de réaliser le programme réformateur du prince Mustapha Fazyl pacha, contenu dans sa lettre au sultan (Cette lettre était une véritable déclaration de guerre plutôt que de principes, rédigée parle F.-. Ganesco, signée par Mustapha Fazyl pacha, et répandue à des milliers d'exemplaires à Constantinople.), et par conséquent d'opérer le renversement du régime et des hommes qui oppriment et épuisent l'empire ottoman ; 2° de détruire l'influence russe en Orient par l'émancipation des populations chrétiennes de Turquie ( Les liens qui unissaient la Jeune- Turquie naissante à la Jeune-Europe et au F.-. Mazzini donnent un singulier accent d'ironie à cette sollicitude témoignée aux chrétiens...). 
   ART. 2. — La Jeune-Turquie a son chef, son Comité directeur, ses agents civils et militaires, son siège principal.
   ART. 3. — Son chef est S. A. Mustapha Fazyl pacha, président du Comité directeur.
   ART. 4. — Les membres du Comité directeur, à Paris et à Londres, sont : S. E. Zia-Bey, Aghia Effendi, le comte L. Plater, Kemal Bey et Simon Deutsch (Le comte Plater, carbonaro du plus haut grade, était un réfugié polonais en rapports suivis avec Mazzini ; il résidait ordinairement à Zurich. Simon Deutsch, juif révolutionnaire d'origine autrichienne, avait été successivement  banni d'Autriche et de Turquie ; il était également ami de Mazzini
[22]
.).
   ART. 5. — Les membres du Comité directeur spécialement chargés des affaires de l'intérieur de l'empire ottoman sont : S. E. Zia Bey et Aghia Effendi, sus-désignés.
ART. 6.— Les membres du Comité directeur spécialement chargés des affaires internationales et diplomatiques sont le comte L. Plater et Simon Deutsch. Ils nomment des agents dans tous les pays.
   ART. 7. — Le Comité directeur aura pour sièges Paris et Zurich. Il mettra promptement à l'étude l'élaboration d'une constitution et la réorganisation de l'armée.
   ART. 10. — Le principal agent du comité à Constantinople sera M.J.-B. Bonnal (M. Bonnal était un banquier français, franc-maçon de vieille date, établi à Pera (Constantinople)).
   Si l'intérêt de la Jeune-Turquie exigeait la présence du prince Mustapha Fazyl pacha à Constantinople, il s'arrangerait de façon à obtenir du Sultan sa rentrée, afin de donner par sa présence dans la capitale de l'empire une très grande impulsion aux affaires de la Jeune-Turquie.
   ART. 12. — Dans le cas où le prince Mustapha Fazyl viendrait à mourir avant que la grande entreprise eût réussi, le prince Mourad, Khalil-Bey, Zia-Bey et les membres du Comité de Constantinople poursuivraient l'oeuvre suivant le plan tracé, jusqu'au jour où la cause de la régénération ottomane aurait triomphé de ses ennemis intérieurs et extérieurs.
   ART. 13.— (Secret) Le soussigné, président du Comité directeur, s'engage à verser annuellement dans la caisse dudit Comité la somme de trois cent mille francs. Paris, 30 août 1867.                                                        Approuvé : MUSTAPHA FAZYL. 

   Tous les personnages mentionnés dans ce document étaient francs-maçons ; Mustapha Fazyl pacha et Kémal-Bey étaient même deux des membres les plus en vue de la Grande Loge de Constantinople. Quant au prince Mourad, mentionné à l'article 12, il n'était pas encore initié ; mais il le fut en 1872. Ce prince Mourad était le fils aîné du sultan Abd-ul-Medjid, le neveu par conséquent d'Abd-ul-Aziz alors régnant, et son héritier présomptif, aux termes de la loi musulmane[23]. Mais Abd-ul-Aziz, qui avait changé l'ordre traditionnel de succession pour la dynastie égyptienne, songeait a en faire autant dans sa famille, afin de pouvoir transmettre la couronne à son propre fils. Il s'était efforcé de faire consentir Mourad à cette substitution et n'avait réussi qu'à l'exaspérer et à le jeter dans les bras de la Jeune-Turquie. Le plan de celle-ci fut naturellement de renverser l'oncle au profit du neveu, et de donner à Mourad V, quand il régnerait, Mustapha Fazyl pacha pour grand vizir.  (à suivre Page 2)


[1] De l'Est, de l'Orient.
