Croyances

L'ANTITHÉISME

Etudes et Recherches

   En terre d'Europe biblique, s'il existe un sujet rebattu, c'est sans doute celui de la Foi des Croyants soumis, de leur religion, de leur tradition et de leur Loi sacrée. Une question des plus débattues en terres d'Europe depuis ces dernières années a été, et est encore pour beaucoup de gens de la Bible (toranique + évangélique - croyants & incroyants), celle de savoir si ses origines sont bibliques ou autres. Si on peut ajouter, pour l'avenir, d'autres origines dont celle de gens venant et se réclamant de la Religion divine : la Soumission. Peut-elle entrer de plein pied dans le paysage européen ? Ou attendre qu'on la fasse entrer ? C'est le débat du siècle. Et ce siècle sera-t-il un siècle de la Foi, d'un retour à la Foi au Dieu unique ou une certaine continuité de l'Antithéisme ? Là est le débat ! 

L'Antithéisme face au Monothéisme.

Au nom de Dieu,
Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux !
 

   Point de divinité[1] excepté Allah[2] le Très Haut. Que les meilleures salutations[3] soient sur les Prophètes et Messagers divins dont le Sceau de la Prophétie[4].

   Le reproche du monde biblique. Comment il tourne en dérision les Croyants soumis. Imitation des ancêtres.

   Que vaut la foi d’un individu soumis de nos jours en terres bibliques ? Pas grand-chose, note l’observateur. Dans leur égarement les gens de la Bible (croyants & incroyants) ne sont-ils pas arrivés à considérer la foi des Croyants soumis comme un mal à extirper, une foutaise ? Un danger et une menace pour l’Europe biblique notamment ? Qu’on en juge :

   Le rabbin Yaacoob Madan a exprimé "la crainte grandissante des Israéliens[5] à l’égard de l’extension de l'Islam dans le monde et le désir grandissant de beaucoup de gens à embrasser cette religion", mettant en garde contre "l'influence accrue de l'Islam", ce qui pour lui constitue "une menace pour la culture occidentale" appelant à prévenir cette propagation. « Les gens sont facilement attirés par l’Islam à cause de sa richesse ».
   Le rabbin a insisté sur la nécessité pour la communauté toranique de Terre sainte d’accorder à ce sujet une grande importance.

   Nous dirons : "une menace pour la culture occidentale" Laquelle ? Et pour qui réellement ? Et que signifie-t-elle vraiment au temps où nous vivons ? Dans un monde aussi païen que celui de l’Europe du XXIème siècle de l’ère évangélique ? A quoi a été réduit la religion du Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) en terres d’Europe ? Après l’Emancipation[6], le Judaïsme n’a-t-il pas été une menace pour le Christianisme, la Chrétienté en terres d’Europe ? Qu’on relise l’Histoire[7] ! Qu’a fait Marx et ses affidés[8] de leur religion en terres d’Europe centrale et de l’Est ? A-t-on jugé ces gens pour ce qu’ils ont fait de mal, après la chute du mur de Berlin ? Quand un homme biblique d’Europe (toranique + évangélique) s’écarte de sa religion, quelle culture peut-il avoir et proposée à autrui ? N’est-ce pas celle de leurs lointains ancêtres : le Paganisme ? Ne le voyons-nous pas sous nos yeux en terres d’Europe ? Est-ce une culture saine, propre, irréprochable ? Est-ce bien de revenir sur ces pas ? Est-ce à dire qu’il nous faut rejoindre, sans plus tarder, la culture de la dépravation des mœurs, le ‘nu’, l’inculte, l’incivisme, etc., de la Grèce et de l’Italie antiques ? Leurs statues des dieux antiques ? Secundo : La menace que craint ce rabbin, n’est-ce pas en fait d’être mis, un jour, lui et sa religion au ban des accusés, à l’index ? L’avenir des Hébreux en terre sainte semble le préoccuper au plus au point, pourquoi ? A-t-il peur de l’isolement ? Lui homme se disant du peuple élu, et où place-t-il sa confiance ? Craint-il que l’appui des ges de l’Evangile ne soit pas permanent, durable, éternel jusqu’à la fin des temps ? A-t-il peur qu’un jour les gens de l’Evangile découvre leur supercherie ? Et pourquoi ne parle-t-il pas à ses frères de l’Evangile, de l’annonce faite dans les Ecritures et concernant la venue du prophète Ahmad (sur lui Prière et Paix !) (Coran LXI 6 ; VII 156-7) ? Prophète concernant en tout premier plan les Fils d’Israël et les Judaïsés ? Troisèmement : « Les gens sont facilement attirés par l’Islam à cause de sa richesse ». Bon nombre de gens de la Torah sont loin d’être pauvres, pourquoi les gens ne sont-ils pas, ne seraient-ils pas attirés alors de la même façon par le Judaïsme ? La foi est un don du Seigneur, et Il guide vers Lui, la délivre à qui Il veut d’entre Ses créatures ! Il fait ce qui Lui plaît ! Ses créatures seront toutes interrogées sur ce qu’elles auront faits sur terre. Tel ne sera pas le cas pour Lui ! N’en déplaise aux critiques, ergoteurs, opposants et adversaires de la Religion divine : la Soumission !

   Yusuf al-Hajj de déclarer dans son livre, Le temple de Salomon : « Le grand rabbin Emmanuel Rabinovitch a prononcé, devant le Conseil des grands rabbins tenu à Budapest le 12 janvier 1952, un discours où il disait : « Nous ne voulons voir d’autre religion que la nôtre survivre à la surface de la terre, car la présence de plusieurs religions serait un danger permanent pour notre souveraineté ...»

   « Dieu est absorbé dans le nationalisme d’Israël. Il devient l’éthique nationale… Il créé le monde dans la langue hébraïque. Il est le Dieu National » (rabbin Solomon Goldman).
   « Nous et Dieu avons grandi ensemble… Nous avons un Dieu national… Nous croyons que Dieu est un Juif, qu’il n’y a aucun Dieu anglais ou américain » (M. Maurice Samuel).
   "Ce n’était pas Dieu qui voulait ce peuple et ce qu’il signifiait. C’était ce peuple qui voulait ce Dieu et cette signification » (le Dr Kastein).

   Antropomophisme, Corporéité, Panthéisme et Nationalisme sont croyances courantes chez les gens de la Synagogue et de la Torah. Comprendra qui voudra ! En vérité combien le Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, est au-dessus de ce qu’ils décrivent et Lui associent !

   L’attitude des gens de la Torah vis-à-vis des Croyants soumis hautement blâmés.

