euaggelia
Bonne Nouvelle
du Messie-Ichoua fils de Marie (sur lui la Paix !) à son peuple :
le peuple d’Israël. Qu'était-elle ? .


HaMACHIAH
Un  Seul Dieu, Adonaï Ehad, tu adoreras !

Quel était donc le sens exact du vocable "Evangile" ? Ce que nous ont caché les gens de la Bible.
L'Histoire tronquée !

  Seconde partie :

P oint de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4]

   L’Évangile de Dieu. Son sens selon l’exégète coranique. 

   En syriaque, inqaliyoun. Selon les grammairiens, l’Evangile serait le principe fondamental, en relation avec le nadjl qui veut dire, en arabe : « l’engendrement d’une postérité ». Comme principe, l’Evangile engendre les sciences de la religion et les sentences de la Loi. Le nadjl, c’est encore l’eau qui sort du puits ; l’Evangile serait la source, car Dieu fait sourdre la vérité de Sa révélation. C’est le fait aussi d’avoir de grands yeux ; or justement l’Evangile dispense largement aux hommes lumière, clarté et abondance. Egalement, tanâdjoul, se battre, en venir aux mains les uns avec les autres. Après l’élévation d’Ichoua (Jésus-'Issa) (sur lui la Paix !) au Paradis, l’Evangile sera l’objet de nombreuses controverses. Et les gens de l’Evangile en viendront aux mains.

   Le demandé. L’Alliance, l'Engagement. On a dit également, qu’il fut demandé par là aux Fils d’Israël qu’ils[5] lisent le Livre Dieu par cœur, soit qu’ils le rassemblent en entier dans leurs cœurs. Mais ils firent rien de tout cela et se contentèrent plutôt d’avoir leurs Textes évangéliques devant eux ; et aucun homme du culte ou du commun ne peuvent prétendre savoir leurs Textes par cœur.

   Prophéties. C’est cette prophétie de Jérémie (sur lui la Paix !) (Bible. Jérémie. 31 : 31-34 ; Hébreux. 8) que reprendra Paul, et qu’il tentera d’attribuer au monde évangélique. « En parlant d’une (alliance) nouvelle , (le Seigneur) rend vieille la première ; or ce qui est vieilli et vétuste touche à sa fin. (Hb. 8 : 13). La Nouvelle Alliance, c’est le Coran et non l’Evangile. Car la seule communauté religieuse qui puisse prétendre avoir son Livre gravée dans leur coeur, et en vérité, n’est-ce pas la communauté du Sceau de la Prophétie, le prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !) ? Pour elle, c’est là un privilège divin. Secundo : N’oublions pas enfin ces paroles de Mochè (Moïse-Moussa) (sur lui la Paix !) à son Seigneur : « O Seigneur ! Je vois dans les Tables un peuple, leurs évangiles sont dans leurs poitrines ! Fais qu’il soit de ma communauté ! » Il lui dit : « Ce sera la communauté de Ahmad[6] ! » Et ici les évangiles = le Coran, les Textes coraniques, les chapitres[7]. Alors pourquoi parler d'évangile au pluriel alors que leur Seigneur leur a parlé tout autrement à travers Son Messie, le fils de Marie (sur lui la Paix !) (Coran III 48 ; V 46 ; V 11O, etc.).    

   Sens tronqué. 

* { وَإِذْ قَالَ عِيسَى ٱبْنُ مَرْيَمَ يٰبَنِي إِسْرَائِيلَ إِنِّي رَسُولُ ٱللَّهِ إِلَيْكُم مُّصَدِّقاً لِّمَا بَيْنَ يَدَيَّ مِنَ ٱلتَّوْرَاةِ وَمُبَشِّراً بِرَسُولٍ يَأْتِي مِن بَعْدِي ٱسْمُهُ أَحْمَدُ فَلَمَّا جَاءَهُم بِٱلْبَيِّنَاتِ قَالُواْ هَـٰذَا سِحْرٌ مُّبِينٌ } *

   On remarque qu'en arabe et l'hébreu les mots sont proches : bonne nouvelle (مُبَشِّراً - بِشارةٌ ـ بُشْرى)  - bouchrâ. Pour l'humain (بَشَرٌ), bachar.  Il semble ici que les gens de l'Evangile choisiront le vocable : "s'incarner", à celui de : "bonne nouvelle". De ce sens, naîtra la dérive des gens de l'Evangile, et cette fausse croyance paulienne de l'Incarnation (Dieu fait homme) et la réincarnation.... D'un mot pris dans un mauvais sens.

