Histoire & Origine des Fils d'Adam

 
 
 
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                   Selon l'Islam

Remarque : l'origine d'un peuple a toujours passionné les gens. Savoir d'où l'on vient, de quelle terre, de quel lieu du globe... A ce sujet, il existe diverses versions. Des versions religieuses comme des versions profanes. Des gens se disant scientifiques, à notre époque, aimeraient bien nous faire croire en leurs recherches, non aux révélations bibliques ou coraniques. En clair, l'homme n'aimerait-t-il pas nous montrer, à travers celles-ci, sa capacité, sa science, son pouvoir et parallèlement à cela, l'incapacité du divin Créateur, de Sa science et de Son pouvoir ? Pourtant... Les Hébreux à notre époque, fidèles à leur croyance, aimerait bien dire au monde, au reste des Fils d'Adam ; nous sommes, nous, les vrais et seuls Fils d'Adam. Pourtant... Nous savons tous également que l'aïeul des Fils d'Ismaël (et par extension des Arabes), des Fils d'Israël, des Fils d'Esaü..., et bien d'autres peuples encore ; est le Prophète Abraham (sur lui la Paix !). Lequel n'était ni de confession juive ni de confession chrétienne. Il était un soumis et de religion : la Soumission (ou l'Islam) (Coran III 67). 

L'Histoire de l'Humanité

 
 

P

oint de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4]

   L’an de grâce 1948. Pour les hommes et les femmes de la Thora, il aura fallu : 1°) la deuxième grande guerre européenne[5], puis 2°) la fin de l’Unité du monde islamique, à travers l’Empire ottoman, pour pouvoir réaliser un rêve ancestral, le "retour" sur une terre dite biblique, ancestrale. Pour cela, ils trouveront chez partie des gens de l'Evangile (les gens du Nazaréen[6]), notamment ceux d'Angleterre ; un appui certain, non négligeable. Pourtant cinquante ans après, peut-on parler de succès ? De plus, les gens du monde toranique ont-ils tous fait leur alya vers la terre Promise ou sont-ils restés tranquillement avec leurs ennemis d’hier, les gens de l’Evangile, du Nazaréen ? Enfin, peuvent-ils prétendre à la paix ? A une paix sûre et durable avec leurs voisins et cousins du monde Arabe ? Nullement. 

   Le monde politique, biblique, et ses objectifs. 

   L’égyptien Moustapha Kamal d’écrire naguère (1899) : 

   « L’Angleterre, dont l’insatiable appétit est proverbial, ne peut se montrer moins avide de conquêtes que ne le fut Bonaparte en cette occasion, et il se produira alors ce fait capital entre tous, de Jérusalem tombée au pouvoir du protestantisme !

   ...Jérusalem ne peut être possédée que par une puissance musulmane ; les Croisades en sont la preuve irréfutable entre mille. Car seule une autorité musulmane est en état de tenir la balance entre toutes les sectes et toutes les religions qui se disputent la patrie des prophètes d’Israël et le temple de Salomon.

   La perte de Jérusalem... deviendrait le signal de guerres formidables entre les croyances, aucune nation n’ayant qualité pour commander aux lieux saints...[7] » (Conséquences de l’Occupation de l’Egypte. 1899). 

    Parole qui peut-être jugée dure : ...Jérusalem ne peut être possédée que par une puissance musulmane. Pourtant, ne reflète-t-elle pas une idée largement répandue de nos jours parmi le monde arabe comme le monde étranger de l’Islam traditionnel ? Cette partie du monde a eu à faire face, durant son histore, à certaines invasions dont celle des gens de l’Evangile. Mais à chaque fois…   

   Dans le revue l’Islam sous le joug

   ... On eut la sensation, dans les débats parlementaires du 20 décembre, que certains députés pressentaient la vérité, mais pas assez documentés, ils n’embrassaient pas la question dans toute son ampleur et ne voyaient pas les conséquences de l’habile manoeuvre du Vatican et des dirigeants du protestantisme et du sionisme.

   Ils parlaient de cléricalisme et de libre pensée, c’est-à-dire reprenaient les mêmes thèmes, cent fois rassassés, qui avaient causé tant de mal à la France. Ils étaient à côté de la question. Il s’agissait de la lutte contre l’Islam...

   Mais Rome d’une part, les Presbytériens, les Méthodistes, les Anglicans et les Sionistes d’autre part voulaient, les uns avoir leur revanche séculaire, les autres asseoir leur domination. (...)

   Rome s’est prise à son propre piège. Elle se faisait, autrefois, une raison de voir les Lieux Saints sous la domination des Musulmans fort justes envers toutes les sectes religieuses, et elle ne peut supporter que la Palestine n’ait été, tout au moins, neutralisée. Au contraire, Anglicans, Méthodistes et Sionistes, soutenus par la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, en ont pris possession. C’est le pire des sacrilèges, à ses yeux.

   Les compétiteurs se disputent maintenant entre eux et sont prêts à en venir aux mains ;

   ...a tout ce monde se mêle la finance internationale qui entend être la maîtresse incontestée de l’univers et qui veut dicter à tous ses ordres. L’Europe et l’Amérique lui sont asservies. Les chancelleries comptent sur elle, et rien ne se décide sans son approbation.

   La politique des intérêts domine tout ; par elle, il n’y a plus d’idéal ni de loi morale. L’argent, seul, compte. Or, l’Orient est un vaste champ d’exploitation « en puissance » d’énormes richesses, et en même temps une terre de « peuplement si on parvient à éliminer les Arabes...

   D’autre part, la question religieuse joue son rôle dans ce drame. La chrétienté et la religion hébraïque sont dressées contre l’Islam (...).

   Le Saint-Siège, nous le savons par l’histoire, n’abandonne jamais son oeuvre et la poursuit durant des siècles. Il se sert des gens, mais ne sert que lui-même. Il a décrété l’anéantissement de l’Islam et il entend aboutir, bien que des ruines, sans nombre en résulteront. Par ambition, par des menées souterraines facilitées par son clergé régulier, par des menaces de tous genres, il impose sa volonté.

   Le Protestantisme-presbytérien, méthodiste, anglican dispose également d’une grande puissance dans le centre et le nord de l’Europe et aux Etats-Unis. Il dirige depuis de longues années notre gouvernement, et c’est à lui que l’on doit nos attristantes luttes religieuses et de nombreuses et regrettables décisions dans notre politique extérieure.

   Le Sionisme est plus dangereux encore, car il a entre ses mains la majeure partie de la finance mondiale et nul n’ignore que le peuple juif entend redevenir le maître de l’univers et se venger ainsi de tous ses malheurs. En ce moment, il agit à son gré sur les changes, car ses caisses regorgent de capitaux. On ferait de sensationnelles découvertes si on pouvait approfondir ce point.

   A leur tour, Protestantisme et Sionisme sont ligués contre le Catholicisme. Chacun à ses champions. (Questions d’Orient. Eugène Jung. Ancien Vice-Résident de France au Tonkin. 1926). 