   Nous savons tous que les gens de la Synogue et de la Torah n’aiment que peu la Soumission et ses fidèles : les Croyants soumis et pratiquants[9]. Qu’on en juge :


   Traduction :

   “Dis : « Gens du Livre ! Que nous reprochez- vous sinon de croire en    Dieu et en ce qu'on a fait descendre vers nous, et en ce qu'on a fait descendre auparavant, et que la plupart d'entre vous, vraiment, sont des prévaricateurs ! »
   Dis : « Puis-je vous informer de ce qu'il y a de pire, — en fait de paiement auprès de Dieu ? Celui que Dieu a maudit, et contre qui Il s'est mis en colère, et dont Il a fait des singes et des cochons,— de même, celui qui a adoré le Rebelle, — ceux-là ont la pire place et sont les plus égarés de la droiture du sentier. »” (Coran V 59-60).

   Décryptage.

   On a dit[10] : Par son commentaire, Tabari fait apparaître une continuité de ce verset avec les précédents (57 et 58) sous le rapport structurel : l’idée générale des versets précédents était que certains Gens du Livre tournaient en dérision la religion[11] des Croyants soumis[12], ce qui revenait à se moquer de l’essence même de la Religion divine, à savoir la pure soumission à Dieu, puisque le “mode d’obéissance” (dîn) proprement mohammadien s’identifie en réalité avec celle-ci[13].
   Dans ce verset-ci, Dieu leur demande en quelque sorte, dans un style d’éloquence marqué d’une sertaine ironie, des explications ou des "justifications" de leur attitude. La question posée est d’ailleurs moins destinée à amener une réponse de leur part qu’à les placer dans l’embarras en les mettant en contradiction avec eux-mêmes et en faisant apparaître à leurs propres yeux et aux yeux de tous ceux qui sont témoins de leur attitude, de même qu’aux yeux de tous ceux qui, à un moment ou à un autre, se trouvent témoins d’une attitude analogue, et que celle-ci comporte d’anormal à l’égard de la Dignité divine et de la dignité des êtres, des rites et de toutes les choses relevant du "domaine sacré" qui est par essence et par définition d’institution divine.
   Du point de vue circonstancié la révélation du verset précédent était en rapport avec l’attitude désobligeante d’un certain Nazarénien[14] de Médine envers le Prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !), alors que la révélation de ce verset-ci est en rapport avec l’attitude d’impiété des Juifs envers Jésus qu’ils manifestèrent devant le Prophète lorsque celui-ci leur affirma reconnaître Jésus comme prophète et envoyé de Dieu.

   « O Gens du Livre ! Que nous reprochez-vous… ? » : Dieu (exalté soit-Il !) ordonne ici à Son Prophète (sur lui Prière et Paix !) de dire en quelque sorte aux Gens de la Bible, Juifs et Nazaréniens (Chrétiens) : que désapprouvez-vous donc de notre part au point de vous moquer de notre religion en prenant notre appel à la prière comme objet de raillerie et de badinage « si ce n’est que nous croyons en Dieu » : que nous reconnaissons que Dieu est Vrai et Véridique et que nous affirmons Son Unicité ; que nous croyons aussi « à ce qui a été descendu vers nous » comme Livre[15] (kitâb) venant d’auprès de Dieu ainsi qu’ « à ce qui a été descendu » comme Livres révélés aux Prophètes de Dieu « auparavant » c’est-à-dire avant que ne soit révélé notre Livre ; enfin, que nous reprochez-vous si ce n’est aussi « que la plupart d’entre vous sont prévaricateurs (fâsiqoûn[16]) » : qu’ils contreviennent à l’Ordre de Dieu et “sortent” de ce fait de l’obéissance qu’ils Lui doivent ?

   Nous dirons : N’est-ce pas le sujet[17] du moment en terres d’Europe notamment en l’Hexagone ? Que reprochent les opposants et adversaires de tout bord aux Croyants soumis en terres d’Europe ? N’est-ce la même chose qu’au temps du Messager de Dieu ? L’Europe biblique a perdu son âme, le jour où elle a mis sa religion au placard et prôné l'Antithéisme[18]. Et a pris comme religion nouvelle, comme doctrine nouvelle, ces idéologies matérialistes[19], athées et autres qui ont fait couler le sang d’innocents de l’Atlantique à l’Oural. 

   La non reconnaissance du Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) comme prophète et Messager de son Seigneur auprès de son peuple.

    On rapporte que ce verset fut révélé en rapport à certains Juifs :

   Le fils d’Abbas a dit à ce propos : « Un groupe[20] de Juifs parmi lesquels se trouvaient Aboû Yâsir fils d’Akhtab, Rafî’ fils d’Abî Rafî’, Azâr, Khalid[21], Azâr fils d’Abi Azâr et Ouchya’[22] vinrent trouver l’Envoyé de Dieu (sur lui Prière et Paix !) et l’interrogèrent au sujet des Envoyés auxquels il croyait. Le Prophète leur répondit [par ce verset] :

      Je crois “à Dieu, à ce qui a été descendu vers vous, à ce qui a été descendu vers Abraham, Ismaël, Isaac, Jacob et les [Patriarches des ] tribus, à ce qui a été descendu à Moïse, à Ichoua (Jésus) ainsi qu’à ce qui a été donné aux prophètes de la part de leur Seigneur ; nous n’établissons de différence entre aucun d’eux et nous Lui sommes soumis” (Coran III 64).

   Dès que le Prophète eut mentionné Ichoua (Jésus), ils rejettèrent sa fonction prophétique[23] en disant :

      Nous ne croirons pas à quelqu’un qui croit à Ichoua (Jésus) ! C’est alors que Dieu révéla à leur sujet : “ Dis : O Gens du Livre ! Que nous reprochez-vous si ce n’est que nous croyons à Dieu, à ce qui a été descendu vers nous et à ce qui a été descendu auparavant, et que la plupart d’entre vous sont des prévaricateurs ?”.

   Nous dirons : « ils rejettèrent sa fonction prophétique ». A notre époque, les gens de la Synagogue et de la Torah ne rajoutent-ils pas que le Messie a ‘abusé’, ‘séduit’ le peuple d’Israël à son époque ? Qu’ils s’excusent de ne pas croire au Messie à cause de sa déité défendue par les gens de l’Evangile, et bien d’autres choses encore[24]?  
   Quant aux gens de l’Evangile, ils ne parlent pas de la ‘mission prophétique’ du Messie, mais plutôt d’un dieu fait homme ou d’un Homme-dieu venu sur terre pour se « sacrifier » ! Tout un symbole pour un monde comme celui de la Distinction[25], du Trithéisme.
   De nos jours, les gens de l’Evangile étant à l’ouest, les gens de la Synagogue et de la Torah en profitent donc, notent les Savants, pour les exploiter au maximum, pour leur faire oublier partie de leur histoire sainte, évangélique, et faire qu’ils soient leurs suppôts, leurs affidés, leur bouc émissaire. Ceux qui partagent leurs idées et défendent leurs idéaux. « Jésus » ne devenant qu’un individu qu’on oublie, volontairement ou involontairement, dans un monde convertit au Paganisme comme en terres d’Europe.
   Enfin, le monde de l’Islam traditionnel est le seul monde qui reconnaît la mission prophétique du Messie (sur lui la Paix !), de même l’Evangile. Mais dans le sens contraire, ni le monde de la Torah, ni celui de l’Evangile, ne reconnaissent officiellement le monde de l’Islam traditionnel, pourquoi ?. Tout au plus on reconnaît volontiers qu’il est un monde qui croît au Dieu de l’Univers et s’emploie à faire des bonnes actions... ! Sans plus… ! La mission prophétique du Prophète Ahmad n’est pas reconnue[26].    