   Nous avons vu que le vocable « évangile » signifie, selon le monde de l’Évangile, « la bonne nouvelle », le message du salut qu’a (ou qu’aurait) réalisé le Messie fils de Marie en son temps. Si tel est le cas, le Messie n’a rien réalisé du tout. En effet, le Messie n’a réalisé aucun message de « salut » pour son peuple puisque ce dernier l’a rejeté d’emblée, lui et son message (Coran III 52). Secundo : Le Messie n’est pas « décédé » pour lui, pour ses péchés, pour aucune personne de ce bas-monde. C’est celui qui voulait la perte du Messie qui sera mis à mort à sa place : Achoua, le Juif. Troisièmement : Si le Messie n’a pas goûté à une mort réelle, il n’a donc pu goûter à une résurrection des morts. Quatrièmement : contrairement à l’idée reçue, l’idée de Paul, la « croix[8] » (instrument du supplice) n’a jamais fait du peuple d’Israël avec les autres peuples un seul et même peuple, ni n’a détruit la haine[9]. Pas même le sang versé du condamné. D’ailleurs, ne sera-ce pas jusqu’au jour du « Retour » du Messie parmi nous, une pomme de discorde perpétuelle entre les gens de la Bible ? Chacun avançant ses arguments, ses preuves… Cinquièmement : Celui qui a goûté réellement à la mort à un nom : c’est le fils de Zacharie, l’aide, le cousin, le confirmateur du Messie. C’est lui dont les gens de l’Evangile aurait du nous parler, mettre en avant, car n’annonçait-il pas deux choses au peuple d’Israël ? Premièrement : la fin du Temple. Deuxièmement : il sera le précurseur de la naissance proche du père du prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !). Qu’on en juge :

   "Si le sang [10] se trouvant sur la tunique[11] (en arabe, djoubah) de Yahya se met à suinter, alors sera né le père du prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !)."
   Quand celui-ci grandit, les docteurs juifs de Châm le savaient ; ils décidèrent alors de le tuer. Mais Dieu (exalté soit-Il !) leur envoya, à ceux qui voulurent sa perte, Ses anges qui les exterminèrent jusqu'au dernier.

   Deux faits passés sous silence par les gens de la Bible (Thora + Evangile). Pourquoi ? Sixièmement : les Fils d’Israël attendaient deux choses bien distinctes. Premièrement : une promesse, deuxièmement : une bonne nouvelle. La promesse, Paul n’en fait-il pas mention en disant :  Bible. Rom:1:1: 1. Paul, serviteur de Jésus Christ, appelé à être apôtre, mis à part pour annoncer l'Évangile de Dieu, - 2  qui avait été promis auparavant de la part de Dieu par ses prophètes dans les saintes Écritures, 3  et qui concerne son Fils (né de la postérité de David, selon la chair... (LSg).
   Le promis ici n’est-ce pas ce prophète né miraculeusement, sans père biologique ni divin, annoncé dans les Écritures : le Messie fils de Marie ?
   La bonne nouvelle : Au Sceau de la Prophétie de déclarer un jour :
   "Je suis (mentionné) auprès de Dieu dans le Prototype du Livre en tant que Sceau des prophètes alors qu'Adam était encore couché dans sa "terre". Je vais vous dire ce que cela signifie : je suis l'invocation de mon père Abraham (Coran II 129), la bonne nouvelle annoncée par Ichoua (Jésus-Issa) à son peuple (Coran LXI 6), et la vision en songe de ma mère."

   Selon une autre variante : Lorsque la mère du prophète (sur lui Prière et Paix !) le porta et le mit au monde, elle vit jaillir d'elle une lumière lui montrant les palais de Châm. Interrogé sur sa personne, le prophète (sur lui la Paix !) dira :
   "Je suis l'accomplissement du voeu formulé par mon père Abraham (Coran II 129) et l'heureuse annonce faite par Ichoua (Jésus-Issa) (sur lui la Paix !) (Coran LXI 6). Et ma mère a vu quand elle me porta jaillir d'elle une lumière par laquelle lui était illuminé les palais de Châm[12]."

   Il fut dit à Hagar, mère d'Ismaël (sur eux la Paix !) :
   "O Hagar ! Ton fils sera le père de nombreuses nations,
   et de sa branche[13] (ou rameau) sortira le prophète illettré, habitant du Lieu sacré[14]

   Conclusion : ce mot « évangile », nous dit-on, « dans l’Ancien-Testament, le mot, sans exclure un sens profane, prend de plus en plus une signification religieuse : il désigne en particulier les promesses encourageantes des prophètes sur les temps messianiques. » Alors, n’est-ce pas à Habacuc, le prophète de nous dire et concernant le Sceau de la Prophétie aux temps messianiques : 
   "Tu donnes le vertige à la terre et tu piétines les nations ;
   parce que tu es apparu pour le salut[15] de ta communauté
   et la délivrance de l'héritage de tes pères (soit de tes ancêtres les prophètes). (Comparer : Bible. Hab. 3:12-13).