[2]
Le monde anglo-saxon a toujours été un vivier par excellence pour ce genre d'activités. Ils ont dit : « L'écusson de la Grande Loge d'Angleterre est entièrement composée de symboles juifs. » (Transactions of the Jewish Historical society. vol 2, page 156). - Rabbin Isaac Wise : « La Franc Maçonnerie est une institution juive dont l'histoire, les degrés, les charges, les mots d'ordre et les explications sont juifs du commencement à la fin. » (The Israelite of America. 3 août 1866). - « La Franc Maçonnerie est basée sur le Judaïsme. Eliminez les enseignements juifs du rituel maçonnique et que reste-t-il ? » (The Jewish Tribune. New York, 28 octobre 1927 vol 97 n° 18). - « Le langage technique, le symbolisme et les rites de la Franc Maçonnerie sont remplies d'idées et de termes juifs... Dans le rite écossais, les dates des documents officiels sont désignés suivant le calendrier et les mois de l'ère juive et on fait usage de l'ancien alphabet hébraïque. L'influence du Sanhédrin Juif est plus grande que jamais aujourd'hui dans la franc maçonnerie. » (L'encyclopédie juive. 1903, vol 5 page 503. O.B. Good, M.A. « The hidden hand of Judah » 1936. La main cachée de Judah). - « La tache la plus importante du Franc-Maçon est de glorifier la race juive. Vous pouvez compter sur la race juive pour dissoudre toutes les frontières. » (Le Symbolisme, journal maçonnique, Paris 1928).
   Question : Est-ce à dire que nous pouvons compter, demain, sur les gens de la Torah pour supprimer réellement les frontières avec leurs cousins d'Arabie, en Palestine ? Est-ce possible ? Ou est-ce un rêve ? Secundo : Naguère, les mots 'race juive' étaient employés couramment, bien qu'il n'existe pas de 'race juive' au sens propre du mot, mais plutôt des Fils d'Israël et des Judaïsés, des Hébreux. Le mot 'juif' (ou repenti) est à rattacher à ceux qui adorèrent le 'Veau' métallique (Coran II 54). Plus tard, il signifiera toute personne rattachée au judaïsme (croyante ou incroyante). Ne pas confondre ! Cette façon de parler semble courante dans les milieux toraniques, car les gens de la Torah ont perdus le sens exact du mot hébreu : Juif. On a dit :
Les juifs (hébreu : יְהוּדִים, Yëhûdîm ; yiddish : ייִדן, yiden ; ladino ג׳ודיוס, djudios, arabe يَهُودِيّ [ɪehudɪ], latin Iudæus [ɪudæus], grec ancien ιουδαίος [ɪuðajos]) sont les adhérents au judaïsme. Troisièmement : On se demande ce que peut faire réellement le Sanhédrin ici ? Adorerait-il un autre dieu, à l'instar des gens des loges, autre que Hachem ? Serait-il revenu au temps de Pharaon ? L'amour du 'Veau' métallique aurait-il toujours cette influence néfaste sur lui ? Qu'espère-t-il ? Quatrièmement : Hachem aurait-il ordonné de Le glorifier ou de glorifier tout autre que Lui ? Aurait-Il ordonné de glorifier ceux et celles qui se sont repentis à l'exclusion de toute autre créature de Sa création ? Des Fils d'Adam ? Commanderait-Il le mal, la turpitude et le blâmable ? Ceci est-il un enseignement biblique ? Des Prophètes ou des gens de la Synagogue ? Nous savons tous qu'un blanc n'est pas supérieur à un noir et inversement, un riche n'est pas supérieur à un pauvre et inversement, un intellectuel n'est pas supérieur à un illettré et inversement, tout être de la création n'est pas supérieur à un autre être de la création au regard de Hachem sinon que par la piété. Ne pas confondre ! De plus Hachem, 'c'est Lui qui sait le mieux qui pratique la piété !' (Coran LIII 32).