    Dieu dit ensuite à Son Prophète (sur lui Prière et Paix !) : ô Mohammad ! A ceux qui prennent votre religion en dérision et s’en jouent, qu’ils fassent partie de ceux qui reçurent l’Ecriture avant vous ou qu’ils soient impies, dis : « Vous informerai-je au sujet de quelque chose qui est bien plus mauvais sous le rapport de la rétribution auprès de Dieu ? » c’est-à-dire : quelque chose qui est plus “mauvais”, sous le rapport de la rétribution (thawâb) auprès de Dieu que ne l’est notre foi en Lui, à ce qui a été descendu vers nous et à ce qui a été descendu auparavant.

   Aux Juifs dont Il a décrit l’attitude dans les versets précédents, Dieu adresse à présent un blâme, en employant “l’insinuation ironique” (ta’rîd) en leur disant, par une forme de discours originale des plus belles (ahsanoullahan) et d’une manière apparemment impropre, des choses dont ils connaissaient la signification véritable.

   Dieu leur dit en quelque sorte ceci : puisque vous en arrivez à considérer cette foi des Croyants comme un mal, puisque, d’une certaine façon, vous la leur reprochez[27], souvenez-vous de quelque chose qui est “bien plus mauvais” : ce sont toutes les désobéissances commises par ceux de votre Communauté qui vous précédèrent, que Dieu a exécrés[28] (la’na) et contre lesquels, Il s’est irrité, notamment ce sont toutes les désobéissances commises par « ceux d’entre eux dont Il fit des singes et des porcs » : et enfin c’est aussi la désobéissance commise par celui qui adora le “tâghoût”. Auprès de Dieu tous ceux-là auront une rétribution bien “plus mauvaise” [si l’on peut dire] que celle qu’auront les Croyants, et cela en dépit du fait qu’ils ont déjà subi dans ce monde cet opprobre d’avoir été exécrés par Dieu, c’est-à-dire éloignés de Sa Miséricorde, d’avoir encouru Sa Colère, d’avoir été métamorphosés comme ce fut le cas de ceux d’entre eux qui transgressèrent le Sabbat (Samedi) et furent changés en singes (qirada) ou comme ce fut le cas de ceux d’entre eux, dont il est question dans le propos suivant, qui furent changés en porcs (khanâzir).

   Dépravation d’un peuple. Connivences. Châtiments. 

   Un exemple de ce qui se passa naguère au sein des Fils d’Israël et des Judaïsés. Pourquoi avoir été métamorphosé en pouceaux ? Qu’on en juge :

وأما سبب مسخ الله من مُسِخ منهم خنازير، فإنه كان فـيـما:

 حدثنا ابن حميد، قال: ثنا سلـمة بن الفضل، عن ابن إسحاق، عن عمرو بن كثـير بن أفلـح مولـى أبـي أيوب الأنصاري، قال: حدثت أن الـمسخ فـي بنـي إسرائيـل من الـخنازير كان أن امرأة من بنـي إسرائيـل كانت فـي قرية من قرى بنـي إسرائيـل، وكان فـيها ملك بنـي إسرائيـل، وكانوا قد استـجمعوا علـى الهلكة، إلاَّ أن تلك الـمرأة كانت علـى بقـية من الإسلام متـمسكة به، فجعلت تدعو إلـى الله حتـى إذا اجتـمع إلـيها ناس فتابعوها علـى أمرها، قالت لهم: إنه لا بدّ لكم من أن تـجاهدوا عن دين الله وأن تنادوا قومكم بذلك، فـاخرجوا فإنـي خارجة فخرجت وخرج إلـيها ذلك الـملك فـي الناس، فقتل أصحابها جميعاً، وانفلتت من بـينهم.
قال: ودعت إلـى الله حتـى تـجمَّع الناس إلـيها، حتـى إذا رضيت منهم أمرتهم بـالـخروج، فخرجوا وخرجت معهم، وأصيبوا جميعاً وانفلتت من بـينهم. ثم دعت إلـى الله، حتـى إذا اجتـمع إلـيها رجال استـجابوا لها، أمرتهم بـالـخروح، فخرجوا وخرجت، فأصيبوا جميعاً، وانفلتت من بـينهم. فرجعت وقد أيست، وهي تقول: سبحان الله لو كان لهذا الدين ولـيّ وناصر لقد أظهره بعد قال: فبـاتت مـحزونة، وأصبح أهل القرية يسعون فـي نواحيها خنازير قد مسخهم الله فـي لـيـلتهم تلك، فقالت حين أصبحت ورأت ما رأت: الـيوم أعلـم أن الله قد أعزّ دينه وأمر دينه قال: فما كان مسخ الـخنازير فـي بنـي إسرائيـل إلاَّ علـى يدي تلك الـمرأة.

 حدثنـي مـحمد بن عمرو، قال: ثنا أبو عاصم، قال: ثنا عيسى، عن ابن أبـي نـجيح، عن مـجاهد فـي قوله: { وَجَعَلَ مِنْهُمُ القِرَدَةَ وَالـخَنازِيرَ } قال: مسخت من يهود.
حدثنـي الـمثنى، قال: ثنا أبو حذيفة، قال: ثنا شبل، عن ابن أبـي نـجيح، عن مـجاهد، مثله.
وللـمسخ سبب فـيـما ذكر غير الذي ذكرناه سنذكره فـي موضعه إن شاء الله.
تفسير جامع البيان في تفسير القرآن/ الطبري

   Amroû fils de Kathîr, Maoula de Abou Ayyoub Ançarî rapporte le cas de certains Fils d’Israël[29], qui, « dans une de leurs villes, s’étaient regroupés autour de leur roi en s’entendant avec lui pour vivre dans la dépravation la plus complète. Parmi eux, une sainte femme qui restait “fermement attachée à ce qui subsistait de la Soumission[30]” (islâm) tenta, à plusieurs reprises, de rallier autour d’elle tous ceux qui refusaient de se perdre dans l’égarement où les autres s’étaient engagés à la suite de leur roi. Chaque fois ses partisans furent exterminés et finalement elle resta seule pour défendre l’"obéissance" (dîn) à Dieu. Après qu’elle eut implorée le secours de Dieu toute une nuit, en étant affligée de voir ainsi traitée l’"obéissance" due à Dieu, elle retrouva au matin tous les gens de la ville transformés en porcs[31] ».