   Dans la revue Les Arabes et l’Islam en face des Nouvelles Croisades et Palestine et Sionisme, ne lisons-nous pas : 

   « Sommes-nous en 1931 au XXe siècle ?
   ... Aujourd’hui, la guerre de religion a eu lieu au grand jour, menée par le Sionisme d’une part et le Vatican d’autre part, contre l’islam et le monde arabe. (...).
   Nous disons bien « Le Vatican » et non le Christianisme. De nombreux chrétiens sont, en effet, totalement en dehors de cette campagne et vivent en parfait accord, en Palestine par exemple, avec les Musulmans.
   D’un autre côté, le Sionisme possède-t-il donc des forces occultes qui lui permettent d’astreindre les plus fortes puissances, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis par exemple, à lui prêter la main dans sa lutte contre tous les principes du droit tant prônés par ces nations ? Quel but réel poursuit-il ?

   Tels sont les problèmes que, sans parti pris aucun et sans, pour notre part, nous laisser entraîner par une référence religieuse quelconque, nous voulons démontrer, avec toutes les preuves et notre seule logique». 

   L’État des gens de l’Evangile des Etats-Unis, colonie de l’État d’Israël ? 

   "Il y a quelques semaines, le rabbin de la synagogue "Adath" de Washington dédiat son sermon au Centre culturel et politique juif, en voie de création aux USA, et déclarait : "Pour la première fois dans l'histoire de l'Amérique, nous n'avons pas l'impression de vivre en diaspora... Les USA n'ont plus un gouvernement de "goyim[8]", mais une administration où les Juifs prennent une part entière aux décisions, à tous les niveaux. Il conviendrait peut-être de réviser, dans la loi religieuse juive[9], l'utilisation de ce terme de "gouvernement de goyim" qui n'est plus de mise ici..." 

   "Les changements introduits dans l'administration Clinton ont, en effet, renforcé considérablement le pouvoir juif. Il était déjà sensible au temps du président Reagan et du secrétaire d'Etat Schultz. Nous avons vu un secrétaire d'Etat juif -- Henry Kissinger -- jouir de la confiance de Nixon, et il y avait des ministres juifs dans le Cabinet de Carter. Mais c'étaient là les exceptions qui confirmaient la règle Peu de juifs "militants" étaient appelés à participer à la politique américaine au Moyen-Orient. 

   "... Tous les matins, vers 6 h, plusieurs voitures officielles transportent, du centre de la CIA à la Maison Blanche, de hauts responsables des Services secrets et du Renseignement chargés de soumettre au président et son état-major le rapport (5 ou 7 pages) souvent assorti de photos-satellite communiquées par le Pentagone, qui a été rédigé pendant la nuit par les meilleurs experts US à partir d'informations secrètes provenant de tous les centres de la CIA dans le monde et portant sur les plus sensibles de l'évolution de la situation internationale.

   "Si Clinton se trouve à Washington à ce moment-là, il examine rapidement ce document avec les autres destinataires : le vice-précident Al Gore, le conseiller du CNS (Conseil national de Sécurité) Anthony Lake, le chef de l'état-major de la Maison Blanche Leon Penta, les conseillers au CNS Samuel Berger et Leon Perth -- ces deux derniers, juifs "engagés", détiennent des postes très importants dans la politique des USA...

   "Sur les onze membres du CNS, sept sont des Juifs que Clinton a spécialement chargés de fonctions très délicates entre les secteurs de la sécurité et les administrations étrangères. Berger est vice-président du CNS ; Martin Indik, responsable des dossiers du Moyen-Orient et de l'Asie méridionale ; Dan Schiffer, de celui de l'Europe occidentale ; Don Steinberg, de celui de l'Afrique ; Richard Feinbert, de l'Amérique latine ; et Stanley Ross, de l'Asie en général ... 

   "La situation n'est pas différente dans les services liés à la présidence, avec le nouvel Attorney général Abner Mikve, le responsable de l'agenda présidentiel Ricky Seidmann, le chef-adjoint de l'état-major Phil Leida, le conseiller en économie Robert Rubin, le directeur des services des médias David Heiser, et d'autres... Deux membres du Cabinet sont juifs : Robert Reich pour le Travail et Micky Cantor pour le commerce extérieur. Il faut y ajouter une longue liste de responsables du Département d'Etat et de nombreux responsables du Département d'Etat et de nombreux secrétaires qui travaillent tous sous la direction de Denis Ross, chef de l'équipe "pour la paix au Moyen-Orient". 

  - Soulignant le fait que le "commun dénominateur" du parcours de tous ces hommes tient à leur lien étroit avec Israël, l'auteur examine celui de Rehm Emmanuel, conseiller dont le bureau jouxte le fameux "bureau ovale" de la Maison Blanche. Son père fut membre du groupe clandestin juif l'Irgoun. Lui-même est encore fervent partisan du Likud. A la question : "Qu'en est-il aujourd'hui de vos rapports avec  Israël et le judaïsme ?" Il répond : "Quand la guerre du Golfe a éclaté, je me suis immédiatement porté volontaire dans l'unité "Overseas Volunteer Unit" de l'IDF... Nous avons fait ce que nous avons pu. Mais l'essentiel était d'être là..." 

   Deuxième volet important : Une influence juive omniprésente en Amérique. Qu'on en juge : 

   "... Cette énorme influence des juifs à Washington ne se limite pas aux milieux gouvernementaux. Elle est considérable dans les médias, où un grand nombre de responsables des programmes TV, comme la plupart des rédacteurs en chef, correspondants et commentateurs de presse sont des Juifs qui fréquentent la synagogue où on les incite à soutenir résolument Israël[10]. 

   "La même prééminence se retrouve dans les institutions universitaires, dans les centres de recherche, les services de sécurité, dans l'industrie du cinéma, des les milieux scientifiques, artistiques ou littéraires. (...)

   "Depuis 6 ans, nous avons pris l'habitude en Israël, de voir Dennis Ross, Dan Kutzer et Aharon Miller associés à toutes les tournées au Moyen-Orient du secrétaire d'Etat... C'est là pourtant un phénomène relativement récent.

   "Lorsque Dan Kurtzer, juif très pratiquant, s'est présenté au Département d'Etat il y a 18 ans, muni d'un diplôme d'Etudes sur le Moyen-Orient, on lui a dit : "Vous avez toutes les qualités pour travailler dans ce secteur, mais il vaut mieux ne pas y penser, à cause de votre origine juive." Il est maintenant le patron de ceux qui lui donnèrent ce conseil... A cette époque, l'influence des "Arabistes" était prioritaire au Département d'Etat, et les quelques juifs qui s'y étaient infiltrés préféraient dissimuler leur appartenance religieuse. (On le l'apprenait parfois que le jour de leurs obsèques...) Dan Kurtzer a été le premier à annoncer qu'il ne travaillerait pas les jours de fêtes juives et, aujourd'hui, les écoles américaines sont fermées le premier jour du Nouvel an juif... 