   Deuxièmement : Dans cette même ordre d’idées, n’est-ce pas à Paul de prétendre : "Pour moi, en effet, voici ce qui m'est venu du Seigneur et que je vous est transmis : Le Seigneur Jésus, en la nuit où il fut livré, prit du pain et après avoir rendu grâces, il le rompit en disant :
   "Ceci est mon corps (livré) pour vous ; faites ceci en mémoire de moi".
(Bible. I Cor. 11:23-26).
  
De même, après le repas, il prit la coupe en disant :
   "Cette coupe[16] est la nouvelle alliance dans mon sang : faites cela, chaque fois que vous la boirez en mémoire".

   Selon Sarwat : « Il est autrement dans le quatrième Evangile. Commençons par rappeler que le nom de Jésus/`Isâ, égyptien ‘sh (‘Isha) : l’Annonciateur, un attribut millénaire d’Osiris, est de même un nom propre d’homme et de femme utilisé par les Egyptiens au cours de deux mille ans avant notre ère, dès le Moyen Empire et jusqu’en Basse Epoque, comme aussi dans le monde arabo-araméen vers le temps de Jésus. ‘Ishâ en arabo-araméen signifie `vie’ ainsi qui soutient la vie, la nourriture, surtout le pain, vernaculaire égyptien ‘Ish. ‘Ishâ c’est la vie, ‘Ish c’est le pain. Quand les Juifs, dans le quatrième Evangile, se demandent : qui est celui-là qui est descendu du ciel ? Jésus ne fait que prononcer son nom égypto-araméen quand il répond : Je ‘Ishâ, ce qui se traduit : Je suis le pain, je suis la vie.
   « Je Suis le pain de vie.»
   Vie et Vie éternelle, tout comme dans l’égyptien ‘Ankh, sont synonymes :
   « Je Suis la Résurrection et la Vie.
   Qui croit en moi, même s’il meurt, vivra. » (Op. cité. t. IV. p. 87)

   « Le pain et la boisson de communion symbolisent ainsi, dès le III millénaire av. J.-C., l’Essence divine nécessaire pour les dieux et les hommes. Celui qui reçoit les deux espèces vivra les deux vies : il s’identifiera à Dieu dans la vie éternelle. » (Op. cité. t. III p. 177).

   Le Midrach Rut Rabbah dit : § 5, sur Rut. 2, 14 : Cela s’applique au Roi Messie : Approche ici : viens à l’empire ; et tu mangeras du pain : c’est le pain de la royauté ; et trempe ta bouchée dans le vinaigre : ce sont les épreuves, car il est dit : Is. 53, 5. Car il sera frappé pour nos iniquités, brisé pour nos fautes. De même : Sur Rut, 2, 14 § 5 : Les mots s’appliquent au Roi Messie ; Approche, c’est-à-dire : approche-toi du règne ; et mange du pain, c’est-à-dire, le pain du règne ; et trempe ta bouche dans le vinaigre, c’est-à-dire les souffrances, comme il est dit : Isaïe, 53, 5... ; et elle s’assit auprès des moissonneurs, c’est-à-dire, parce qu’on lui enlèvera sa royauté pour peu de temps, comme il est dit : Zacharie, 14, 2... ; Et on lui présentera du rôti, c’est-à-dire que la royauté lui sera rendue comme il est dit : Isaïe, 11, 4 : Et il frappe la terre de la verge de sa bouche.
   Tout cela devra concerner Le messie, le futur prophète tant attendu et non le Messie, Ichoua fils de Marie (sur eux la Paix !) comme voudrait le comprendre et nous le faire comprendre notamment les gens de l’Evangile. Quant aux gens de la Thora, ils semblent être dans l’attente d’un Messie qui, loin de les rassembler, sera plutôt pour eux la cause de leur perte.

   Troisièmement : Toujours dans cet même ordre d’idées : on a dit qu'il était écrit dans la Thora et concernant toujours et encore le Sceau de la Prophétie :
   "Son empire sera à Châm[17] et son compagnon parmi les anges, Gabriel.
   Il rencontrera de la part de son peuple de dures souffrances[18]
   Ensuite, (la situation) se renversera pour eux[19] .
   Il les moissonnera de moisson[20]
   Les événements se passeront à Yasrib (ancien nom de Médine). 
   Ils le concerneront puis, ils seront pour elle. Ensuite, pour lui sera la fin.
   Avec lui un peuple (ses compagnons). Ils sont plus rapide pour la mort que l'eau qui descend du haut de la montagne en son pied.
   [Dans] leurs poitrines (seront) leurs évangiles[21].
   Leurs offrandes seront leurs sangs (versés notamment dans le sentier de Dieu).
   Lions la journée, moines la nuit (car ils la passeront en adorations et en retraites).
   Ils épouvantent leurs ennemis d'une distance d'un mois.
   Lui-même commence (le premier) le combat. Ensuite, il sort et juge[22].
   Pas de police avec lui et pas de gardien : Dieu le gardera."