   Nous dirons : Ce genre de révélation ne plaît guère aux gens de la Synagogue et de la Torah, en général. Aussi à eux de parler de versets coraniques anti-sémites ?! Le NOM (Hachem) serait-Il anti-sémitite ? Au jour des Comptes pourront-ils comptés sur Sam (Sem) fils de Noé pour les défendre ? Ce jour-là chaque fils d’Adam pourra connaître véritablement qui sont ses aïeux véritables[32]. En attendant Hébreux descendants de Sem, Arabes, Fils d’Esaü[33], Fils d’Ismaël, sont tous Fils de Sem, sémites, et fils d’Adam. Mais est-ce bien le cas de chaque personne qui professe le Judaïsme comme religion à notre époque ? N’en déplaise aux critiques, aux ergoteurs, opposants et adversaires de la Religion divine : la Soumission ! Secundo : Pour avoir transgressé le Sabbat (le samedi), aux Fils d’Israël et aux Judaïsés d’avoir été durement châtiés en ce bas-monde. Et qu’en sera-t-il dans l’Au-delà. Troisièmement : N’était la révélation du Coran, personne n’aurait connu comment les gens du Sabbat et de la Mense[34] furent châtiés. Car ce secret était bien caché, gardé chez les gens de la Synagogue et de la Torah. Quatrièmement : Si les Fils d’Israël et les Judaïsés ont connu de bons rois, ils en ont connus aussi de bien mauvais. Et entre le roi et le peuple[35] existait, comme ici, une certaine connivence. D’où… transgression, perversité, etc. Cinquièmement : Les Fils d’Israël et les Judaïsés sont connus, dans leur Histoire sainte[36], comme gens n’aimant pas le bien, répandant le sang injustement des Prophètes, mécréants aux signes divins, infidèles aux Alliances, Pactes qu’ils ont toujours trahis, etc. La Bible et le Coran mentionnent d’ailleurs ce qu’ils firent avec leurs Prophètes et ceux qui les suivirent. Le sort qu’ils leurs réservèrent[37].

   « et qui adora le "tâghoût" » Ce passage est à comprendre dans le sens de “wa man ‘abada-t-tâghoût” qui signifie : celui qui adore le "tâghoût" est au cas direct du fait qu’il est sous le régime de ce verbe. C’est cette lecture que nous considérons plus exacte et nous pouvons l’expliquer ainsi : et qu’y a-t-il encore "de plus mauvais" sous le rapport de la rétribution auprès de Dieu que les désobéissances commises par ceux qui adorèrent le "tâghoût[38]". 

   « Ceux-là ont une position bien pire ». En employant le même style d’“insinuation ironique”, Dieu dit en quelque sorte à ces Juifs de Médine : ces gens dont Je viens de vous rappeler les actions infâmes et combien terrible fut l’oppobre que Je leur infligeai dans ce bas-monde, eurent une position bien "plus mauvaise" dans la vie immédiate, que ne l’est la nôtre que vous prétendez blâmer, et ils ont, dans l’Autre monde, auprès de Dieu, une position "bien pire" que la position de ces gens auxquels vous nous reprochez finalement rien d’autre que de croire  à Dieu, à ce qui a été descendu vers eux et à ce qui a été descendu auparavant et ils « furent bien plus égarés » qu’eux, car ils s’écartèrent de la voie droite, voie de rectitude convenablement orientée vers le But. Pour conclure, on peut dire que Dieu leur dit en quelque sorte : sont-ce donc les croyants les plus mauvais ou bien ceux que Dieu a exécrés ?

   Conclusion.

   Les gens de la Synagogue et de la Torah ont la critique facile. Sont rebelles à la vérité. Voient toujours la paille dans l’œil de leur adversaire, et prétendre ne pas voir la poutre dans le leur[39]. Aussi comprendra-t-on, note l’observateur, que les gens croyants soumis et pratiquants de tout temps, ne sont pas les biens venus chez eux : puisqu’ils en arrivent à considérer cette foi des Croyants soumis comme un mal malin. Pourtant quoi qu’ils disent et quoi qu’ils fassent, au Saint et Seigneur d’Israël et des mondes, Allaha, de leur rappeler toujours et encore : sont-ce donc les croyants les plus mauvais ou bien ceux que Dieu a exécrés d’entre vous ? Parole à méditer !

   Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !
 