   "Il peut arriver que ces hauts responsables qui traitent avec Israël, aient parfois entre eux des divergences de vue quant à la solution à apporter au conflit. Il peut aussi que, en fonction du loyalisme qu'ils doivent à l'Amérique, ils désapprouvent certains aspects de la politique israélienne. Mais ils agissent toujours en tant que juifs, convaincus que la communauté d'intérêts entre les deux pays est une donnée fondamentale et permanente, et ils ont largement contribué au fait que l'administration partage cette approche des relations américano-israéliennes. L'un deux me disait récemment : "Si Israël veut que les USA soutiennent tous ses intérêts, il doit coordonner ses démarches avec nous, pour tout ce qui touche aux intérêts majeurs américains. 

   "Il faut noter que, à côté de l'importance du pouvoir juif dans l'actuelle administration démocrate, de nombreux juifs militants sont candidats à des postes-clé dans le Parti républicain... Cela ne veut pas dire qu'il n'y ait pas, aux USA, des gens d'origine juive qui ne soutiennent pas Israël... comme ce fut le cas de Caspar Weinberger, ancien secrétaire d'Etat à la Défense, ou de Richard Hass, prédécesseur de Martin Indik au CNS. Mais ce sont là, aujourd'hui, des exceptions... 

   "Pour expliquer l'affinité de Clinton avec les Juifs, certains se réfèrent à ses sentiments humanitaires"... D'autres, à l'environnement dans lequel il a fait ses études universitaires... Je pense, quant à moi, qu'il y a une quantité de facteurs, dont le plus important est sans doute son admiration pour Israël après la guerre des Six jours, alors que ses amis juifs lui avaient communiqué la crainte de la menace d'un "nouvel holocauste"... D'où l'obligation pour les USA, à ses yeux, d'apporter un soutien constant à cet Etat..." (qui se traduit très concrètement jusqu'ici par la garantie d'une "supériorité militaire qualitative" (y compris nucléaire) sur laquelle Israël fonde son hégémonie dans la région[11] - RED) (Maariv, 2/9/94, Bar Yosef). 

Contrôle. Pratiquement aucun journal français n’a rapporté le vif échange qui a opposé, fin septembre, le ministre des Affaires étrangères travailliste Shimon Perez au chef du gouvernement, le général Ariel Sharon. Selon la radio israélienne Kol Israël du 3 octobre, Perez s’inquiétait du refus persistant du Sharon à refuser toutes les demandes américaines d’un cessez-le-feu local, estimant que cela pourrait nuire aux intérêts bien compris d’Israël aux Etats-Unis. Sharon lui a alors répondu textuellement : « Chaque fois que je fais quelque chose, vous me répondez que l’Amérique fera ça ou ne fera pas çà… Je vais être très clair : Ne vous inquiétez pas des pressions américaines sur Israël… Nous, le peuple juif, contrôlons l’Amérique et les Américains le savent (We, the Jewish people, control America and the Americans Know it) ». Selon la radio, Perez et les autres ministres du cabinet auraient alors supplié Sharon de ne jamais dire cela en public, « car ce serait un désastre pour nos relations publiques ». (Source : F&D du 15 au 30 octobre 2001. N° 119). Preuve que les nombreuses critiques adressées souvent au monde toranique, sont des critiques justifiées. La main mise du pays de la bannière davidique sur le pays de la bannière étoilée, est une chose réelle, et non des ont dit… on prétend que…

Destruction… Destruction… Destruction… 

   Michaël Adams, co-rédacteur de "Middle Esat International" de témoigner : "Il n'y a plus d'un mois que les bulldozers sont en action sur le mont Scopus pour la construction de Har Homa, après l'expropriation de plus de 400 hectares de terres arabes, en dépit des protestations arabes et internationales.

   "Le bulldozer est devenu en quelque sorte le symbole de la mainmise d'Israël sur Jérusalem. La veille de la guerre de 1967, Levi Eshkol avait affirmé que son pays "ne convoitait pas un seul pouce" de terre arabe. Une semaine après la fin de cette guerre, les bulldozers étaient au travail dans la Vieille ville, et près de 4000 habitants arabes se trouvaient sans abri...

   "... Ce sont là des signes mineurs de pressions qu'exerce une domination omniprésente impitoyable. Un habitant arabe dont les ancêtres peuvent avoir vécu dans cette ville 1000 ans avant qu'aucun des actuels dirigeants israéliens ait mis le pied en Palestine, est maintenant soumis à une autorité étrangère qui peut fixer le montant de ses impôts comme il lui plaît, lui prendre sa terre, démolir sa maison avec un bulldozer, l'arrêter et l'expulser sans qu'il ait la moindre possibilité de recours."... Il n'a plus de nationalité reconnue, et sa carte d'identité mentionne que "ce papier ne lui donne pas le droit d'entrer en Israël"... Il n'a pas de passeport israélien, et s'il utilise son passeport jordanien pour voyager, il ne pourra plus revenir à Jérusalem... 

   Chez l’Harmattan, Claude Brzozowski, né en Palestine en 1930, signe Du Foyer juif à l’Etat d’Israël. Analyse d’une spolation, où il démontre, preuves à l’appui, que la transformation du « foyer national juif » envisagé par Lord Balfour en 1917 en un « Etat des Juifs » selon l’expression forgée par le sioniste Theodore Herzl, c’est-à-dire une Palestine juive, n’a pu se réaliser qu’au prix de l’expulsion ou de l’exode des populations autochtones et la mainmise israélienne sur les biens et propriétaires[12] (cartes, notes, index). (Source : F&D du 1er au 15 novembre 2001) 

   L’homme palestinien est devenu le mal aimé de cette région du monde. Tant à l’intérieur de son pays qu’à l’extérieur. Les pays limitrophes, pourtant arabes, l’aime-t-il ? Nullement. Qu’on re-lise l’histoire de ce peuple depuis la chute de l’Empire ottoman. Hier, ne se réjouissait-il pas du départ de l’ « occupant », c’est-à-dire le monde turcophone ? Mais sa joie ne sera-t-elle pas de courte durée ? N’est-il pas devenu un chasseur chassé, traqué ? 

Humiliation d’un peuple au quotidien ! 

   Felix Shim'oni de déclarer au sujet de l'humiliation au quotidien :"...Je ne sais jusqu'où ira la bestialité de nos jeunes soldats... Je les ai vus de mes yeux obliger des Palestiniens qui demandaient du travail en Israël à transporter des tas de terre d'un côté à l'autre de la route, pour les ramener ensuite au point de départ... comme je leur demandais les raisons d'un tel comportement, ils sont devenus furieux et ont bloqué ma voiture, où j'étais seul, en disposant des chicanes devant et derrière. Comme je voulais descendre de mon véhicule pour déplacer l'un de ces obstacles, un des militaires a tiré dans ma direction. La balle a sifflé à mes oreilles et c'est un miracle que je n'ai pas été touché...(Maariv, 11/8/94 --Extrait).

   Esther Herzog d'écrire également dans Haaretz (7/8/94) :

   "...Que personne ne se scandalise et ne s'étonne devant ce qui risque d'arriver si le fossé actuel subsiste entre les secteurs juif et arabe... Mais quand avons-nous vu nos politiciens conscients de l'importance du facteur social et de ses répercussions ?...