   Oui, c'est lui le véritable Prophète des nations. En aucun cas, il ne serait avoir d'autre nom. Ni le fils de Marie, ni le fils de Zacharie, ni le dénommé Paul se verront attribuer cette haute charge et cette haute dignité. C'est en lui que ses compagnons ont cru. Eux, qui l'ont écouté. Tel n'a pas été le cas des Fils d'Israël. Il s'est humilié en se faisant obéissant à son Seigneur jusqu'à sa mort. C'est pourquoi Dieu (exalté soit-Il !) l'a élevé au plus haut et l'a gratifié du nom Ahmad-Mohammad qui est au-dessus de tout nom[23]. Lequel est ainsi invoqué dans Ses maisons avec celui de son Seigneur...

   Quatrièmement : Selon la Bible deux "mots" étaient à attendre pour les Fils d'Israël. Le premier : le Sceau des prophètes d'Israël est (et était) le "mot" divin (: Sois !) attendu. Le second : Quant au Sceau de la Prophétie, il est représenté, selon le prophète Habacuc, comme étant, lui, le "mot saint" de son Seigneur. Ne pas confondre. Qu'on en juge :
   "Dieu va se manifester du Sanctuaire (de la Ka'bah)
   et le "mot saint" va apparaître des montagnes de Paran (à la Mecque),
   apparition perpétuelle.
   Pour cela, on louera Dieu dans les cieux et sur la terre,
   et le mot d'Ahmad (le Très-Loué) emplira la terre."

   autre variante :

   "Dieu est venu de Téman (ville et district de l'Idumée),
   et le saint (soit Ahmad-Mohammad) de la montagne de Paran (à la Mecque).
   La terre s'est emplie de la louange et de la sanctification d'Ahmad.
   Par la crainte, il a emplit la terre." (Comparer : Bible. Hab. 3:3)[24]

   Conclusion. 

   La « bonne nouvelle » ne peut-être le sens à donner au vocable « évangile ». Le grec n’est (et n’était) pas la langue du Messie. Le texte grec ou latin, etc., si beau soit-il, n’est qu’une traduction, une interprétation de l’original. Lequel était en araméen. Les gens de l'Evangile ont voulu s'attribuer des choses qui ne sont et ne seront jamais en leur possession. 

   Oui, le fils de Abd Allah, le Prophète Mohammad était, lui, "la bonne nouvelle annoncée par Ichoua (Jésus-Issa) à son peuple (Coran LXI 6)..." Ici on parle d’un Livre divin, là d’un Prophète divin. Ne pas confondre. Quant à l’Évangile, et contrairement à l’idée reçue, il annonçait bel et bien, la venue du Sceau de la Prophétie, le Prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !). D’ailleurs dans le Coran, au Saint et Seigneur d’Israël et des mondes de révéler à l’encontre des Fils d’Israël et des Judaïsés : « Tenez l’engagement que vous avez pris (naguère) avec Moi, Je tiendrai l’engagement que J’ai pris avec vous et c’est Moi que vous devez redouter ». (Coran II 40).

   Selon le fils de ‘Abbas : « Acquittez-vous de l’obéissance que Je vous ai ordonné et gardez-vous de la désobéissance que Je vous ai interdite, à l’égard du Prophète [Mohammad] et d’autres prophètes ; Je tiendrai Mon engagement à votre égard, c’est-à-dire Je serai satisfait de vous et vous ferai entrer au Paradis ».

   De même : «  « et c’est Moi que vous devez redoutez » c’est-à-dire : « redoutez que Je ne fasse descendre sur vous des châtiments comparables à ceux que J’ai fait descendre sur certains de vos ancêtres : les métamorphoses et d’autres châtiments que vous connaissez » .

   En clair, c’est comme si le Seigneur des mondes leur disait : c’est Moi que vous devez redouter et craindre ô vous, ceux d’entre les Fils d’Israël, qui avez négligé l’engagement pris avec Moi et qui déclarez mensonger Mon prophète alors que J’avais conclu une Alliance avec vous, par les Livres que Je vous ai révélés par l’intermédiaire de Mes prophètes ; cette Alliance impliquait que vous crussiez en ce prophète et que vous le suiviez. Sinon, si vous ne vous repentez pas et si vous ne revenez pas vers Moi en suivant ce prophète et en reconnaissant la Vérité de ce que J’ai fait descendre vers lui, J’abattrai sur vous un châtiment comparable à celui infligé aux hommes qui vous ont précédés et qui ont refusé Mon ordre et traité Mes envoyés de menteurs.  