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement.
[2] En langue arabe, Allah. En hébreu, ïl. Nom divin, il est employé couramment pour les gens de l’Évangile de langue arabe. En français, le terme Dieu est compris généralement, non comme un Nom divin, mais plutôt comme signifiant l’Etre-Suprême, le Créateur et Maître de l’Univers.
[3] Formules d’eulogies comme : que Dieu prie sur lui, l’agrée, lui fasse miséricorde, etc., formules propres à  l’Islam traditionnel. Les exégètes interprètent la « prière » divine comme étant un octroi de Sa miséricorde et la « prière » angélique comme une demande de pardon pour les créatures. 
[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins.
[5] Le plus sage : des Hébreux de Terres sainte. Qui est d’ailleurs logique et en accord avec la parole de Mochè (Moïse) (sur lui la Paix !) aux Fils d’Israël et aux Judaïsés : Coran V 21. Elle ne fut jamais appelée autrement. Autre nom : Canaan. Ancienne terre des Amalécites. Dans le judaïsme, les Amalécites représentent l'ennemi archétypal des Juifs. Toutefois, il faut se garder, au passage, de la définition que font les gens de la Bible des Amalécites. Définition sans fondement et sources fiables.
[6] Le XVIIIème siècle en Europe (appelé vulgairement, par les rationalistes et philosophes, siècle des lumières !) a été une ère sombre de l’Histoire biblique d’Europe. Il a engendré des heures d’obscurantisme, d'égarement non de ‘lumières’, des idéologies athées, matérialistes sont apparues... Le régime de la Terreur s’est abattu sur l’Europe. Et en mettant les royautés et les Dignitaires religieux bibliques au cachot, l’Europe va connaître une époque où les caïnites seront rois. Le sang sera versé, et le mal, la turpitude et le blâmable se répandront. L’Europe va connaître une succession de guerres sans égal : 1800 à 1940
   On a dit : “Mais depuis l’émancipation, nous ne pouvons plus séparer aussi radicalement la raison et l’histoire. Peut-être parce que depuis le XVIIIe siècle, la raison a pénétré l’histoire.
   …L’émancipation a été pour le judaïsme lui-même une ouverture — non pas sur l’humanité dont il se sentait toujours responsable — mais sur les formes politiques de cette humanité, la prise au sérieux de son histoire.” (Difficile liberté. E. Lévinas. Edit. Albin Michel).
   La raison a donc fait place à la Révélation. Et le désir d’avoir une place au sein de la société est devenu un engouement.
   On a dit : L’homme public américain qui perçut le plus nettement la forme globale que prendrait l’avenir fut le confident de Washington, Alexander Hamilton. Il laissa parmi ses papiers un mémoire non daté (probablement de 1797-1800) qui disait :
« … l’ère actuelle est parmi les plus extraordinaires qui se soient produites dans l’histoire des affaires humaines. Certaines opinions, depuis longtemps maintenant, gagnent peu à peu du terrain ; ce sont celles qui menacent les bases de la religion, de la moralité et de la société. Une attaque a d’abord été lancée contre la révélation chrétienne, pour laquelle la religion naturelle fut proposée comme remplacement… L’existence même d’une Déité a été mise en doute et niée parfois. Le devoir de piété a été ridiculisé, la nature périssable de l’homme affirmée et ses espoirs limités à la courte durée de son état terrestre. La Mort a été proclamée comme un sommeil éternel, le dogme de l’immortalité de l’âme comme une duperie inventée pour tourmenter les vivants pour le bien des morts… Une connivence a été cimentée à tous les niveaux entre les apôtres et disciples de l’irréligion, et l’anarchie. La religion et le gouvernement ont tous deux été “stigmatisés” comme des abus…
   On a dit encore : « Nous n’accepterons aucune sorte d’émancipation qui nous serait accordée par d’autres ; nous nous émanciperons et donnerons à “l’émancipation” notre propre interprétation. » Il dit : « Il y a un conflit inexorable et inéluctable entre les humains connus en tant que juifs et les autres humains » et il décrivit la méthode maîtresse à utiliser pour provoquer cette « autoémancipation » et « rétablir la nation juive » : la lutte pour réaliser « ces but, dit-il, doit être prise en main dans un esprit adapté pour manifester une pression irrésistible sur la politique internationale du moment. » (Auto-émancipation. Léon Pinsker, héraut du sionisme,).
[7] Quand le coeur du monde de la Synagogue et de la Torah bat et balance, non pour la voie Prophétique, mais pour le Pharaonisme et le Nemrodisme. Qu'on en juge :
   "Certains rêvent de faire de Jérusalem d’une capitale comme Paris ou Rome, pour enfin devenir comme « tout le monde » et pourtant le prophète nous met en garde : « Ce qui vous monte à l’esprit ne se réalisera pas, lorsque vous dîtes devenons comme les nations, comme les familles des autres pays pour adorer le bois et la pierre . . . » YEKHEZKEL
Pour l’instant Israel oscille entre deux avodot zarot : Le Socialisme et le Nationalisme. Il en restera ce qui est resté du Communisme. Israel refuse encore de passer du HARD au SOFT. Le HARD c’est la construction de l’infrastructure matérielle du pays qui est réalisée, le SOFT c’est la THORA c’est à dire le seul projet compatible pour la suite. A l’heure de la mondialisation, le seul moyen de protection c’est la THORA ; ou sinon on assistera au mélange de populations : le BOUND en a déjà fait l’expérience.
Les coquilles sont les les lanières de flagellations qui entourent Israel. Israel est comparé à un fruit. Si Israel accomplit sa mission, c’est à dire s’il absorbe l’eau (l’eau est comparé à la THORA) ; alors le fruit « ISRAEL » se développe bien et fait craquer « L’ECORCE » ; mais si le fruit n’absorbe pas l’eau alors il se dessèche et les écorces tiennent alors le fruit à leur merci. Ce n’est pas un programme de droite, ce n’est pas le nationalisme, ce n’est pas un programme de gauche avec une paix illusoire ; il faudra hélas traverser toutes ces illusions pour comprendre le vrai « programme » qui convient à ISRAEL." (harissa.com)
   En terres d’Europe, les gens de la Synagogue et de la Torah semblent militer pour le Socialisme depuis plus de 200 ans, c’est-à-dire l’Antithéisme notamment pour que les nations d’Europe suivent cette doctrine athée et matérialiste au profit de leur propre religion. Ils semblent oublier les paroles de leur prophète, le Messie fils de Marie (sur lui la Paix !) :
     "O Fils d'Israël, j'ai renversé le monde pour vous, face contre terre ; et je vous ai fait asseoir  dessus. N'y entrez  pas en compétition avec les rois et les femmes, à propos de ce monde ; pour les rois, laissez-les y jouir de leur règne ! Quant aux femmes, vous devez chercher refuge contre elles par le Jeûne la Prière !"
   En Terre sainte pour les deux : Socialisme et Nationalisme. Mais il n’y a aucune différence entre ces deux doctrines. Elles sont toutes deux étrangères à leur propre religion. Et toutes deux ne sauraient plaire au NOM. En Europe pareilles doctrines décimeront les nations européennes de l’Atlantique à l’Oural, note l’observateur. Les doctrines des non-croyants meilleures que la Religion, la Foi ? Jusqu’à preuve du contraire non jamais. Elles ne sauraient plaire au NOM ! A eux de répandre le sang, le mal, la turpitude et le blâmable, la division entre les gens, la corruption, l’exploitation de l’homme par l’homme, la haine et l’inimitié... De suivre les pas de leur maître bien aimé : Lucifer (que Dieu le maudisse !).
[8] On a dit à ce sujet : « La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans coeur, comme elle est l’esprit des conditions sociales d’où l’esprit est exclu. Elle est l’opium du peuple. »
La thèse selon laquelle on peut et doit avant toute chose se débarasser des religions, c’est celle de l’anarchisme (Bakounine, Kropotkine), qui eux portent véritablement l’athéisme, c’est pas tout à fait la même chose.
   c’est une logique différente, la logique anarchiste, celle de Bakounine (si Dieu existait il faudrait s’en débarasser), qui de ce point de vue n’est pas la même que celle du marxisme.
« En général, le reflet religieux du monde réel ne pourra disparaître que lorsque les conditions du travail et de la vie pratique présenteront à l’homme des rapports transparents et rationnels avec ses semblables et avec la nature. » - Karl Marx, « Le Capital »
« Au contraire, M. Dühring ne peut pas attendre que la religion meure de cette mort naturelle qui lui est promise. Il procède de façon plus radicale. Il est plus bismarckien que Bismarck ; il décrète des lois de mai aggravées, non seulement contre le catholicisme, mais contre toute religion en général ; il lance ses gendarmes de l’avenir à la poursuite de la religion et ainsi il l’aide à accéder au martyre et prolonge sa vie. Où que nous regardions, c’est du socialisme spécifiquement prussien !… »
   « Anti-Dürhing », Friedrich ENGELS
   Autre : "Le schéma classique d’un Dieu tout-puissant aidant ou écrasant les hommes confiants ou apeurés, n’exprime pas l’essentiel du phénomène du judaïsme. Pour mesurer l’élévation qui tombe sous le vocable commun de religion, écoutez les athéismes : « Le vide du ciel » ou « la vaine attente de Godot », ou « le Dieu est mort ». De quels enfantillages ces puérilités prennent-elles le contrepied ? Le monde n’est plus régi par la sorcellerie. La belle philosophie ! Depuis longtemps le juif qui a conservé ou repris contact avec le judaïsme n’ose plus répondre qu’il est croyant quand les amis compatissants le scrutent. Il sent qu’on veut le faire passer un peu pour magicien." (E. Lévinas. Difficile liberté.)
   Triste sort !