   Dans le sceau des Ecritures : Le Coran, Hachem, Ïlohîm, Allaha a bien décrit qu'Il a honoré les Fils d'Adam (Coran XVII 70). Soit tous ses descendants, sans exception. Et les Fils d'Israël et les Judaïsés, qu'ils le veuillent ou non, sont tous descendants de lui. Et à eux de naître des siècles bien après Adam (sur eux la Paix !). Secundo : Avant de descendre sur terre, lui et sa descendance, au Seigneur des mondes de prendre d'eux un engagement sûr et solennel : de Le reconnaître, Lui, comme Seigneur à l'exception de tout Autre ! (Coran VII 172). Engagement sacré, mais est-il respecté ? Sera-t-il respecté par les Fils d'Adam ? Troisièmement : Engagement formel aussi de l'ensemble des Fils d'Adam de ne pas suivre et adorer Lucifer, le Démon, le diable banni (que Dieu le maudisse !) (Coran XXXVI 60) ! En donnant foi à la Magie, à d'autres comme la Mécréance, l'Athéisme, la non reconnaissance de Hachem, les Fils d'Adam, les gens du Dualisme, les gens de la Synagogue et de la Tora ont-ils vraiment respecté le pacte de leurs ancêtres ? Les commandements de leurs Prophètes (sur eux la Paix !) ? L'enseignement de leurs Ecritures ? Non, on ne peut-être croyant et donner foi à la Magie ! Non, on ne peut-être croyant et s'affilier, de près ou de loin, avec les gens du Dualisme ! Le faire, n'est-ce pas aller à l'encontre de la Loi divine ? Jouer avec le Feu infernal ? Quatrièmement : On nous dit encore : "Chaque loge est et doit être un symbole du temple juif ; chaque maître dans son fauteuil, est un représentant du roi juif ; chaque Franc Maçon un représentant du travailleur juif." (An Encyclopedia of Freemasonry. Philadelphia. 1908). Autre : "Les Francs Maçons érigent un édifice dans lequel le Dieu d'Israël vivra pour toujours." (The Free mason guide. New York, 1901).
   Nous dirons : Comment des gens qui donnent, ont donné foi à la Magie, au Dualisme, puissent ériger un édifice pour Dieu, Hachem ? Se peut-il qu'Il l'agrée ? Commanderait-Il à Ses esclaves, le mal, la turpitude et le blâmable ? Et pourquoi édifier un édifice pour quelques gens à l'exclusion du reste de la création ? N'est-ce pas faire preuve d'injustice ? Hachem commanderait-Il l'injustice à Ses esclaves ? Enfin, se peut-il qu'Il vive dans pareil édifice ? Quand on sait que les cieux et la terre ne peuvent Le contenir ? Se peut-Il qu'Il prenne place et vive dans un édifice fait de pierres et de briques ? Aurait-Il un rapport, Lui le Créateur de toutes choses, avec l'espace, le volume, la largeur, la hauteur, les directions ? Lui qui est au-dessus de toutes choses créées ? Ne peut-être représenté sous quelle que façon que ce soit ? Quel dieu adorent donc ces sortes de gens ? Un dieu à leur image ? Secundo : Si l'homme du Dualisme a décidé de se donner corps et âme au judaïsme, n'est-ce pas son droit le plus strict ? Toutefois, il doit se rappeler de deux choses : 1) la religion de l'ensemble des Prophètes des Fils d'Israël et des Judaïsés depuis Avraham jusqu'au Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) a toujours été la Soumission et non le Judaïsme (Coran II 135, 140) ; 2) que le futur 'Roi' attendu par les gens de la Synagogue et de la Torah (et que certains dénomment : le Messie), n'est autre, non le Messie au sens propre du mot, mais le FAUX-MESSIE ! Comme ses frères en religion, il s'applique donc à préparer sa venue, son chemin, son devenir...