   Déchéance d’un peuple. Quand le droit d'aînesse n'est pas un droit perpétuel. Le peuple d'Israël. Son avenir. L'invocation ou la supplication. La vision de Daniel. Ce que les gens de la Bible nous cachent les concernant.   

   En parlant du peuple d'Israël, à Daniel[25] (sur lui la Paix !) de dire notamment : 

   "J'ai demandé[26] à Dieu le Très-Haut, je l'ai imploré pour qu'Il m'explique ce qui doit arriver aux Fils d'Israël. Est-ce qu'Il reviendra à eux et leur rendra (alors) leur royaume (en Israël) ? Enverra-t-il parmi eux des prophètes (sur eux la Protection !) ? Ou bien (tout) ceci sera-t-il donné à d'autres (gens) ? (C'est) alors, que m'apparut un ange[27] sous la forme d'un jeune (homme), de beau visage, et dit :

   "La paix soit sur toi, ô Daniel ! Dieu te dit que les Fils d'Israël M'ont M'y en colère et se sont révoltés contre Moi. Ils ont adoré en dehors de Moi, d'autres divinités. Ils sont ainsi devenus, après avoir accédés à la connaissance, des [gens] de l'ignorance. Et après avoir été (des gens) de la vérité, [ils sont devenus des gens] du mensonge. Je les ai soumis à Bakhtanassar[28]. Il a tué leurs hommes, et a ammené captif leur descendance[29]. Il a détruit leur Maison (le Temple de Jérusalem) et a brûlé leurs Livres. Et ainsi, il fit  de ceux qui vinrent (captifs en Babylonie). Et Moi, Je ne suis pas content d'eux, et Je ne leur pardonnerai pas leur faux pas[30]. Ils seront ainsi dans Ma colère, jusqu'à ce que J'envoie Mon Messie, de la pure, de la vierge. Après cela, Je ferai que leur fin soit dans la malédiction et la colère[31], et (alors) ils resteront ainsi [32].

   Sur eux, l'avilissement et la pauvreté jusqu'à ce que J'envoie un prophète des Fils d'Ismaël[33], dont Hagar avait annoncé. Je lui ai envoyée Mon ange (Gabriel), lequel le lui a annoncée. Je descendrai Ma révélation sur ce prophète et Je l'ornerai de la piété. Et Je ferai la bonté son symbole. La voie droite son chemin. Je lui donnerai en particulier un Livre (le Coran), confirmateur de ce qu'il y a de leurs Livres (la Bible). Abrogateur de certaines choses s'y trouvant (en elle). Je le ferai voyager auprès de Moi[34], et le ferai monter de ciel en ciel, jusqu'à ce que sera élevé sa descendance. Je le saluerai et Me révèlerai à lui. Ensuite, Je le renverrai à Mes esclaves avec la joie et le présent (la Prière). Protecteur de ce qu'il lui a été confié. Exécuteur de ce qui lui a été ordonné. Il appellera à Mon Unicité et Mes adorations. Il les informera de ce qu'il a vu de signes. Ils (les arabes associateurs, les judaïsés, etc.) lui feront du mal (en tentant notamment de l'empoisonner)." 

   Selon une autre variante : 

   "...Je lui ai envoyée Mes anges lesquels le lui avait annoncée. Je descendrai alors Ma révélation sur ce prophète et lui enseignerai le signe[35]. Je l'ornerai de la piété et ferai la bonté son symbole. La piété sa raison et la véracité sa parole. La loyauté sa nature et le but sa voie. La voie droite sa relativité. Je lui donnerai en particulier un Livre (le Coran), confirmateur de ce qu'il a devant lui le Livre (la Bible). Je le ferai voyager auprès de Moi et le ferai monter de ciel en ciel jusqu'à ce qu'il s'élèvera. Puis, Je le ferai approcher (de Moi) et le saluerai[36]. Je Me relèverai à lui, puis, le renverrai à Mes esclaves. Protecteur de ce qui lui a été confié. Exécuteur de ce qui lui a été ordonné. Il appellera à Mon Unicité avec la douceur du langage[37] et la meilleure exhortation[38]. Il n'est ni rude ni sévère. Il n'élève pas (sa voix) dans les marchés. Indulgent pour celui qui l'aura pris pour son compagnon. Miséricordieux pour celui qui aura cru en lui. Sévère pour celui qui l'aura pris pour son ennemi." 