   "...De la droite à la gauche, ces responsables interprètent les réactions arabes à l'oppression comme le fait d'une simple lutte de caractère nationaliste... et pour eux, pour les médias et les intellectuels dévoués au régime, l'Intifada elle-même n'a été que l'expréssion de ce type de revendication... Ce concensus des Juifs a permis au PTI de priver les Arabes de tout espoir de développement.

  "...Meretz a sa part de responsabilité dans cette situation et tout particulièrement les partis Ratz et Mapam, qui se vantent de lutter depuis des années pour les droits de l'homme et l'égalité des droits pour les Arabes en Israël... Nous les voyons aujourd'hui se répandre de par le monde "en mission de paix", proclamant la part qu'ils ont prise dans la recherche d'"une réconciliation qui doit apporter la prospérité pour les deux peuples", alors que nous laissons "nos" Arabes végéter dans le sous-développement. La drogue et le fanatisme ont déjà fait leur apparition, ainsi que la haine... Il est probable que la prochaine Intifada éclatera à Teibeh ou dans quelque autre ville de ce genre..."

   Abraham Rabinovitch, du Jerusalem Post, d'écrire :

   "... Pour les Arabes, Israël reste un corps étranger... un Etat colonial qui leur a pris leurs terres par la force et qui a blessé gravement leur fierté... Ils voient un danger dans sa détermination à tirer profit énergiquement des potentialités qui lui sont ouvertes et craignent de devenir les victimes d'un colonialisme économique. (...)

   "... Les Israéliens, quant à eux, sont retenus par la crainte que la disparition des murs qui les entourent leur rende plus difficile de se présenter comme une société européenne implantée dans cette région chaude... Ils redoutent que la perte de leur supériorité technologique et militaire ne soit interprétée comme un signe de faiblesse par les Arabes..."

   Pour ce commentateur, même ce qui semble acquis reste fragile : Des journalistes israéliens, autorisés pour la première fois à opérer d'Amman, soulignent la répugnance d'une grande partie de la population à faire la paix avec l'ennemi sioniste traditionnel... Je ne dis pas cela pour minimiser la valeur du traité avec la Jordanie... Mais pour évoquer la route, longue et incertaine, qui reste à parcourir." (I.H.T., 4/11/94). 

   Ces paroles sont anciennes. Pourtant, aucune évolution est apparue dans cette partie du monde. Pire ! N’assistons-nous pas à une aggravation permanente de la situation ?  

Pas de place pour deux : Fils d’Israël et Judaïsés, Fils d’Ismaël et Arabes ! 

   Pour preuve : Ben Gourion, dans sa préface à l'"Histoire de la Haganah", publiée par l'organisation sioniste mondiale, écrit : "Dans notre pays, il n'y a de place que pour des Juifs. Nous dirons aux Arabes : Poussez-vous, et, s'ils résistent, nous les pousserons par la force." Le 18 juillet 1948, au comte de Bernadotte, venu demander de laisser rentrer les Palestiniens dans leur pays, Ben Gourion répondait : "Nous devons tout faire pour qu'ils reviennent jamais." Pour avoir tenté de faire prévaloir la justice contre ce racisme, le comte Bernadoote, dit-on, à la veille de déposer son plan de médiation, fut assassiné par des israéliens à Jérusalem, le 17 septembre 1948. 

   Ben Gourion n’est plus là pour voir son « prétendu » pays, diront certains. Et là où il se trouvent maintenant, est-ce un jardin du paradis ou un lieu infernal ? A force de vouloir chasser les gens « dehors », n’a-t-il pas une peur, un jour, de se voir soi-même jeté dehors ? L’avenir nous le dira, car l’injustice ne saurait perdurer. Les gens du monde toranique ne devrait-il pas méditer sur ce qu’il arriva naguère aux gens de l’Evangile, aux Croisés et naguère à Pharaon ?  

   Objectif du monde toranique : 

   "D'après le maire Kollek lui-même, l'objectif est de "persuader les Arabes de quitter leur pays, ou de faire d'eux des citoyens de seconde classe".

   "... A Jérusalem plus que partout ailleurs, les Israéliens sont confrontés à la contradiction existant entre les deux ambitions nationalistes : étendre les limites de leur Etat, et lui garder un caractère exclusivement juif ce qui les met, comme les Arabes, dans une situation impossible. Un ami arabe m'a fait remarquer : "Vous les Britanniques, aviez l'habitude de nous dire : Si vous ne pouvez les vaincre, joignez-vous à eux !... Mais, vous le savez bien, il est impossible de se joindre aux Juifs !".

   "... Ce qui est certain, c'est qu'il n'est pas possible de bâtir la paix sur l'injustice, et l'injustice atteint un sommet actuellement à Jérusalem...". (18/4/97). 

   L’extrémisme religieux du monde toranique mis en cause : 

   De Baruch Kimmering d'écrire :

   "... La législation de l'extrémisme religieux a été favorisée par la liberté dont il a bénéficié pour former une génération susceptible non seulement tenir demain ce courant, mais de l'étendre - à partir d'une idéologie qui combine les thèmes nationalistes et religieux - avec le support de l'école, des familles, des mouvements de jeunesse et de toute la communauté... Ils ont forgé une génération qui se croit détentrice de l'unique et absolue vérité et pour laquelle l'occupation juive doit s'accompagner d'un nettoyage ethnique. Une génération capable d'un comportement horrifiant, pour ceux qui se soucient de la démocratie et de l'avenir de l'Etat... 

   "Peu à peu, le tableau s'éclaire, et il apparaît que la lutte menée par certains pour "la terre d'Israël", porte essentiellement sur le caractère futur de la nation : sera-ce un Etat où la vie des personnes et de la communauté sera déterminée par une certaine interprétation des lois religieuses, ou bien une société où juifs et non-juifs pourront vivre ensemble - la question religieuse étant considérée comme le domaine privé de chacun ?... 

   "... Le rabbin Meir Kahane - plus idéologue qu'homme politique - s'était peu soucié de nouer des alliances avec les juifs laïques... Il n'en a pas été de même avec les dirigeants dit Gush Emanim : ils ont compris que, sans ce type de coalition, ils ne pourraient arriver à leurs fins. Tout en se rapprochant des activistes ultra-orthodoxes, ils ont réussi à gagner la considération d'une certaine gauche en présentant les colons armés comme les sucesseurs des anciens pionniers sionistes : leur objectif étant de faire de la Judée-Samarie une base avancée et un levier pour la création d'un Etat théocratique sur l'ensemble du territoire...

   "... Les motivations réelles de cette étrange alliance sont apparues lorsque le gouvernement a cessé de se prêter à son jeu... Les rabbins[13] ont alors fait savoir que la loi religieuse doit l'emporter sur celle de l'Etat, qu'il est permis de désobéir au pouvoir civil, et qu'il convient de "punir" ceux qui "détournent l'âme juive de la foi orthodoxe"... (Ceux qui, à leurs yeux, "bradent la terre d'Israël" - comme ils accusaient Rabin de le faire - font partie de cette catégorie de "corrupteurs de l'âme juive" - Réd. - 6/9/95, Haaretz). 

Une absence de références communes à tous les citoyens. 