   Enfin, nous dit-on : "L'initié du rite du maître est appelé un humble représentant du roi Salamon." (The text book of free masonry, Londres page 7). Grâce au sceau des Ecritures, le Coran, nous savons que le roi et prophète Salomon (sur lui la Paix !) est pur des accusations dont il fait constamment l'objet de la part des gens de la Bible, de la Torah, de la Synagogue, du Dualisme et autres (Coran II 102). Et au Jour des Comptes, il réfutera d'avoir de tel représentant. En vérité, combien les Prophètes sont au-dessus de ce qu'ils décrivent et leurs associent !
[3] Secte qui ne limite pas ses activités à la Magie. Parmi les activités autres : la finance et la politique… On a dit : « Il s'agit au moins d'une lutte pour les intérêts de l'humanité que d'une lutte pour les intérêts et la domination du judaïsme. Et dans cette lutte le judaïsme se révèle comme la puissance dominante à laquelle la Franc-Maçonnerie doit se soumettre. Il n'y a rien là qui doive nous étonner, car d'une manière cachée et soigneusement déguisée le Judaïsme est déjà en fait la puissante dominante dans maintes grandes loges d'Europe. En ce qui concerne l'Allemagne, il ne faut pas oublier que le Judaïsme est maître des marchés financiers et commerciaux, maître de la presse à la foi politique et maçonnique, et que des millions d'Allemands sont financièrement ses débiteurs. » (Die Jeden als Freimaurer. Findel, juif, franc maçon.).
   Dans ce bas-monde, le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes a ouvert toutes grandes les portes de... au monde toranique. Mais, les portes du Paradis sont destinées, elles, uniquement aux élus ; non à ceux et à celles qui transgressent Ses lois et répandent la corruption, la haine, l'inimitié, l'injustice, la perversité, la prévarication, le mal et le blâmable sur terre et parmi Ses créatures !
   Action dangereuse et peu louable. Ceux et celles qui ont pris comme symbole, divinité et adoration L.u.c.i.f.e.r, n'ont, envers le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !), l'Evangile de Hachem, à l'instar des gens de la Torah et de la Synagogue ; aucune sorte d'amitié, d'amour envers le sceau des Prophètes d'Israël (sur eux la Paix !) et sa mère Marie. Si ce n'est que haine et inimitié. C'est, disent les observateurs, ce que les Templiers ramèneront dans leurs valises lors de leur expulsion de la Terre sainte. Au contact de différentes communautés religieuses de cette partie du monde, ils se feront dualistes (majous, en persan). Leur combat, en terres évangéliques, européennes et d'ailleurs, ne sera-t-il pas, disent les historiens et chercheurs en religions ; de restaurer le prétendu droit de Satan (que Dieu le maudisse !) ? Dieu, selon leurs croyances, ayant montré envers lui une injustice intolérable ! Et à eux d'opter pour le Noachisme, cette religion inventée de toute pièce par les gens de la Synagogue.
[4] Voir pour cela l'histoire de Pharaon (version coranique). Les magiciens, en majorité des Fils d'Israël, finirent pas croire en Dieu et en Mochè (sur lui la Paix !). Les sectes occultes : franc-maçonnerie, cabalistes, etc., appellent toutes à l'adoration du diable banni, et à la mécréance aux signes divins, aux miracles… Et n'ont que peu d'attachement aux Ecritures. On a dit :
   W. Sanderson, dit franc maçon, d'écrire :
« Il est facile maintenant mais aussi injuste de critiquer les fondateurs pour avoir introduit les traditions judaïques dans la Franc-Maçonnerie. Ils avaient fait un grand pas en supprimant le Nouveau Testament pour l'avantage de l'harmonie entre Chrétiens et Juifs. » (That which was lost. A treatise of free-masonry and the English mystery).