   également :

   "...Sévère pour celui qui l'aura pris pour son ennemi. Il appellera son peuple[39] à Mon unicité[40] et Mes adorations. Il les informera de ce qu'il a vu de Mes signes. Ils mécroiront en lui et lui feront du mal." 

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu’Il aime et agrée !


[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Evangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures.
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Les Fils d’Israël, les gens de l’Evangile. 
[6] Un des noms du prophète. En terre des Gaules, on parlera plus de familles. La famille des Dupont, des Durand, etc. L’arabe, à l’inverse du français, n’a pas usité en sa langue le nom de famille. Nom et prénom sont souvent une seule et même chose. L’accent est mis d’avantage sur le tribal, tribus. Soit : Fils de… même chose chez les Hébreux, les Fils d’Israël. Pour les autres peuples, on parlera donc plus de nations. 
[7] ou sourât.
[8] Ou le poteau du supplice. 
[9] Bible. Eph. 2/14-19). 
[10] Les gens de l’Evangile, sur les conseils du dénommé Paul, ont fait fausse route. Le « sang » qu’il fallait parler, haut et fort, c’était celui du fils de Zacharie et non celui du fils de Marie. Car ce « sang » là lorsqu’il se netterrait à suinter, il annoncerait alors la naissance d’Abd Allah. Puis, celle de son fils Ahmad-Mohammad (sur lui Prière et Paix !)…
[11] Dans le Psautier, nous lisons : « ...Ils se partagent mes vêtements, et ils tirent au sort ma tunique. »  Dans Mt, addition et concernant le fils de Marie : « pour que s’accomplît l’oracle du prophète : « Ils se sont partagé mes vêtements, et ma robe, ils l’ont tirée au sort » (Ps. 22 19), glose empruntée à Je 19 24. Mc. est censé, lui, déclarer : Puis ils le crucifient et ils se partagent ses vêtements, en tirant au sort à qui aurait quelque chose. (15 24). Je. : Et Jésus disait : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Pour se partager ses vêtements, ils les tirèrent au sort. (23 34). Aucun texte n’est cohérent. Oui, un vêtement sera arraché par les Judaïsés et emporté avec eux. Ce sera celui du fils de Zacharie et non celui du fils de Marie. Car ce dernier sera élevé, corps et âme, dans le Paradis divin. Il ne connaîtra pas la mort que goûtera, par contre, son adversaire, son sosie, Achoua (ou Achiyoua) le Juif. Les gens de la Bible se sont donc lourdement trompés sur le sens à donner à cette prophétie et concernant la tunique (ou suaire) d’un condamné à mort.
   Concernant le Messie de Dieu (sur lui la Paix !) , on a dit :
   "Les anges se réunirent lors de l'élévation de Ichoua (sur lui la Protection !) ; il s'assit et son habit rapiécé (en arabe, mouraqq`a) portait trois cent trous ; ils dirent : 
   "Seigneur, ne feras-tu pas à Ichoua une chemise rapiécée ?"
   Il dit : "Non, le monde [où il va redescendre] ne mérite pas qu'il en ait une !" 
   Alors ils fouillèrent dans son vêtement et y trouvèrent une aiguille. Il dit alors : "Par Ma gloire, s'il n'y avait pas eu cette aiguille. J'aurais ravi Ichoua jusqu'en l'intime de Ma sainteté, et ne Me serais pas contenté pour lui du quatrième ciel. Mais voici, une aiguille a mis un voile entre lui et Moi !".
   De même : "Lorsque Ichoua, fils de Marie, fut élevé, il ne laissait après qu'un vêtement rapiécé en laine, une paire de sandales de pâtre, et un lance-pierres avec lequel il chassait  les oiseaux."
[12] Souhaily écrit : « Cette lumière annonçait la conquête de ce pays sur lequel s’établirait le Vicariat tout au long du règne des Fils d’Oummiya. Le pays fut éclairé par la lumière spirituelle qui émanait du prophète de Dieu (sur lui Prière et Paix !).
[13] Selon le fils d’Hicham : Le grand père du prophète (sur lui Prière et Paix !), Abdal-Mouttalab, vit un arbre sortir de son dos. Il grandit tellement que son faîte atteignit le ciel et se mit à briller de mille feux. Il vit aussitôt les Arabes et les Perses s’agenouiller devant l’arbre et l’adorer. Une devineresse lui prédit une descendance nombreuse. Elle dit : « parmi tes petits enfants, il naîtra un prophète auquel Arabes et Perses feront allégeance. » Les Perses étaient dualistes, les Arabes associateurs. 