   De Baruch Kimmerling d'écrire encore :

   "...Avineri a soulevé une question fascinante, en soulignant la faiblesse de la culture israélienne et du sionisme en général...

   S'il est vrai qu'aucune société, même la plus développée, ne repose pas uniquement sur des valeurs universelles mais comporte aussi des particularismes, des éléments de tribalisme et des mythes hérités de sa tradition - la question est de savoir comment et dans quelle portion se sont combinés ces divers ingrédients au cours de l'histoire et du temps...

   "... La nation américaine, avec ses défauts nombreux et bien connus, a su construire, à partir des mythes les plus divers et souvent contradictoires - une forme de "culture civile" qui s'exprime par la Constitution, le drapeau, et des fêtes comme l'Indépendance Day où chaque citoyen - quelqu'il soit - est appelé à rendre grâce à Dieu et à l'histoire pour avoir fait de lui un Américain...

   "En Israël, par contre, il n'existe pratiquement aucune fête ou commémoration qui ne porte la marque spécifique de la religion juive. Le Jour de l'Indépendance ne concerne que les sionistes : il exclut les orthodoxes et les Arabes. Les fêtes religieuses elles-mêmes rebutent les juifs laïques, par les contraintes qu'elles leur imposent, et elles nous divisent plus qu'elles ne nous unissent...  

   "Je viens de parler des "juifs laïques", mais je ne suis pas sûr qu'il n'y ait pas de contradiction dans les termes... à cause de l'incapacité du sionisme à séparer la nation juive de la religion. Certains de nos pères fondateurs professaient une idéologie (socialisme, nationalisme libéral) qui aurait pu servir d'infra-structure à une société laïque mais ils ont échoué pour des raisons internes ou liées au contexte général. Et c'est ainsi que les éléments religieux se sont imposés dans notre culture dès le début, mais d'une manière particulièrement irrationnelle, et qu'ils ont pu étendre librement leurs ramifications politiques...

   "... Il appartenait à la troisième génération de l'élite israélienne - dont je me réclame en toute modestie - de contribuer à la création de cette "religion civile" dont nous avons tellement besoin. Mais je pense que nous n'avons pas fait assez, et que nous l'avons fait trop tard..."  (de Haaretz 29/9/95) 

   La priorité donnée à "la terre" par rapport à "la vie"... 

   Le chroniqueur du New-Times, Thomas Friedman - qui fut l'ami de Y. Rabin - voit la racine du conflit qui déchire Israël dans une faute d'interprétation des textes dont se réclament les fondamentalistes :

   "...Au cours du débat engagé après l'assassinat de Rabin par un Juif formé dans l'une des meilleures écoles religieuses d'Israël, une question a été soulevée pour la première fois : "Le Judaïsme est-il une menace pour Israël" ?  Comment a-t-il pu produire un homme pareil et ses complices ?...

   "Il faut préciser ici que les textes sacrés du Talmud et de la Bible ne peuvent eux-mêmes déterminer le comportement des croyants, et qu'ils doivent être interprétés par des spécialistes religieux contemporains. Encore faut-il que ces derniers portent un grand respect à la démocratie ; sinon, d'après le rabbin David Hartman - l'un des plus éminents d'entre eux - "on pourrait déboucher sur une morale barbare, et le judaïsme pourrait représenter une menace pour l'avenir d'Israël..."

   "Ce ne sera pas nécessairement le cas : il existe dans les milieux religieux sionistes un courant - malheureusement minoritaire - pour rappeler que la loi donnée par Dieu à Moïse sur le Sinaï a précédé l'ordre de pénétrer en terre d'ISraël... Autrement dit, que le commandement : "Tu ne tueras pas "est antérieur à la conquête de cette terre... 

   (...) La question qui se pose aux juifs américains est la suivante : Quand vous donnez de l'argent à Israël, le donnez-vous à une institution qui contribue à construire un pays dans lequel vous voudriez voir vivre vos petits-enfants ?... 

   ..."Diaboliser tous les juifs religieux n'est pas la solution, pas plus que ne le serait un Israël sans le judaïsme. Mais encore faut-il savoir de quel judaïsme il s'agit... Si on laisse se développer le processus en cours, il détruira Israël. Mais si on le combat à partir d'une interprétation de la religion qui soit compatible avec les valeurs de la démocratie (pluralisme, priorité de la vie sur la terre) alors le judaïsme pourra encore sauver l'Etat juif..." (du  N-Y Times, 20/11/95). 

   Du sculpteur et peintre israélien Moshe Kadisham (lauréat du prix Israël 1995) : "Avant l'assassinat de Rabin, nous savions qu'il existait entre nous des divisions. Mais nous ne pensions pas qu'elles étaient aussi profondes... Le conflit est entre la loi civile et la loi religieuse, entre ceux qui veulent la réconciliation entre les Palestiniens et ceux qui veulent les expulser. Ces derniers, pour la plupart, viennent de l'étranger, et le plus souvent des Etats-Unis. Or, on ne quitte pas un pays comme les USA pour venir en Israël sans se croire chargé d'une "mission"... Ces gens viennent en Israël comme dans un lieu sacré où ils peuvent embrasser le tombeau d'Abraham, et ils attendent que le Messie arrive, sur un âne blanc...

   "Israël est un lieu sacré pour plusieurs religions, mais les chrétiens qui vivent en Angleterre ou aux USA ne prétendent pas qu'il est leur pays parce que leur Messie y est né... 

   "Je crois que le processus de paix se poursuivra. Les Juifs et les Palestiniens feront la paix : ils sont tous enfants d'Abraham et ont des droits sur cette terre. Il y a toujours eu des Arabes ic. Ils ont édifié une mosquée sur le mont Moriah, et non pas, ce faisant, chassé les Juifs à coups de pied...[14]" (IHT, 4/12/95). 

   Recherche sur… Recherche sur… Recherches sur… 

   Ben Gourion, dans les années 1950, avait dit-on, introduit une sorte de "recherche génétique" sur l'origine des Palestiniens. Dans Yediot Aharonot : "Le président de l'Université a eu raison de ne pas tenir compte de cette protestation [du ministre de l'Education Hammer, vis à vis de l'autorisation donné à des étudiants chrétiens de dresser un arbre de Noël dans une salle de la Faculté de droit]." tout comme les quatre doyens des Ecoles de Médecine ont eu raison de demander le licenciement du nouveau conseiller en Science et Technologie (impliqué dans une "recherche génétique" sur l'origine des Palestiniens). Ils écrivent : "L'un des chapitres les plus sombres de ces déclarations pseudo-scientifiques traite de la "pureté de la race". Nulle part, et surtout pas dans l'Etat des Juifs, la génétique ne doit servir d'alibi à une quelconque discrimination, ni de base à une discussion politique". (Michael Karpin).

   Un homme comme Haïm Cohen, qui fut juge à la Cour suprême d'Israël, de constater : "L'amère ironie du sort a voulu que les mêmes thèses biologiques et racistes propagées par les nazis et qui ont inspiré les infamantes lois de Nuremberg, servent de base à la définition de la Judaïcité au sein de l'Etat d'Israël." (voir Joseph Badi : Fundamental Laws of State of Israel. N. York, 1960, p. 156). Est en effet considéré comme Juif, à Tel Aviv comme à Nuremberg, quiconque est né d'une mère Juive.  