   Plus un peuple s'éloigne de son Livre saint, plus il devient inconscient et insouciant de ce qui lui arrive. Selon les témoignages et historiens, cela n'a-t-il pas toujours été le chemin des gens de la Bible de France dans les colonies, dont l'Algérie ? N'est-ce pas l'espoir que nourrissent les gens de la Bible (toranique + évangélique, croyants & incroyants) vis-à-vis de chaque personne de l'Islam traditionnel à travers le monde ? Aussi dépensent-ils des efforts considérables, des sommes fabuleuses de toute nature, pour que ce grand jour arrive enfin !? Preuve ainsi qu'ils reconnaissent de fait que leurs religions qu'ils prêchent et adoptent, n'ont rien à voir, de près ou de loin, avec la vraie Religion divine : la Soumission.
   Les liens intimes avec les cabalistes du monde toranique : Bernard Lazare d'écrire :
« Il est certain qu'il y eut des Juifs au berceau de la Franc Maçonnerie. Certains rites prouvent qu'il s'agissait de Juifs cabalistes. »
   Les gens de la Cabale semblent être des gens aimants prétendre qu'une parcelle de la Divinité serait en eux ! Ainsi, ils seront 'comme Hachem' au Jour des Comptes !? Selon eux, cette parcelle de la Divinité fait d'eux des supers hommes ! Qu'ils le veillent ou non, ils sont proches des croyances du monde de l'Evangile... Et proches du monde du Dualisme.

[5] F.-. ou FF.-. suivit de trois points formant un triangle ; .-. .
Signe de reconnaissance du monde occulte. Employé aussi dans la signature, peut-être écrit aussi sur la main, etc.
[6] rôle absurde de la part d'un tel homme.
[7] L'Egypte a toujours servit de base arrière des gens de la Bible pour ce genre d'actions. Et les Egyptiens ne sont-ils pas, à cette époque, des gens insouciants et inconscients ?
[8] Les gens occultes ont toujours rêvé de détrôner les rois et prendre leur place. C'est l'un de leur penchant. Benjamin Disraeli, premier ministre d'Angleterre
, juif et fils d'un père juif converti à l'anglicanisme, dans son roman « La vie de Sir George Bentinck » : A la tête de toutes ces sociétés secrètes qui forment des gouvernements provisoires se trouvent des Juifs. Autres propos : « Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l'imaginent ceux dont l'œil ne plonge pas dans les coulisses. ». - « Les gouvernements de ce siècle ne sont pas en relation seulement avec les gouvernements, empereurs, rois et ministres, mais aussi avec les sociétés secrètes, éléments dont on doit tenir compte et qui au dernier moment peuvent annuler n'importe quel accord, qui possèdent des agents partout - agents sans scrupule qui poussent à l'assassinat, capables, si nécessaire, de provoquer un massacre » - « Celui qui rencontre le plus de succès dans la vie est celui qui est le mieux informé. »
   On a dit :
   -
Pape Jean XXIII En 1963, Jean XXIII s'aperçut du "complot des Illuminatis" et voulut retourner en arrière. Il mourut.
{Dossier, Complot des Nations Unies contre la Chrétienté (Le), 05-07/1995, Serge Monast, Ed. RINF}
   Le pape Jean XXIII a été tué le 03/06/1963 à 19 h 49.
Sa mort parut dans le journal El Informator le 03/06/1943, publié par la grande loge des francs maçons de l'ouest du Mexique, comme s'ils savaient qu'il allait être tué !
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

  
- Pape Paul VI Le pape Paul VI fut élu pape et mourut mystérieusement six mois après. Son but était de donner les richesses de l'église aux pauvres du monde et retourner à la première doctrine Religieuse enseignée par Jésus Christ.
{Dossier, Complot des Nations Unies contre la Chrétienté (Le), 05-07/1995, Serge Monast, Ed. RINF}
  
- Le pape Jean Paul Ier Le pape Jean Paul 1er a été tué peu de temps après son élection. Il fut assassiné car il a voulu élaguer quelques pesantes branches de l’Opus Dei.
{Livre, Celui qui vient, Tome 2, Anne Givaudan, Ed. Amrita}
  
- Le pape Jean Paul II Il y eut une tentative d'assassinat contre le pape Jean Paul II car il était contre le "contrôle des Naissances", ...