[9] Et pratiquants. Il est important de le rajouter à notre époque. En effet, bon nombre des gens soumis qui sont venus en terres d’Europe (dont leurs descendances), ont adopté le langage du monde biblique. Aussi s’entend-on dire : Je suis croyant(e) mais non pratiquant(e) ! Qui est un non sens. N’est-ce pas de l’hypocrisie pure, jouer avec les mots, se moquer du monde, chercher à tromper ? Imiter les hypocrites ? 
[10] Voir P. Godet, traducteur et commentateur du Commentaire de Tabarî.
[11] A l’instar de ce qui se passe à notre époque en terres bibliques. Croyants et laïcs faisant un front commun, tous partis confondus. Et à cela, il faut ajouter les mécontents de l’Islam comme religion. Ceux qui ont apostasiés, ceux qui ont pris leur religion en aversion, ceux qui ont cracher dans leur chorba (soupe populaire en Afrique du Nord). A eux de leur prêter main forte et de s’allier avec eux : Pour le meilleur et pour le pire, clame Lucifer en transes !
[12] A l’instar de ce qui se passe actuellement en terres d’Europe bibliques. Ce sont les ‘Croyants soumis, pratiquants’ qui sont pris à partie, menacés dans leurs âmes ; et non l’ensemble des gens se réclamant pourtant de l’Islam. Les désobéissants, les pervers, les prévaricateurs, ceux qui ont renié leur religion, ceux qui défendent leur arabité ou leur berbérité, etc., ne sont pas comptés. Pour eux, ils se sentent européens plus que les européens bibliques ?
[13] Voir sur ce point coms. vs. 2.124 à 141 et 3.18-20.
[14] Ou Chrétien.
[15] La Bible (originelle). La Bible actuelle aux mains du monde biblique (toranique & évangélique) n’étant qu’un exemplaire modifié, tronqué, remanié, censuré. L’original ayant disparu.
[16] "fasaqa" : fondamentalement : "sortir".
[17] Gens de la Torah de Médine. Leurs responsables notamment religieux ou représentants civils de leur communauté.
   « Les paroles des sages sont plus importantes que les paroles des Prophètes » (le Talmud, Traité de Berachot, i.4.).
   Par ‘sages’, il faut entendre les gens de la Synagogue : rabbanim, rav, etc.
[18] Antithéisme. Ce mot, nous dit-on, inventé par le socialiste Pierre Joseph Proudhon (1809-1865), et qui signifie : Attitude qui consiste à combattre Dieu considéré comme un mal pour l’homme.
   Ce mot sera repris, de nos jours, par les gens de la Bible, les adversaires et opposants à la Religion divine : la Soumission. Il sera un mot phare pour tout ce monde et leurs médias, le monde politik, les politiks... Selon eux : La Religion que prêche le monde de l'Islam traditionnel est donc une religion à combattre ! Elle et leur Dieu... ! Ainsi l'Arabophobie, l'Islamophobie, l'Antithéisme sont devenus le plat du monde biblique (toranique & évangélique - croyants & incroyants) de l'Hexagone. A cela, il faut ajouter les mécontents de l'Islam des terres colonisées d'Afrique et d'ailleurs.