   La postérité d'Abraham, aïeul des Fils d'Ismaël, des Fils d’Esaü et des Fils d'Israël, est uniquement définie, selon les gens de la Synagogue, par la continuité du sang. Chose que ne saurait admettre ni les gens de l'Evangile ni les gens du Coran. Droit du sang ou droit du sol dans cette partie du monde ? Lequel est le meilleur ? Certains hommes et femmes de la Thora, certains de leurs Dignitaires religieux, de leurs politiciens de tout bord, etc.; ont déjà fait leur choix. Oui, mais Dieu soit loué, de telles croyances sont nullement enseignées et surtout professées dans le monde islamique traditionnel.  

Génétique sémite. Un article du n° de décembre de la revue Human Immunology provoque de si vives réactions au Proche Orient (et aux Etats-Unis) qu’il vient d’être enlevé du site « en ligne » de la prestigieuse revue qui est l’une des principales au monde en matière de génétique des populations. Auteur de multiples articles dans Nature, Science et diverses revues scientifiques de premier niveau, le professeur espagnol Antonio Arnaiz-Vilena, de l’université de Madrid, confirme ce que nombre de chercheurs avaient déjà étudié ou pressenti : dans The Origine Of Palestinians and their Genetic Relatedness with other Mediterranean Populations, il étudie les variations génétiques des systèmes immunitaires des différentes populations installées au Proche Orient et conclut que les Juifs (sépharades) et les Palestiniens ont un « pool » génétique commun, ce qui enlève évidemment toute justification au peuple « élué de se définir comme « choisi » par Dieu, la judaïcité ne pouvant être héritée que par la mère selon le judaïsme orthodoxe[15]. L’auteur conclut justement que les rivalités entre les deux ethnies sont culturellement et non génétiques, ce qui a évidemment entraîné la démission de plusieurs des collaborateurs les plus prestigieux de la revue, pour la plupart d’origine israélite et risque d’entraîner l’éviction de sa directrice, Nicole Sucio-Foca, de l’université de Columbia. (Source : F&D du 15 décembre 2001 au 15 janvier 2002. N° 123).

   A la suite de nos informations (F&D 123) sur la génétique des populations sémitiques, à signaler un dossier sur la génétique des Ashkénazes ( www.khazaria.com/genetica/friedman.html ) (F&D n° 125). 

   Selon le London Times (15 novembre), qui a conduit une longue enquête auprès de membres de renseignements israéliens et occidentaux, Israël travaille dans le plus grand secret à la mise au point d’une arme biologique (à l’image du sida) qui atteindrait les Arabes mais pas les Juifs, une arme à destination ethnique ou raciale ou « ethno-bombe ». Le principe est d’utiliser certains virus et certaines bactéries capables d’altérer l’ADN à l’intérieur des cellules vivantes de leurs hôtes. En l’occurrence, l’Institut biologique de Nes Tziyona, épaulés par des scientifiques sud-africains (la collusion Afrique du Sud-Israël était patente durant l’apartheid[16]) conduit un programme d’identification des gènes spécifiques aux Arabes, afin de créer des micro-organismes génétiquement bactériens modifiés attaquant spécifiquement ces gènes. Programme d’autant plus difficile que les Juifs et les Arabes ont une origine génétique commune. Cette enquête est corroborée par une publication du groupe de presse militaire Jane’s, Foreign Report, qui a confirmé qu’Israël s’était adressé à l’Afrique du Sud pour obtenir un « balle génétique » contre les Arabes et conduisait des recherches génétiques sur les juifs irakiens. Un membre de la Knesseth, Dedi Zucker, a officiellement dénoncé le 14 novembre ces recherches. (Source : F&D du 1er au 15 décembre 1998. N° 59)     

   Le Prophète de l’Islam a bien expliqué que tous les hommes, sans exception, sont Fils d’Adam. Les gens de la Thora, c’est-à-dire les gens du Rabbinat, semblent pas du tout de cet avis. Pourtant, la récente révélation divine leur apporte-t-elle pas un formel démenti ? Quant aux gens de l’Evangile, leur seul souci ne semble-t-il pas être de nos jours de nous prouver, dans leurs écoles publiques et à travers leurs scientifiques, sociologues, philosophes, etc., que l’homme a pour maman une belle et magnifique guenon, pour papa un singe encore faut-il savoir de quelle espèce ? ! Mais a-t-on posé la question aux créatures concernées ? Secundo : Le combat fratricide que se mène les Fils de Noé entre eux, peut-il aboutir à quelque chose de positif ? Partie des descendants de Noé aiment se réclamer de Sem. Ex. : les Fils d’Israël et par extension les Judaïsés. D’autres, de Cham (ou Ham). Ex. : les Aryens[17]. Bien que la plupart des gens de l’Evangile de l’Europe ignorent d’où ils sortent. Ils aiment découvrir un semblant de leurs origines à travers la religion de leurs lointains ancêtres ! Il est vrai que dans ce domaine, l’Evangile n’apporte aucune réponse à leurs questions. La Thora apportait bien, à l’origine, ces réponses ; mais il semble que les gens du monde toranique se sont bien gardés de le leur fournir. Entre temps, cette dernière n’a-t-elle pas été changée, soumise à la censure par les gens du Rabbinat ? Troisièmement : Le Prophète de l’Islam a bien expliqué, qu’au regard du divin Créateur, personne est supérieure à une autre personne que par la piété. La noblesse ne sera donc jamais obtenue que par elle. Evidemment, le mécréant, l’athée, le sans-religion, etc., ne sauraient accepter pareille définition. Quatrièmement : Le monde a du mal à accepter qu’un peuple peut-être choisi pour recevoir la Révélation du divin Créateur. Pourtant, naguère, le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes a bel et bien choisi les Fils d’Israël, le prophète pour y recevoir des Livres divins comme : la Torah, le Psautier et l’Evangile[18]. De même, les Fils d’Ismaël pour y recevoir le Coran. Alors pourquoi cette querelle ? Aux Fils d’Ismaël[19] sera donné la première Maison du divin Créateur sur terre : le Cube (ou la Ka’bah) à la Mecque (Makkah)[20]. Elle servira de direction pour leurs Prières et lieu de leur Pèlerinage. Cet héritage sera perpétuel, et lequel perdure jusqu’à nos jours. Quant aux Fils d’Israël, ils hériteront d’un héritage qu’ils ne seront garder. La seconde Maison du divin Créateur à Jérusalem, le Temple de Salomon, par deux fois, elle sera détruite, et sa population connaîtra l’exil… 

   Les temps changent. Vivre avec son temps. 