{Dossier, Complot des Nations Unies contre la Chrétienté (Le), 05-07/1995, Serge Monast, Ed. RINF} (Source. Gouvernement mondial).
   Conclusion. Quand les gens se donnent une autre religion que Celle du divin Créateur, ne sont-ils pas la proie facile de Lucifer et de ses affidés ? Ils deviennent
Fils de Caïn des pieds à la tête, meurtriers. N'est-il pas, lui et selon les Ecritures, le père par excellence de tout meurtrier sur cette planète terre ? Ils sont subjugués par la Magie, notent les observateurs, rêvent d'une domination mondiale et totale. Dans le but d'asservir l'homme par l'homme ! Mais quoi qu'ils fassent, quoi qu'ils entreprennent ; ils ne feront que ce que le Décret divin a écrit pour eux. Et pour eux, dans l'Au-delà, de se retrouver face et avec les damnés de Lucifer, et Lucifer lui-même. Et à lui, ce jour-là, de se dégager de toute responsabilité auprès d'eux (Coran LIX 16). Dans Sa justice, le Juge suprême a promis une justice exemplaire pour tous ceux et toutes celles qui transgressent Ses ordres et Ses lois !
[9] Importante constatation qu'a oublié ou renié le monde arabe.
[10] Porte, ou Sublime-Porte (la), nom donné autrefois au gouvernement ottoman.
[11] de Jérusalem.
[12] On va essayer d'expatrier le mythe de "Révolution". C'est-à-dire désobéissance et réfutation de l'ordre établi.
[13] Lui-même adepte et disciple franc-maçon. Son rôle : détruire la Papauté de Rome. Ayant refusé d'obéir, il connaîtra la fin que nous lui connaissons tous : l'exil et l'humiliation. Les "frères" ne lui pardonneront pas ce faux-pas.
[14] On allait inculquer aux gens des doctrines comme le nationalisme, le socialisme, le communisme, etc. Chaque peuple ayant le droit de disposer d'eux-mêmes, de son avenir…Et le monde arabe en revenant à la bédouinité, à l'époque de l'Ignorance ; ne tardera pas à se faire l'apôtre de ces nouvelles doctrines et idéologies d'un autre monde. Jetant ainsi sa 'religion' aux oubliettes. Sa décadence n'allait pas tarder !
 

  
A l'époque, l'empire ottoman était un obstacle pour le monde biblique d'Europe, car il réunissait en lui des peuples, des langues et des nations. Chose que sont incapables de faire et de réaliser le monde biblique (toranique + évangélique). Ce qui est incroyable, remarque l'observateur, c'est que des années ou siècles plus tard, les gens de la Bible reviendront à une idée nouvelle (mais ancienne, prise à l'empire ottoman) : de combattre cette fois tout nationalisme pour y introduire une Europe des nations de l'Atlantique à l'Oural ! Toutefois avec des conditions très strictes. Entendre : Non basée sur la religion des ancêtres, mais selon la directive dualiste (maçonnique, idéologique, toranique et autre) ; c'est-à-dire sur une Europe sans dieu ni religion ! Une Europe p.o.l.i.t.i.q.u.e ! Une Europe qui croit en l'Homme non en la Puissance et la Volonté du divin Créateur et Architecte de l'Univers. La décadence de l'Europe sera ainsi précipitée.
[15] A l'instar de certaines gens de notre époque. On veut tout changer, devenir comme les gens du monde biblique, sans en mesurer les conséquences…
[16] Remarque importante. Les résultats de cette infiltration mettra l'Empire ottoman à genoux…
[17] En fait ce sont des biens "gelés" et disposant d'une législation particulière. Quand les "ottomans" quitteront, de gré ou de force, la terre arabe ; la plupart d'entre eux donneront leurs biens au Wakaf, plutôt que de les donner au monde arabe… Actuellement bon nombre de biens, de terres au Liban, Syrie, Algérie, etc., font partie du Wakaf. Mais le monde arabe sera peu respectueux de ces dispositions…Certaines seront mis en vente par leurs locataires ou autres personnes peu soucieuses de respecter la Loi divine.