 
 Autres sens : Lire... Lire... Lire...
   Là où il est maintenant, il a tout loisir d’y réfléchir. Et que deviendra-t-il au jour des Compes ? sinon de rejoindre Lucifer, Nemrod, Marx et tant d’autres… comme lui.
[19] A l’instar du social-communisme, idéologie d’obédiance de monde de la Torah.
[20] En Allemagne, le vocable « mosquée » ne passe pas. On préfère parler plutôt de ‘centre culturel’, et dans pareil centre peut se trouver éventuellement une salle de Prière. En Suisse, ce sont les « minarets » qui posent problèmes. En terre des Gaules, la prière dans la rue notamment les vendredis, la tenue vestimentaire féminine. En Hollande, le Livre de Dieu. Au Danemark, les caricatures...
   A chaque pays européen de se plaindre de cette montée en flèche de la croyance en la Soumission, et surtout de la pratique de la religion islamique au quotidien. L’Islam étant un tout et ne se limitant pas à la foi et à la Mosquée. Aussi pratique-t-on, et aux opposants et adversaires de la Religion divine de taxer alors les ‘Croyants soumis pratiquants’ de danger public numéro 1, d’extrêmistes, de poseurs de bombes, de fléaux, de fanatiques de Dieu, de gens affiliés à l’extrémisne religieux comme le Salafisme, etc. Rien ne manque ! Et à Lucifer d’être en transes ! 
   Sondage : Moins de 50% des français musulmans sont pratiquants (sondage)
Selon un sondage de l’Ifop, publié par Marianne, et portant sur un panel de 547 personnes d’origine musulmane d’au moins 18 ans, moins de 50% des musulmans de France sont pratiquants. Interrogés sur la laïcité, les sondés estiment à 41% que "la pratique de l’islam doit être adaptée et aménagée sur certains points pour être conforme à la laïcité française". En revanche, 29% considèrent qu’il faut rendre la laïcité compatible avec la pratique de l’islam. En grande majorité (60%) ils considèrent comme une "bonne chose" la loi interdisant le port du voile intégral mise en oeuvre le 11 avril. (
guysen.com - Dimanche 15 mai 2011 à 11:24).
   Nous sommes ni rabbanim ni pauliens. C'est aux gens à s'adapter à la Religion divine : la Soumission, et non le contraire. Preuve que ceux et celles qui sont venus d'autres continents sont imbus de la religion des gens de la Bible, de leur sécularisation...
   En vérité, combien le Seigneur des mondes est au-dessus de ce qu'ils décrivent et Lui associent !
[21] On note que certains des noms arabes et hébreux sont proches. Azâr est aussi le nom du père d’Avraham.
[22] Ou Achiya’.
[23] Jésus, envoyé de Dieu ; passages évangéliques sur ce point : voir la Bible. Bien que ce vocable existe, les gens de l'Evangile n'y prêtent pas attention. Leurs yeux sont ailleurs !
[24] On a dit : L’Encyclopaedia Juive dit : « C’est dans la tendance des légendes juives du Talmud, des Midrash » (les sermons à la synagogue), « et de la Vie de Jésus Christ (Toledoth Jeshua) qui émergèrent au Moyen Âge, de rabaisser la personne de Jésus en lui attribuant une naissance illégitime, de la magie et une mort honteuse ». On fait généralement allusion à lui comme « cet anonyme », « menteur », « imposteur » ou « bâtard » (l’attribution de la bâtardise est destinée à le faire tomber sous le coup de la Loi telle que stipulée dans le Deutéronome 23.2 : « Un bâtard n’entrera point dans l’assemblée du Seigneur »).
   …Le Talmud se réfère aussi à Jésus comme « Bouffon », « sorcier », « impie », « idolâtre », « chien », « enfant de la luxure », et ainsi de suite ; les effets de cet enseignement, sur une période de plusieurs siècles, sont montrés dans le livre du juif espagnol Moïse de Léon, réimprimé en 1880, qui parle de Jésus comme d’un « chien mort » qui gît « enterré sous un tas de fumier ». Les textes hébreux originaux de ces allusions talmudiques apparaissent dans le Jesus Christus im Talmud de Laible.
Cet érudit raconte que durant la période des talmudistes, la haine de Jésus devint « le trait le plus national du judaïsme », qu’ « à l’approche du christianisme, les juifs furent de temps à autre saisis d’une fureur et d’une haine qui relevaient de la folie », que « la haine et le mépris des juifs furent toujours dirigés en premier contre la personne de Jésus », et que « la haine des juifs envers Jésus est un fait fermement établi, mais ils veulent le montrer aussi peu que possible ».
Mentionner le nom de Jésus est défendu dans les maisonnées juives.
[25] Soit trois dieux en Un : père, fils, saint-esprit. La trinité ou le trithéisme évangélique.
[26] Et pour ajouter du piquant à leur sauce, à eux de parler de ‘Mahomet, non jamais de Mohammad ?! Ecorcher son nom les rend joyeux, les rend euphorique… Tous partis confondus, leurs médias, leur presse, académies… Leurs islamologues, philosophes, scientifiques, historiens, etc.
[27] A l’instar de ce qui se passe à notre époque. L’Islam n’était-elle pas comme religion en ligne de mire ? A entendre et à en lire : tous les maux du monde et de la société auraient pour cause première la Religion divine, ses croyances, Sa loi et ses fidèles !? Mais comme tel n’est pas le cas, au Seigneur de répondre à ces détracteurs, ces menteurs invétérés… Et surtout de dévoiler une partie de l’Histoire sainte du monde de la Torah. Histoire peu brillante, note l’observateur. Qui remet en question bien des points : peuple élu, communauté sainte, prérogatives divines, alliances… La liste risque d’être longue.
[28] "la’ana" : rejeter hors du sacré, exécrer, maudire. Voir com. (2.88) et sa n. 1. 2. En terme biblique : on parlera plutôt d’excommunication. A ce sujet, les gens de la Synagogue et de la Torah refusent de reconnaître qu’ils ne sont plus le ‘peuple élu’ du NOM (Hachem). Un peuple infidèle aux alliances, maudit, peuple dont les ancêtres ont désobéi au Nom, et en cette raison ont été métamorphosés en animaux comme le porc et le singe. Pour eux, parler ainsi n’est-ce pas de l’anti-sémitisme pur ! Alors que parler ainsi n’est-ce pas, notent les Savants, accuser de menteur le Nom, mécroire en Ses signes et déclarer véridique Sa créature !? A ce sujet on a dit :
   C’est au cours du XXe siècle (comme le rapporte à nouveau le Dr Kastein), que le terme « antisémitisme » est né. Puisqu'il ne fallait plus dire que la « persécution » existait, il fallait trouver un nouveau mot, capable d'intimider les gentils et de terrifier les juifs, le deuxième but étant plus important que le premier, et « antisémitisme » fut inventé. « Abracadabra » aurait pu aussi bien faire l'affaire, car le terme « antisémitisme » est particulièrement absurde par rapport aux gens qui ne sont manifestement pas des Sémites et dont la Loi ordonne l'éradication des Sémites (les peuples arabes de Palestine ; toute manifestation de sympathie envers les Arabes sémitiques, expulsés de leur pays natal par les intrus sionistes en 1948, fut à la longue qualifiée d'« antisémitisme »).
[29] La traduction du propos qui suit est largement adaptée et simplifiée, note P. Godet, le traducteur. Voir le texte arabe joint pour plus de détails.
[30] A cette époque la religion des Fils d’Israël n’était pas le Judaïsme, mais la Soumission (l’Islam). Le Judaïsme prendra son envolé après la destruction du second Temple. Et après le refus de reconnaître l’Evangile puis le Coran, il deviendra alors religion officielle des Judaïsés, gens de la Torah et de leurs sectes. 
[31] Le fils de Kathir rapporte à ce propos de ce verset des données traditionnelles répondant à quelques questions que l’on pourrait se poser en lisant ce passage coranique : d’après le fils de Mas’oud quelqu’un demanda à l’Envoyé de Dieu (sur lui Prière et Paix !) si les singes et les porcs sont issus des êtres que Dieu a métamorphosés ; l’Envoyé répondit : « Non ! Dieu n’a jamais maudit puis métamorphosé un peuple en lui laissant une descendance (nasl). Ce sont des créatures qui existaient déjà ; lorsque Dieu entra en colère contre les Juifs et qu’Il les métamorphosa, Il les rendit semblables à eux ». — Pour ce qui est de la métamorphose envisagée comme transformation de l’état intérieur de l’être, voir com. (6.63-7)2.3.3. et sa n. 12).