   Contrairement à l’enseignement toranique et judaïque, nous ne sommes plus en l’an des prophètes Mochè et Haroun[21]. Après eux, l’Evangile de Dieu ne sera-t-elle pas révélée à Séïr ? Au Messie fils de Marie ? Et enfin, le Coran ne serait-il pas révélé à Pharan[22] ? A Mohammad, fils d’Abd Allah, (…), fils d’Ismaël, fils d’Abraham (sur eux la Paix !). Les prophètes Mochè, Haroun, le Messie fils de Marie (sur eux la Paix !) furent envoyés à un seul peuple : le peuple d’Israël, les douze Tribus[23]. Leur mission était limitée dans le temps. Leur message n’était pas, et contrairement à l’idée reçue, universel. Un seul prophète recevra ce titre : le Prophète de l’Islam. Bien que fils d’Ismaël et de langue arabe, son message sera universel. De plus, il s’adressera au monde visible et invisible. Ceci, les gens de la Bible ont du mal à l’accepter. Comme ils ont du mal à accepter cette grâce, ces bienfaits que le divin Créateur accorde à la Communauté mohammédienne[24], islamique.  

   L’attitude des judaïsés dénoncée. 

   « Tu trouveras à coup sûr [ô Mohammad] dans les Juifs[25] et les associateurs[26], les plus forts en fait d’inimitié contre les croyants. » (Coran V 82).

   Dieu, que Son invocation soit exaltée, dit à Son Prophète (sur lui Prière et Paix !) : « ô Mohammad ! « Vraiment tu trouveras que les gens les plus vivement hostiles à ceux qui croient » c’est-à-dire à ceux qui te considèrent comme véridique et qui te suivent « sont les Juifs et ceux qui associent » c’est-à-dire qui prennent des idoles pour les adorer au lieu d’adorer Dieu. (Commentaires. Tabarî).

   Cette hostilité envers les croyants, pratiquants, observateurs de leur Culte, n’est-elle pas visible, réelle, actuellement en terre de Palestine ? Que fait l’armée, la police, les politiques de tout bord, les responsables à tout niveau du monde toranique envers eux, en terre de Palestine ? N’est-ce de le représenter et de les présenter au monde comme de vulgaires « lépreux » de leur société ? 

    Dans un autre verset : V 64. – Dieu dit : ô Mohammad ! « en fait ce qui a été descendu vers toi de la part de ton Seigneur », c’est-à-dire toutes les choses cachées concernant les Juifs et que ton Seigneur t’a communiquées alors que chez elles ne sont connues que par leurs Savants et leurs Docteurs ce qui doit constituer pour eux une preuve de l’authenticité de ta fonction prophétique toutes ces choses, donc, « renforcent vraiment un grand nombre d’entre eux en outrance et en impiété-dissimulatrice (mécréance, koufr , arabe) » : toutes ces révélations les portent à exagérer encore plus dans leur négation[27] de la vérité de ta fonction prophétique, qu’ils savent pourtant être authentique, ce qui accroît finalement leur impiété à l’égard de Dieu même et les amène à ignorer Sa dignité. (Commentaires. Tabarî).

   Et aussi : Toutes les fois qu’ils allument du feu pour la guerre, Dieu l’éteint. Et ils s’essayent au désordre dans le pays, alors que Dieu n’aime pas les semeurs de désordre.

   A écouter certains dirigeants du monde toranique, ces derniers ne mettraient-ils pas le monde à feu et à sang ? Leur attitude à vouloir être dans un état permanent de guerres, n’a-t-elle pas été dénoncée par de nombreux observateurs ? 

   Désinformation permanente. 

   A entendre bon nombre de gens de la Torah, ces derniers seraient les témoins, les porteurs, les transmetteurs du vrai Monothéisme, de la vraie religion. Les seuls croyants que la terre puissent porter. Pourtant :

   Or, à Mochè[28] Nous avons donné le Livre[29], certes, et après lui Nous avons envoyé des messagers à la suite. Et à Ichoua (Jésus) fils de Marie Nous avons donné des preuves[30] et Nous l’avons aidé de l’esprit de sainteté[31]. Chaque fois, donc, qu’un messager vous apportait ce que vous-même ne désiriez pas, comme vous vous enfliez ! Car les uns vous [les] traitiez de menteurs et les autres vous [les] tuiez[32].

   Et ils dirent : « Nos cœurs sont incirconcis[33]. » Non mais c’est Dieu qui les a maudits à cause de leur mécréance[34]. Qu’il en est peu qui croient[35] !

   Et quand leur vint de Dieu un Livre[36] confirmant ce qu’ils avaient déjà, alors qu’auparavant ils cherchaient la victoire sur les mécréants[37], quand donc leur vint cela même qu’ils reconnaissaient, ils le mécrurent. Et bien, malédiction de Dieu sur les mécréants[38] !

   Comme est vil ce contre quoi ils ont troqué leurs âmes ! Ils mécroient en ce que Dieu a fait descendre[39], révoltés à l’idée que Dieu, de par Sa grâce, fasse descendre la révélation sur ceux de Ses esclaves[40] qu’Il veut. Ils se sont donc acquis colère sur colère. Or il est pour les mécréants un châtiment avilissant !

   Et quand on leur dit : « Croyez à ce que Dieu a fait descendre à nous », ils disent : « Nous croyons à ce qu’on a fait descendre à nous[41] ». Et ils mécroient au reste[42], à cela même qui, était vérité, confirme ce qu’il avait déjà par-devers eux[43]. Dis : « Pourquoi tuiez-vous donc les prophètes de Dieu, auparavant, si vous êtiez croyants[44] ? » (Coran II 67-91).  