[14] en arabe, le Haram.
[15] ou la rédemption
[16] Pour la coupe, l’évangéliste écrit :
   « Il la leur donna, et ils en burent tous. » (Mc. 14 23).
   D’où il résulte que la coupe était vide lorsque le fils de Marie est censé dire :
   « Ceci est mon sang. » (Mc. 14 25).
   Il n’y a plus de ceci. Maladresse de rédaction, dira-t-on. La maladresse est, en effet, si flagrante qu’on fera dire, au sujet de la coupe dans le dénommé Matthieu :
   « Et il la leur donna, disant : « Buvez-en tous, car ceci est mon sang. » (Mt. 26 27-28).
   Cette « rajouture » prouve que nos narrateurs ne savent pas exactement ce qui s’est passé lors de la dernière rencontre entre le fils de Marie et ses compagnons. Une chose est sûre, c’est là la preuve une fois encore, de la main mise de la secte des pharisiens, ces prétendus « conservateurs du sang » (mystère du Graal), soit la secte du dénommé Paul de Tarse ; sur tout ce qui touche, de près ou de loin, à la religion du Messie d’Israël. N’est-ce pas les judaïsés qui penchent pour un Messie « souffrant » apparaissant à la fin des temps ? Même son de cloche pour les gens de l’Evangile qui verront, eux, en Ichoua le fils de Marie, le « futur Messie souffrant » annoncé dans les Ecritures ? Pourtant... La clé des Ecritures ne l'ont-ils pas perdus ?  
[17] Soit : Syrie, Liban, Jordanie et l’ensemble de la Palestine. La capitale de cette province du Nord de l’Arabie sera : Jérusalem. 
[18] Selon les Ecritures anciennes, celui qui devait souffrir, c’est Le messie, Ahmad-Mohammad et non le Messie, Ichoua fils de Marie (sur eux la Paix !). Ne pas confondre.
[19] c'est-à-dire, sera pour lui l'Etat. Il sortira alors en maître et vainqueur des événements. Tout au début de sa mission, il sera dominé. Puis, son état et l’état de ses compagnons changera. Il deviendra alors le maître absolu de l’Arabie et des événements.
[20] Comparer : Bible. Mt. 3 12 ; Lc. 3 17.
[21] Soit : Leurs Textes sacrés seront appris, par eux, par cœur, et seront ainsi protégés dans leurs cœurs. Les gens de l’Evangile ne connaissent nullement leurs Textes sacrés par coeur. Tel n’est pas le cas des gens du Coran. Contrairement à ce que prétendent les gens de l’Evangile, la prophétie de Jérémie (31:33 ; Héb. 8:10 ; 10:16 et sv.) ne pouvait en aucun cas les concerner. Ni eux, pas même s’appliquer aux gens de la Thora. Le dénommé Paul avait, lui, par contre, bien compris le sens de la Nouvelle-Alliance (Brith Hadacha)  ; mais il l’attribuera, à tort, au fils de Marie et à sa communauté ; alors que Celle-ci, revenait de droit au Sceau de la Prophétie et à sa communauté. Et Dieu est plus Savant !
[22] Lui, et non le fils de Marie comme le voudrait et le prétendre les gens de l’Evangile. Au Jour des Comptes, un Seul sera Juge : Dieu (exalté soit-Il !). Tel ne pourra être le cas du fils de Marie. Comparer : Bible. Mt. 24:29-35, 26: 64 ; Mc. 13:24-31 ; Lc. 18:8, 21:25-33 ; Je. 8:50, 56. Les gens de l’Evangile croient également qu’ils sont, eux (ou bien le peuple d’Israël),  le « Peuple » par excellence (Act. 10 42). De même, qu’en ressuscitant le fils de Marie, Dieu l’a établi dans sa dignité de souverain Juge (Act. 17 31 ; Rm. 14 9 ; Tite. 4 1; 1 P 4 5). 
[23] 1 - Ahmad : nom céleste mentionné dans le Coran (LXI 6). Peut être compris de plusieurs façons : « Le Plus-Loué ou Louangé », « le Plus digne de Louange ». 
   2 - Mahmoud est un nom paradisiaque. Il désigne « le Louangé » en tant qu’il est  « l’Objet de la louange ». 
   3 - Mohammad est lui aussi un nom paradisiaque. Il désigne « le Louangé » en tant qu’il est le « Support des louanges », ou « Celui dont les louanges ne cessent d’être répétées ».
[24] Hb:3:3:  3. Dieu vient de Théman, Le Saint vient de la montagne de Paran... Pause. Sa majesté couvre les cieux, Et sa gloire remplit la terre. (LSg).