   Rappelons que la théorie de Darwin ne saurait être celle de l’Islam traditionnel. On notera au passage que le monde biblique anglophone a un engouement tout particulier pour les singes, leur étude, leur vie ! De même, les Hindous, lesquels sont adorateurs d’une certaine espèce de singes plus ou moins blancs de poils. Le singe et le porc sont considérés, par le texte coranique comme animaux abjectes. L’un parce qu’il ressemble à l’humain mais ne peut parler, n’a pas d’intellect... L’autre par sa malpopreté dans son essence même. Leurs nourritures sont interdites à la consommation.
[32] A entendre les gens de la Synagogue et de la Torah, grâce au Messie attendu, chaque personne de confession juive pourra savoir enfin de quelle tribu d’Israël il est, et était, pour hériter ainsi de la terre de ses ancêtres à Canaan ! Paroles en l’air, ce jour-là ce personnage tant attendu ne sera pas là pour les guider et leur apprendre leur généalogie ; mais uniquement, rappellent les Savants, pour les amener tous à leur propre destruction, au Feu infernal. Ne pas confondre !
[33] Les Fils d’Esaü sont représentés (anciennement et de nos jours) par les Grecs-Byzantins et Romains. Gens d’Europe centrale et du sud.
[34] Voir Coran. Pour le Sabbat/Chabbat/Samedi : Coran IV 154 ; VII 163 ; XVI 124. Pour la Mense/Table servi : V 112-115.
[35] Les rabbanim ont déifié le peuple d’Israël. Aussi peut-on dire du mal sur les Prophètes d’Israël, non jamais sur le peuple de Jacob, d’Israël !?
[36] Et à la lumière du Coran. La Bible n’étant pas une réfence pour le monde de l’Islam traditionnel. Tant ce Livre a été modifié, censuré, censuré. Exemple :
   A la question : Qu'entendez-vous par document historique ? Si c'est simplement parce que la bible a été écrite il y a longtemps, que par ce simple fait c'est un document historique, alors tout document est historique…
   A été répondu :
Il me semble clair que la Bible n'est pas un document d'historien au sens moderne du mot. Il me semble aussi qu'elle n'y prétend pas. Parfois même, les textes historiographiques qu'elle contient cherchent manifestement à brouiller des pistes pour éviter la reconstitution du déroulement historique (c'est manifeste dans Genèse 1-11 évidemment, mais aussi dans Daniel et Esdras-Néhémie, et dans les Maccabées). Le but des historiographies bibliques est de dire du sens pour le lecteur actuel (quelle que soit son actualité depuis 20 ou 25 siècles !). L'historiographie n'est qu'un procédé littéraire pour ce faire, comme la poésie, les textes législatifs, le conte, la sagesse, etc.
Ce qui ne veut pas dire non plus que rien n'est historiquement fiable dans la Bible ! Mais ça, c'est le boulot des historiens... Dans l'autre sens, la vérité d'un texte ne s'apprécie pas à son caractère historique ou scientifique : ça, ce serait du positivisme scientiste !
La Bible par contre est évidemment un document historique par son ancienneté et par l'effet qu'elle a produit dans le monde, à savoir notamment les grandes religions monothéistes (judaïsme, christianisme, islam) et le rationalisme humaniste occidental. Ces fruits étaient-ils tous attendus ? C'est un autre débat...
Cordialement, David Mitrani 27 février 2006 à 10:57 (CET)
   D'autant que la forme historiographique est d'invention tardive, probablement héllenistique. Quant au sens pour le lecteur actuel (celui de chacune des époques) je gage que ce n'est pas le même au fil du temps :-))
Benoit Montfort 27 février 2006 à 11:45 (CET)
Le problème est de distinguer ce qui est "historiquement fiable" dans la Bible, par exemple dans ce verset : << Le règne de David sur Israël a duré quarante ans : à Hébron il a régné sept ans, à Jérusalem il a régné trente-trois ans. ( 1 Rois 2, 11) >>. Je crois que la solution, quand la Bible est la seule source d'une affirmation d'ordre historique ou chronologique, c'est de préciser la référence de cette source. Par exemple la phrase de l'article On considère traditionnellement que la Torah fut promulguée en 398 av. J.-C. par Esdras devrait être mieux référencée : d'où sort cette date et à quoi se rapporte-t-elle ? MLL 27 février 2006 à 13:40 (CET)
-- Je faisais référence à la phrase La Bible traite de l'histoire des relations du peuple d'Israël avec Dieu, au début de l'introduction. Pour moi cette phrase est maladroite. Les rapports de la Bible avec l'histoire sont extrêmement sensibles pour beaucoup de croyants, et il faut faire attention. Beaucoup de gens comprendront ici histoire au sens de série d'évènements réels, ce que n'est pas, à ce que je sais, la Bible. Je crois même qu'il faut éviter de faire référence à la Bible en tant que source historique, surtout lorsque la Bible est la seule référence. La Bible est un livre qui exprime une croyance, croyance qui a des formes diverses, point. C'est en ce sens que l'on peut y faire référence. Pour reprendre le règne de David, les derniers développements de l'archéologie nous apprennent que le règne de David n'a probablement jamais eu lieu, que Salomon n'aurait jamais construit de temple, même si David et Salomon ont probablement existés. Les pieux pratiquants contournent le problème en disant que l'archéologie n'est pas une science exacte, etc... Donc, dans l'ensemble il faut, me semble-t-il, être vigilant sur la question historique.
Karinade 28 février 2006 à 08:34 (CET)
C'est vrai : la distinction n'est pas toujours faite entre histoire (récit) et Histoire (discipline quasi scientifique inventée au 19ème siècle). En outre, dans certains groupes religieux, on entretient la confusion entre les deux au titre de la doctrine.
Donc, dans l'exemple que vous dîtes, histoire est avec un peit 'h' et signifie l'histoire des relations telles que vécues par le peuple d'Israël et expliciter les diverses compréhensions du peuple d'Israël qui ne sont pas seulement ethniques mais parfois mystiques.
Au fil des rédactions, il faudra distinguer les acceptions diverses de chacun des termes et/ou, au besoin, mettre des notes de bas de page en attendant les développements philosophiques qui soutendent les diverses compréhensions ou représentations.
Benoit Montfort 28 février 2006 à 09:21 (CET) (fr.wikipedia.org)
   Conclusion. Comme on peut le constater les gens de la Bible ont quelques difficultés avec leur Histoire sainte. Le terme lorsqu’il faut l’appliquer à la Bible passe mal. Devient vite un sujet de verse et de controverse entre eux. Surtout pour ceux qui demandent des preuves scientifiques, archéologiques et autres.
[37] Voir Coran.
[38] P. Godé : Tabarî signale à cet endroit trois variantes ; celle qui, pour lui, serait la plus acceptable est “wa man ‘abada-t-tâghoûti” c’est-à-dire : et dont Dieu fit des… serviteurs du "tâghoût". A propos du sens de ce dernier terme Tabari renvoie à ce qu’il en a déjà dit : com. (2. 256-7)2 et 4 et (4.60-5).
   S’il analyse minutieusement et longuement les différentes variantes, Tabarî n’apporte par contre aucune explication de ce passage ni la moindre indication sur celui ou ceux auxquels il est fait allusion ici. D’après ce qu’il dit dans les passages auxquels il renvoie, il faut comprendre le terme "tâghoût" dans le sens de "celui qui passe outre, transgresse" (taghâ) l’ordre sacré et les interdits, notamment celui de se livrer à la divination. Le passage peut aussi être pris métaphoriquement dans le sens où il signifie ici le blâme attaché à tous ceux qui mettent au service, d’une façon ou d’une autre, d’un être ou d’une cause dont l’action ou la nature implique une transgression délibérée de la Loi sacrée et un assujettissement conscient à des principes en contradiction avec celle-ci.
[39] Soit : toutes les désobéissances commises par ceux de votre Communauté qui vous précédèrent, que Dieu a exécrés…


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20/05/11 .

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