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Evangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] après la venue du républicanisme comme idéologie et religion nouvelles, centrales, pour une nouvelle Europe anti-biblique dite des « Lumières » !!!, et l’abandon par là de toute référence religieuse. Chose qui perdure jusqu’à nos jours chez bon nombre d’idéologues, philosophes, athées, gens sans-religion, mécréants…
[6] Ainsi appellent les gens du rabbinat, le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !). Terme talmudique péjoratif ?
[7] Dans le journal arabe "Al Khalidj" qui a organisé en faveur de Garaudy une campagne de solidarité ; l'écrivain d'écrire notamment : qu'Israël "seul Etat racial et agressif au monde, pourrait bien faire éclater une nouvelle guerre mondiale du fait de sa politique colonialiste et sa prétention à un contrôle éternel sur Jérusalem". Selon Garaudy, "les sionistes ont été irrités" par son livre qui "a rappelé leur stratégie visant à l'établissement du grand Israël par l'effritement des pays de la région".
[8] étranger. Terme qui s’adresse aux Fils d’Esaü, et par extension au monde italien = au monde de la Chrétienté. Rabbi Manassé ben Israël, qui a vécu aux Pays-Bas de 1604 à 1657, a employé dans son vibrant plaidoyer pour l'émmigration des Juifs en Angleterre l'argument suivant. Il était contenu dans son exposé "Esperanza de Israël", adressé au Parlement anglais, et répété ensuite dans sa lettre à Cromwell."Le futur Messie ne pourra venir que lorsque toutes les prévisions de la Thora auront été réalisées. Or à cet effet, il est nécessaire que les Juifs soient dispersés "d'un bout du monde à l'autre". C'est pourquoi les Juifs devraient être admis en Angleterre, qui, étant "un angle de la terre", constitue de ce fait une extrémité".
   De plus, il y a de nombreux indices que les Chrétiens d'Angleterre sont des descendants des dix tribus perdues. Il n'y a donc pas de raison d'y refuser aux Juifs l'immigration. Grâce à ces arguments Manassé ben Israël a beaucoup contribué à l'accueil favorable aux Juifs en Angleterre. (Commentaires Thora. Ki Tavo. 18 64).
   Il existe une croyance chez certaines personnes du monde biblique que les gens de l’Angleterre comme ceux de la France (dont certains rois) descendent des dix tribus perdues d’Israël. Certains croyances juives veulent aussi que le Messie « attendu » vienne (ou viendrait) de la communauté juive de France.
[9] Les Sages toraniques n’admettent pas une nouvelle loi toranique. Toutefois, ils s’accordent de faire de cette dernière ce qu’ils leur plaient ? !
[10] les ennemis d’hier deviennent subitement les « amis » de demain ? !
[11] A ce sujet voir l’étude faite par Faits & Documents.
[12] Selon le monde palestinien, la guerre dans le camp de Jénine avait pour but de s’emparer des actes de notoriétés de bon nombre d’entre eux, pour éviter ainsi tout « retour », toute revendication des Palestiniens sur la terre de leurs ancêtres.
[13] Ces derniers ont un rôle déterminant dans la société juive. L’extrémisme de certains ne fait-il pas le jeu de certains politiciens ? De ceux qui sont pour une méthode dure, implacable, radicale ?
[14] Profitant de la décadence de l'empire bysantin, les Perses sassanides, sous la conduite du shah Chosroès II, ravagèrent la cité en 614 (Voir Coran XXX 1-5) Mais dès 628, elle retombait aux mains de l'empereur bysantin Héraclius. Pour peu de temps cependant. 638, le patriarche chrétien Sophronios dut ouvrir les portes de la ville au calife Omar qui, sur l'esplanade du Temple, lieu cher aux Juifs, fit élever une très modeste mosquée, à l'origine de l'actuelle mosquée Al-Aqsa. 1949. Jérusalem est la capitale officielle de l'Etat d'Israël fondé en 1948.
[15] Avocat au barreau de Paris et de New York, Me Arno Klarsdefd vient d’obtenir la nationalité israélienne bien que le ministère de l’Intérieur israélien ait, tout en lui accordant cette double-nationalité, refusé de l’enregistrer comme Juif, au motif que sa mère, Beate Klarsfeld, était « non-juive », puisqu’Allemande luthérienne non-pratiquante et n’avait jamais souhaité se convertir. Il devait donc être enregistré comme protestant, ce à quoi il s’est refusé. Son nouveau passeport est donc vide à la case « nationalité », laquelle, comme son nom ne l’indique pas, indique la religion de son titulaire. L’avocat vibrionnant s’est également vu prié de changer son premier prénom David, mais il s’y est refusé. (Source : F&D du 15 au 31 décembre 2002. N° 140). Preuve qu’au pays de la bannière davidique, n’est pas juif qui veut bien l’être, et cela quelque soit les services rendus, à la communauté, par papa !
[16] il est vrai qu’il existe une communauté juive importante dans cette partie du monde.
[17] Un site de rencontres internet autrichien propose depuis peu ses services aux célibataires d’extrême droite qui souhaitent découvrir l’âme sœur « de race aryenne » dans les pays de souche allemande (Suisse, Autriche, Allemagne, etc.) : www.geocities.com/germaniaflirt (Source : F&D du 15 au 31 octobre 2002. N° 140).
[18] Ces trois Livres divins ont bel et bien été révélés aux Fils d’Israël. Les Judaïsés en accepteront qu’un : la Torah. Le Psautier ne sera pas reconnu comme tel par les gens du Rabbinat : sages, rav, rabbis. De même, l’Evangile de Dieu ni la mission prophètique du Messie fils de Marie (sur lui la Paix !). 
[19] et par extension aux Arabes.
[20] Ce que les gens de la Torah refusent catégoriquement de reconnaître : Coran III 96.
[21] Francisé : Moïse et Aaron.
[22] Vallée montagneuse de la Mecque.
[23] Pour les références bibliques : voir Bible. 
[24] Et non mahométane comme l’écrivent si souvent les gens de la Bible : médias, historiens, philosophes, etc. Ont-ils remarqué que les Soumis s’amusent comme eux, à déformer le nom de leurs prophètes ? Nullement. Car les Soumis respectent et croient à tous les prophètes depuis Adam.
[25] Ou repentis (d’avoir adoré le « Veau d’or » : les gens du Judaïsme. Ceux qui, parmi les Hébreux, ont pris comme/pour religion le Judaïsme et non la Soumission. La Soumission : la religion de tous les prophètes divins, sans exception. Et non les Fils d’Israël eux-mêmes. Nous savons tous que bon nombre de gens, à notre époque, ne peuvent prétendre être Fils d’Israël. Par contre, bon nombre de Fils d’Israël sont descendants des « repentis ».
[26] arabe, pl. mouchrikoun, mouchrikin.
[27] Leur négationnisme patent.
[28] Nom copte repris en hébreu. Arabisé : Moussa.
[29] Soit la Torah.
[30] Des miracles…
[31] l’ange Gabriel. Ne pas confondre avec l’esprit de sainteté du monde évangélique : le troisième dieu de la trinité (ou du tri-théisme chrétien).
[32] La désinformation permanente circulait entre eux.
[33] Voir Bible. Gen. 17/7 ; Deut. 30/6 ; Lév. 12/4 ; Jérémie 9/26. Coran IV 155 et commentaires.
[34] Dieu ne maudit pas les créatures mais les actes mauvais de ces dernières, dont leur mécréance. Le fait que celles-ci refusent de Le reconnaître… 
[35] genre de phrase qu’on retrouve dans la Bible.
[36] Coran. A l’origine ce verset s’adresse à la communauté juive d’Arabie, vivant au temps même du Prophète de l’Islam. Ces derniers se plaignaient souvent du comportement inhumain que leur faisait subir les Arabes associateurs. Le Coran révélé, ces derniers, à part un petit nombre, refusèrent d’y croire comme de croire à la mission prophétique du Prophète de l’Islam. D’où… Ceux qui viendront ensuite, parmi les gens de la Torah, suivront évidemment le comportement des anciens…
[37] d’entre les Arabes associateurs…
[38] Soit ces derniers seront privés de Sa miséricorde. Et celui qui sera privé de Celle-ci, que peut-il attendre ?
[39] le Coran.
[40] En l’occurrence ici les Fils d’Ismaël d’où est issu le Prophète de l’Islam (sur lui la Paix !).
[41] c’est-à-dire la Torah.
[42] Le Coran nouvellement révélé.
[43] La Bible.
[44] Parole dure à leur encontre. Si vous vous faites passés pour des croyants vrais, vous et vos descendants, alors pourquoi… Notons que la plupart des gens de la Torah refusent d’admettre que leurs ancêtres ont mis à mort de nombreux prophètes. Selon eux, cela fait partie des apocryphes. Comparer : Bible. Mt. 23/29-32.


Point de divinité, de dieu que Dieu !
"Vulnerant omnes, ultima necat."
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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Cette page a été mise à jour le 17/05/07

 

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