[25] Homme célèbre qui a vécu lors de la première déportation du peuple d’Israël en Babylonie. On a dit que son tombeau, ainsi qu’un Livre se trouvant à ses côtés et décrivant notamment le Sceau de la Prophétie, ses compagnons et sa communauté ; ont été découvert lors de l’Ouverture de cette région du monde à l’Islam. Les grecs, les gens de la Bible vouent pour la plupart d’entre eux une véritable vénération pour cet homme de l’histoire biblique. 
[26] cette version arabe n’existe pas chez les gens de la Bible. 
[27] un ange sous la forme d’un beau jeune homme. Comparer : Bible. Dn. 8 15. 
[28] Certains ont vus qu’il était le nom du Roi de Babylone de l’époque. D’autres, le titre porté par les souverains de cette région. Comme le Négus pour les souverains éthiopiens, César, pour les souverains romains, Pharaon, pour les souverains d’Egypte, etc. On a dit que Bakht signifiât fils, et nassar (divinité) étant le nom d’une idole. Ce roi fut nommé ainsi, dit-on, parce qu’il fut trouvé au pied de cette idole. En hébreu, Nebucadnetsar. Dans Jérémie et Esdras, Nebucadrestar ; assyrien, Nabou-Koudour-ousour, c’est-à-dire Nebo (dieu), Is. 48:1) protège la couronne. On a dit, à son sujet, qu’il fut l’un des quatre grands rois qui domina le monde entier. Les autres étant : Salomon, Alexandre le Grand et Nemrod. 
[29] conformément à Sa parole : Coran XVII 4-8.
[30] Selon le dénommé Paul : « ...leur faux-pas a procuré le salut aux nations, afin que leur propre jalousie en fût excitée. Et si leur faux pas a fait la richesse du monde et leur amoindrissement la richesse des nations, que ne fera leur totalité ! » (Bible. Rom. 11: 11-12 ; V. 11:19, 25, 30 ; 9:22 et sv.).
   L’incrédulité des Judaïsés n’est qu’un « faux pas » qui permettra notamment la conversion des gens de toutes nations à la Religion de Dieu, et également, pour certains d’entre eux, leur propre conversion. A Médine, la communauté juive permettra, entre autre, la conversion des arabes associateurs à l’Islam. C’est pour leur salut que Dieu les rendra « jaloux » des autres nations notamment des Fils d’Ismaël. (Comparer : Bible. Dt. 32:21 ; Rm. 10 19 et sv.). Leur faux pas ne sera-t-il pas une des causes de leur prétendue droit d'aînesse ? 
[31] ceci correspond à Sa parole : Coran IV 155 et sv.
[32] Bible. comparer : Rom. 11.
[33] Soit : Ahmad-Mohammad. Daniel lui-même avait donc annoncé et attesté sa prophétie.
[34] Lui, et non Ichoua, le prophète (sur lui la Paix !), ceci lors de l’ascension nocturne (Coran XVII 1. Comparer : Bible. Héb. 11:23-24). Notons que le fils de Marie ne pourra être exécuté par les Judaïsés. Il sera, par contre, élevé sur Ordre divin et par l’Archange Gabriel, dans le Paradis et évidemment ne viendra en aucune façon s’asseoir à la droite de Dieu. Le croire, c’est le faire menteur. 
[35] de la Prophétie.
[36] salutations abrahamiques, que l’on devra dire dans chacune de nos prières.
[37] Coran III 159.
[38] Coran XVI 125.
[39] Le peuple arabe, lequel était un peuple associateur. Quant aux gens de l’Evangile, ils sont, eux, par contre un peuple qui ont donnés à Dieu des Egaux. Exemples : Le fils de Marie et sa mère, etc.
[40] Avec les gens de la Bible, l’Unicité divine a durement été malmené. 

Paroles sublimes :
Selon un Ancien : " Quand descendit le verset :
« Celui que Dieu veut guider Il lui ouvre la poitrine à la Soumission » (Coran VI 125)
des gens demandèrent :
« Comment ouvre-t-Il la poitrine ? »
Il dit : « Lorsque la Lumière descend dans le cœur, la poitrine se dilate et se détend »
Ils dirent : « Y a-t-il à cela un signe par lequel cet état est reconnaissable ? »
Il dit : « Oui ! Le fait de se tourner vers le monde de l’immortalité,
de ne plus supporter le monde de l’illusion
et de se préparer à la mort avant que la mort ne survienne ». 

Pureté à Dieu !
La Soumission
"Lux Lucet in Tenebris"
"Une lumière qui brille dans les ténèbres"

Point de divinité, de dieu que Dieu !
« Vulnerant omnes, ultima necat. »
Nous ne le dirons jamais assez.
Explicit totus liber.

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