[18] Ce qui est contraire à la loi coranique. Ce sont des bien reconnus pas la Loi coranique, divine. Des biens appartenant et dédiés exclusivement au Seigneur des mondes. L'Egypte (sous l'époque de Nasser) fera de même, puis se sera une règle générale dans les régimes, arabes, dit socialistes, nationalistes… Les grands dignitaires de l'Etat, du parti, de l'armée, du pouvoir, s'appropriant et partageant ces biens "sacrés" entre eux, etc.
[19] Remarque importante. Partie du monde biblique présente le Magisme ou Dualisme (loges, sectes occultes, etc.), de nos jours, comme une institution de bienfaisance apolitique. Ce qui est faux, estiment les observateurs lucides. Des Prophètes comme Mochè (Moïse-Moussa) sur lui la Paix !), Salomon (sur lui la Paix !) et bien d'autres ont combattu l'arme du Magicien : la Magie (Coran II 102) et le Magicien lui-même. Ceci remontant aux temps lointains, au temps de Babel. Le but avoué de certaines personnes du monde biblique (toranique + évangélique) n'est-ce pas "la reconstruction
[présumée] du Temple de Jérusalem", baptisé par eux : le Temple (non de Hachem) mais de Salomon ? On nous dit à ce sujet :

   Rev.S Mac Gowan : "La Franc Maçonnerie est fondée à la beauté morale sur l'ancienne loi d'Israël. Israël a donné naissance à la beauté morale qui forme la base de la Franc Maçonnerie." (The Free-mason, Londres 2 avril 1930) Cela reste à prouver. Qu'on regarde bien ce qui se passe en terres de Palestine, entre hébreux et arabes !
   "L'esprit de la Franc Maçonnerie c'est l'esprit du Judaïsme dans ses croyances fondamentales. Ce sont ses idées, c'est son langage, c'est presque son organisation. L'espérance qui éclaire et fortifie la Franc Maçonnerie est celle qui éclaire et fortifie Israël. Son couronnement sera cette
merveilleuse maison de prière de tous les peuples dont Jérusalem sera le centre et le symbole triomphant" (La vérité israélite, journal juif, 1861 tome V page 74).
   Si 'L'esprit de la Franc Maçonnerie c'est l'esprit du Judaïsme dans ses croyances fondamentales', dans ce cas quelles sont les croyances fondamentales du Judaïsme ? Est-ce les mêmes que celles du Dualisme ? Est-ce donner foi en la Magie, en un dieu bon, l'autre méchant ? Est-ce le libre-arbitre ?
   Comme dit le dicton : on a toujours le droit de rêver ! En effet, comment peut-on imaginer gens du Dualisme, de la Magie et gens de la Synagogue, de la Torah main dans la main, ensemble prier dans pareil Temple ?! Si tel est ou était le cas, alors à eux ce vieux rêve de faire revivre la Magie, non la religion véritable des Prophètes des Fils d'Israël et des Judaïsés ! Or, le Prophète Salomon et Roi des Fils d'Israël et des Judaïsés a fait cette Maison de Hachem sur Son ordre. Pour qu'on vienne y adorer par d'autre Dieu que Hachem ! En aucun cas pour qu'on vienne y adorer Lucifer ! Le Dieu de ces gens aurait-il changé de NOM !? En vérité, combien le Saint et Seigneur d'Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !

[20] (Giuseppe), italien, né à Gènes (1805-1872). Il fonda, en exil, une société secrète (la Jeune-Italie), élément moteur du Risorgimento, qui visait à l'établissement d'une république italienne unitaire (1871), et mena une vie errante jusqu'à ce que la révolution de 1848 lui permit de transformer la Jeune-Italie en Association italienne. En mars 1849, il fit proclamer la république à Rome et fit partie du triumvirat qui la dirigeait, mais l'expédition française (juillet) l'obligea à s'exiler.
[21] Au service de la bonne cause !!!
[22] le dicton populaire ne dit-il pas : qui s'assemble se ressemble ?
[23]
plutôt de la loi en vigueur.


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Cette page a été mise à jour le 21/09/10.

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